1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ucoup dire. Il y avait dans le Paradis je ne sais quel relent de barbarie, un assez malsain goût du sang. Tout cela s’est pu
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 s Supervielle, Gravitations (décembre 1925)l «  Quel est celui-là qui s’avance » avec ce visage d’entre la vie et la mort 
3 te le passage incessant d’oiseaux de la mer ? » «  Quel est cet homme dont l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
4 rête au moment où l’on est sûr que ça brûle bien. Quel sujet plus riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la puissance
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
5 e ne sais quelle excitation, quelle révélation ou quel oubli. C’est un dilettantisme qu’ils ont peut-être appris dans Barrès
6 goïsme est vertu cardinale pour le créateur. Mais quel est ce besoin si général de s’incarner, dans le héros de son roman, d
7 , et d’être vaincu sans bataille. On voit assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui n’utilise une
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
8 ication plus profonde. (Il serait aisé de montrer quel parti Jouve a su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’analy
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
9 invraisemblance assez piquante de ses péripéties. Quel dommage que l’auteur l’ait alourdi d’une idéologie, souvent plus géné
7 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
10 it choisir. Vous me direz qui je suis, mes amis ; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à peine re
11 hoses… Vers le soir, l’ardeur tombe : agir ? dans quel sens ? Provisoirement j’étais sauvé d’un désordre où l’on glisse vers
8 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
12 nte un peu l’étable ? L’étonnant, c’est de voir à quel point Montherlant reste poète jusque dans la description la plus réal
9 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
13 morale à quoi nous obligeaient en réalité on sait quel dégoût, et certains désirs de grabuge moins avouables, — la sincérité
14 se confond avec l’homme même. (André Maurois.) ( Quel effroi, ce jour de l’adolescence où l’on soupçonne pour la première f
10 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
15 èvre faisait s’épanouir sur son visage je ne sais quel plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit libre de calcul
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
16 Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)ac «  Quel admirable sujet de roman, écrit Gide, au bout de quinze ans, de vingt
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
17 attentive à ma présence… Mais, alors, je ne sais quel démon du malheur me paralysa. Je venais d’entrevoir l’image d’un coup
13 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
18 passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce que vous pensiez n’être
19 le plaisir de la perfection exercée par jeu. Mais quel support à de nouvelles songeries ! Ces horlogeries impossibles sont d
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
20 ce poète immoral et malicieux. » Je ne sais dans quel rapide de l’Europe centrale — région où l’on est forcé de prendre con
15 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
21 n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure quel fut le but de la vie de Ford, sa « grande et constante ambition ». Il
22 ment les prix, on ne trouve toujours des clients, quel que soit l’état du marché. » Il semble que cela soit tout à l’avantag
23 les seront atteintes. On peut se demander jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son effort. Pour
24 iter un exemple individuel ? Nous savons assez en quel mépris l’homme d’affaires à l’américaine tient les choses de l’Esprit
25 » ou ne pas en être Une fois qu’on a compris à quel point le fordisme et l’Esprit sont incompatibles, le monde moderne im
16 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
26 rive de prendre son image pour celle de n’importe quel passant, il se sent comme séparé de soi, et si profondément différent
17 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
27 , de Détroit, a contribué davantage que n’importe quel autre de mon temps à faire aboutir la standardization à sa fin logiqu
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
28 ation sociale qui enlève l’enfant à la famille ?5 Quel est cet instrument de perfectionnement civique qui assure l’écrasemen
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
29 explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse est simple, terriblement simple : du
30 ssez fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’adapter aux par
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
31 l’ennemi ses propres batteries ? Autrement dit : quel emploi utopique de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’écol
21 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
32 turellement grave ; une voix douce et virile ; et quel beau titre ! « Saisir » n’est-ce point l’acte essentiel de la poésie 
22 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
33 basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
34 it le monde… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
23 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
35 imental, plein de malices et d’envies de pleurer. Quel dommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des grands bourgeois,
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
36 tion sociale qui enlève l’enfant à la famille ? 5 Quel est cet instrument de perfectionnement civique qui assure l’écrasemen
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
37 explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La réponse est simple, terriblement simple : du
38 ssez fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’adapter aux par
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
39 l’ennemi ses propres batteries ? Autrement dit : quel emploi utopique de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’écol
27 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
40 n religieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme. Je ne crois pas qu’il existe d’autres facultés capables d’équi
28 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
41 le Palais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
42 y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
43 autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
44 est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans quel sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
45 éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
46 ses positions éthiques, l’auteur part pour Aden. Quel n’est pas son étonnement de découvrir que ce lieu n’est qu’une « imag
47 de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se recomman
31 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
48 comment il voit le peuple, comment il l’aime, et quel est le secret de son autorité sur lui. L’état d’esprit de l’homme d’a
49 semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Quel horrible endroit, cet Osaka ! Les endroits surpeuplés sont terribles 
32 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
50 es, — beau temps de la présence. Car tu sais pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu’au soleil de l’aube au
51 temps.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, quel temps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot : courtisane
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
52 ossières. Peut-être voit-on mieux maintenant dans quel esprit Ramuz les pose, et que précisément c’est l’esprit de ces Signe
34 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
53 ise concrètement cette assomption intérieure. Par quel « hasard » l’a-t-il provoquée chez Goethe ? Il est un fait de sa jeun
54 qu’à la souffrance — qui est la « substance » — à quel point le renoncement à la magie spéculative n’est, en fait, qu’un acc
55 nt peu de consonance avec un tel pathétique, mais quel écho n’eût-il pas éveillé dans l’âme du jeune ministre de 32 ans, ado
56 si. Mais gardons-nous de tirer de ceci je ne sais quel critère de « jugement » qui permettrait de placer Goethe au-dessus de
35 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
57 Seigneur est le commencement de la sagesse. » Par quel concours de circonstances cette « sagesse » devint-elle chez Goethe q
58 es piétistes. Ici, nous confesserons un doute. De quel droit refusons-nous donc d’appeler chrétien, un homme qui se prétendi
36 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
59 inion, en Amérique par exemple. On se demande par quel sophisme un régime d’opinion put jamais être confondu avec un régime
37 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
60 une « liberté » stérilisante. Ils ne voient pas à quel prix cet affranchissement devient possible ; ils ne voient pas encore
38 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
61 l’on découvre bientôt que rien n’est comparable. Quel était ce besoin de fixer, de cerner, de localiser dans l’espace des s
39 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
62 ine que l’on sacrifie, à une morale, à je ne sais quel profit : c’est à une parade incontestablement vaine. Il y a peu de me
40 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
63 le Palais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
64 y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
65 un monde, au bord extrême de l’Europe. Je ne sais quel hasard a voulu que j’y entende, un soir, une audition de musiques hon
66 autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
67 est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans quel sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
68 éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
41 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
69 basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
70 it la terre… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
42 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
71 rt des idoles. Elle suppose un Dieu transcendant. Quel dieu fait de nos désirs d’hommes pourrait nous certifier dans le fond
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
72 l’on découvre bientôt que rien n’est comparable. Quel était ce besoin de fixer, de cerner, de localiser dans l’espace des s
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
73 ine que l’on sacrifie, à une morale, à je ne sais quel profit : c’est à une parade incontestablement vaine. Il y a peu de me
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
74 le Palais du Régent et celui d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre de
75 y