1
ucoup dire. Il y avait dans le Paradis je ne sais
quel
relent de barbarie, un assez malsain goût du sang. Tout cela s’est pu
2
s Supervielle, Gravitations (décembre 1925)l «
Quel
est celui-là qui s’avance » avec ce visage d’entre la vie et la mort
3
te le passage incessant d’oiseaux de la mer ? » «
Quel
est cet homme dont l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente
4
rête au moment où l’on est sûr que ça brûle bien.
Quel
sujet plus riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la puissance
5
e ne sais quelle excitation, quelle révélation ou
quel
oubli. C’est un dilettantisme qu’ils ont peut-être appris dans Barrès
6
goïsme est vertu cardinale pour le créateur. Mais
quel
est ce besoin si général de s’incarner, dans le héros de son roman, d
7
, et d’être vaincu sans bataille. On voit assez à
quel
genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui n’utilise une
8
ication plus profonde. (Il serait aisé de montrer
quel
parti Jouve a su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’analy
9
invraisemblance assez piquante de ses péripéties.
Quel
dommage que l’auteur l’ait alourdi d’une idéologie, souvent plus géné
10
it choisir. Vous me direz qui je suis, mes amis ;
quel
est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à peine re
11
hoses… Vers le soir, l’ardeur tombe : agir ? dans
quel
sens ? Provisoirement j’étais sauvé d’un désordre où l’on glisse vers
12
nte un peu l’étable ? L’étonnant, c’est de voir à
quel
point Montherlant reste poète jusque dans la description la plus réal
13
morale à quoi nous obligeaient en réalité on sait
quel
dégoût, et certains désirs de grabuge moins avouables, — la sincérité
14
se confond avec l’homme même. (André Maurois.) (
Quel
effroi, ce jour de l’adolescence où l’on soupçonne pour la première f
15
èvre faisait s’épanouir sur son visage je ne sais
quel
plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit libre de calcul
16
Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)ac «
Quel
admirable sujet de roman, écrit Gide, au bout de quinze ans, de vingt
17
attentive à ma présence… Mais, alors, je ne sais
quel
démon du malheur me paralysa. Je venais d’entrevoir l’image d’un coup
18
passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de
quel
occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce que vous pensiez n’être
19
le plaisir de la perfection exercée par jeu. Mais
quel
support à de nouvelles songeries ! Ces horlogeries impossibles sont d
20
ce poète immoral et malicieux. » Je ne sais dans
quel
rapide de l’Europe centrale — région où l’on est forcé de prendre con
21
n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure
quel
fut le but de la vie de Ford, sa « grande et constante ambition ». Il
22
ment les prix, on ne trouve toujours des clients,
quel
que soit l’état du marché. » Il semble que cela soit tout à l’avantag
23
les seront atteintes. On peut se demander jusqu’à
quel
point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son effort. Pour
24
iter un exemple individuel ? Nous savons assez en
quel
mépris l’homme d’affaires à l’américaine tient les choses de l’Esprit
25
» ou ne pas en être Une fois qu’on a compris à
quel
point le fordisme et l’Esprit sont incompatibles, le monde moderne im
26
rive de prendre son image pour celle de n’importe
quel
passant, il se sent comme séparé de soi, et si profondément différent
27
, de Détroit, a contribué davantage que n’importe
quel
autre de mon temps à faire aboutir la standardization à sa fin logiqu
28
ation sociale qui enlève l’enfant à la famille ?5
Quel
est cet instrument de perfectionnement civique qui assure l’écrasemen
29
explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de
quel
droit il nous écrase. La réponse est simple, terriblement simple : du
30
ssez fréquents. Maintenant je vous demande un peu
quel
intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’adapter aux par
31
l’ennemi ses propres batteries ? Autrement dit :
quel
emploi utopique de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’écol
32
turellement grave ; une voix douce et virile ; et
quel
beau titre ! « Saisir » n’est-ce point l’acte essentiel de la poésie
33
basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte…
Quel
est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
34
it le monde… Mais que cette musique vulgaire, par
quel
hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
35
imental, plein de malices et d’envies de pleurer.
Quel
dommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des grands bourgeois,
36
tion sociale qui enlève l’enfant à la famille ? 5
Quel
est cet instrument de perfectionnement civique qui assure l’écrasemen
37
explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de
quel
droit il nous écrase. La réponse est simple, terriblement simple : du
38
ssez fréquents. Maintenant je vous demande un peu
quel
intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’adapter aux par
39
l’ennemi ses propres batteries ? Autrement dit :
quel
emploi utopique de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’écol
40
n religieuse particulière, antérieure à n’importe
quel
dogme. Je ne crois pas qu’il existe d’autres facultés capables d’équi
41
le Palais du Régent et celui d’un des archiducs,
quel
décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
42
y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux.
Quel
style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
43
autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais
quel
vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
44
est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans
quel
sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
45
éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en
quel
endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
46
ses positions éthiques, l’auteur part pour Aden.
Quel
n’est pas son étonnement de découvrir que ce lieu n’est qu’une « imag
47
de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de
quel
droit il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se recomman
48
comment il voit le peuple, comment il l’aime, et
quel
est le secret de son autorité sur lui. L’état d’esprit de l’homme d’a
49
semblaient avoir des rapports intimes et atroces.
Quel
horrible endroit, cet Osaka ! Les endroits surpeuplés sont terribles
50
es, — beau temps de la présence. Car tu sais pour
quel
« bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu’au soleil de l’aube au
51
temps.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais,
quel
temps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot : courtisane
52
ossières. Peut-être voit-on mieux maintenant dans
quel
esprit Ramuz les pose, et que précisément c’est l’esprit de ces Signe
53
ise concrètement cette assomption intérieure. Par
quel
« hasard » l’a-t-il provoquée chez Goethe ? Il est un fait de sa jeun
54
qu’à la souffrance — qui est la « substance » — à
quel
point le renoncement à la magie spéculative n’est, en fait, qu’un acc
55
nt peu de consonance avec un tel pathétique, mais
quel
écho n’eût-il pas éveillé dans l’âme du jeune ministre de 32 ans, ado
56
si. Mais gardons-nous de tirer de ceci je ne sais
quel
critère de « jugement » qui permettrait de placer Goethe au-dessus de
57
Seigneur est le commencement de la sagesse. » Par
quel
concours de circonstances cette « sagesse » devint-elle chez Goethe q
58
es piétistes. Ici, nous confesserons un doute. De
quel
droit refusons-nous donc d’appeler chrétien, un homme qui se prétendi
59
inion, en Amérique par exemple. On se demande par
quel
sophisme un régime d’opinion put jamais être confondu avec un régime
60
une « liberté » stérilisante. Ils ne voient pas à
quel
prix cet affranchissement devient possible ; ils ne voient pas encore
61
l’on découvre bientôt que rien n’est comparable.
Quel
était ce besoin de fixer, de cerner, de localiser dans l’espace des s
62
ine que l’on sacrifie, à une morale, à je ne sais
quel
profit : c’est à une parade incontestablement vaine. Il y a peu de me
63
le Palais du Régent et celui d’un des archiducs,
quel
décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
64
y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux.
Quel
style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
65
un monde, au bord extrême de l’Europe. Je ne sais
quel
hasard a voulu que j’y entende, un soir, une audition de musiques hon
66
autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais
quel
vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
67
est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans
quel
sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
68
éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en
quel
endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
69
basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte…
Quel
est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
70
it la terre… Mais que cette musique vulgaire, par
quel
hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
71
rt des idoles. Elle suppose un Dieu transcendant.
Quel
dieu fait de nos désirs d’hommes pourrait nous certifier dans le fond
72
l’on découvre bientôt que rien n’est comparable.
Quel
était ce besoin de fixer, de cerner, de localiser dans l’espace des s
73
ine que l’on sacrifie, à une morale, à je ne sais
quel
profit : c’est à une parade incontestablement vaine. Il y a peu de me
74
le Palais du Régent et celui d’un des archiducs,
quel
décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
75
y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux.
Quel
style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
76
un monde, au bord extrême de l’Europe. Je ne sais
quel
hasard a voulu que j’y entende, un soir, une audition de musiques hon
77
autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais
quel
vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
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est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans
quel
sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
79
éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en
quel
endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
80
basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte…
Quel
est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
81
it la terre… Mais que cette musique vulgaire, par
quel
hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
82
ndait à la lisière de cette forêt tel soir d’été,
quel
sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quelles lettres j’allais
83
— en fer tordu, en pierraille lépreuse. N’importe
quel
badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d
84
une autre portait les traces pacifiées. N’importe
quel
badaud, mais pas un conquérant. La confrontation stupéfiante de cet h
85
e frémit de toutes ses fourrures et se récrie : «
Quel
goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici
86
j’ai retrouvé les grandes mesures de Paris. Dans
quel
silence, à quatre heures du matin. Trouverons-nous quelques chambres
87
quelles sont les suites nécessaires de son choix,
quel
est l’enjeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se lèvent, l’e
88
e seul vin suisse qui se vende à New York, mais à
quel
prix ! c’est le Neuchâtel blanc. (On voit sur l’étiquette le Trou de
89
idées, où je ne reconnais rien de déjà lu ? Et de
quel
ciel me tombent ces visions surprenantes, où je reconnais bientôt ce
90
non pas hier ni même une seule seconde plus tôt ?
Quel
mouvement ai-je donc fait par mégarde, qui m’accorde à la longueur d’
91
as là. (Ainsi l’on croit savoir où l’on se tient,
quel
âge on a, et vers quoi l’on chemine. Mais au carrefour d’autres desti
92
par là même l’universel, c’est-à-dire le prochain
quel
qu’il soit, être souvent bizarre et mystérieux qu’il faut comprendre
93
, les mémoires. L’année finit. J’écris sans hâte.
Quel
silence ! Et je m’attarde à suivre encore ces harmoniques, comme à l’
94
tre Inconnu. Il serait en forme de banc. Qui sait
quel
Balzac de l’avenir, quelle Étrangère venue du bout du monde, ne serai
95
ntre l’individu et la patrie, on ne sait plus sur
quel
pied danser.) Pour moi, j’ai pris le parti de laisser les étrangers v
96
, mettent sur notre table le monde tel qu’il est.
Quel
romancier pourrait nous apporter l’équivalent de cette vision directe
97
s ; désespérer les optimistes en leur montrant de
quel
prix dérisoire ils ont cru payer leur salut, — telle est la seule tâc
98
n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir
quel
sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
99
aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à
quel
point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
100
it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à
quel
morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
101
rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet,
quel
est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
102
it au service du « minimum de vie » que n’importe
quel
animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
103
e sur la pensée protestante dans le monde entier.
Quel
est donc le contenu de cette œuvre, où est le secret de son incompara
104
logien doit parler de Dieu, son nom l’indique. De
quel
Dieu ? De celui que la Bible nomme l’Éternel, alors que nous sommes t
105
Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel.
Quel
est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
106
bien le primum vivere se trouve être réalisé, et
quel
besoin alors d’un deinde. Que demander aux hommes, sinon qu’ils viven
107
ne sont rien que des créations de l’homme. Et de
quel
homme ? De cet individu des libéraux rationalistes, de cet être isolé
108
t compliqués de bien pires erreurs dans n’importe
quel
parti, aussi bien à gauche qu’à droite22. Avec cette différence qu’au
109
ent déjà de rendre sa place à « l’esprit »… Mais,
quel
esprit ? Et qui l’a laissé perdre ? Et que va-t-on lui sacrifier ? Su
110
e lorsque Marquet parle de l’ordre nécessaire. De
quel
ordre s’agit-il ici ? Montagnon nous l’apprend, lorsqu’il fait un pan
111
uteur d’homme Toute la question est de savoir à
quel
niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent
113
Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel.
Quel
est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
114
te de toute une civilisation, dont on ne voit pas
quel
dieu serait l’auteur, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut
115
cendant, et qui n’est point fait de main d’homme.
Quel
Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans le fond de nos
116
foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci :
quel
est le sens des échecs humains ? De la réponse qu’un homme fait à cet
117
n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir
quel
sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
118
aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à
quel
point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
119
e a supprimées pour s’établir. Cherchons plutôt à
quel
niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autr
120
isme est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à
quel
niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare53. J’ai montré, d’a
121
de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à
quel
prix s’établit cet ordre barbare53. J’ai montré, d’autre part, commen
122
amenons tout à l’homme et à ses intérêts humains.
Quel
homme ? Le meilleur ? Non, l’homme qui agit autrement qu’une bête bru
123
it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à
quel
morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
124
rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet,
quel
est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
125
it au service du « minimum de vie » que n’importe
quel
animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
126
zzle. Dès qu’on les sépare, il faut chercher dans
quel
trou va la cheville, voilà vos livres. Voilà à quoi vous perdez votre
127
me n’apparaît dans tout le roman. 64. Je ne sais
quel
sort le Troisième Reich a réservé à ce livre, qui parut au moment de
128
, ne viennent à s’opposer d’une façon meurtrière.
Quel
remède à ce péril qui, chaque jour, se fait plus menaçant ? On a dit
129
otestants qu’on ne croit. Le reste est évident. —
Quel
reste ? — Les Anglais, les Allemands, les Scandinaves, et le roman d’
130
révoqué ! — Je vous accorde volontiers ce quart.
Quel
avantage y voyez-vous pour votre foi ? — Oh ! Pas le moindre ! Je con
131
ectif. On l’obtient par un processus d’isolation.
Quel
rôle peut jouer la personne dans cette image ? Peut-être celui de la
132
uteur d’homme Toute la question est de savoir à
quel
niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent
134
Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel.
Quel
est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
135
te de toute une civilisation, dont on ne voit pas
quel
dieu serait l’auteur, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut
136
cendant, et qui n’est point fait de main d’homme.
Quel
Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans le fond de nos
137
foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci :
quel
est le sens des échecs humains ? De la réponse qu’un homme fait à cet
138
n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir
quel
sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
139
aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à
quel
point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
140
e a supprimées pour s’établir. Cherchons plutôt à
quel
niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autr
141
isme est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à
quel
niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare46. J’ai montré, d’a
142
de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à
quel
prix s’établit cet ordre barbare46. J’ai montré, d’autre part, commen
143
amenons tout à l’homme et à ses intérêts humains.
Quel
homme ? Le meilleur ? Non, l’homme qui agit autrement qu’une bête bru
144
it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à
quel
morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
145
rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet,
quel
est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
146
it au service du « minimum de vie » que n’importe
quel
animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
147
la est bien beau, bien cohérent, — trop cohérent…
Quel
est le peuple qui ait jamais pratiqué une telle politique, dans l’his
148
lité aimable. Son livre pose une seule question :
quel
dessein vaguement subversif peut bien poursuivre l’éditeur qui publia
149
sait que la vision est acte, on saura maintenant
quel
est celui qui peut aider30. L’imagination de la forme est sympathie a
150
ui préside à sa promulgation ? I On sait par
quel
coup de force politique Henri IV prétendit mettre fin à la lutte des
151
r le plan de l’État. La paix d’abord, à n’importe
quel
prix. On ne saurait proclamer plus cyniquement son mépris pour les ré
152
t la finesse à distinguer chez son interlocuteur,
quel
qu’il soit, le point faible d’un raisonnement, qu’il se borne à faire
153
antôt l’autre parti, émue par tant de conviction,
quel
que fut par ailleurs l’objet de la conviction. Une belle soirée théol
154
us le prouve ? Il suffira de résumer notre débat.
Quel
est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse de cel
155
e que ses derniers billets trahissent l’invasion.
Quel
homme a vécu pareil drame ? Découvrir qu’on s’est suicidé, et que la
156
. Mais qu’est-ce que cette transformation ? Et de
quel
droit pouvons-nous l’annoncer ? Est-ce un ensemble de réformes, un pr
157
onde, et par là même, appelle notre protestation.
Quel
est donc le rôle de l’Église ? Est-il de prêcher l’Évangile, ou bien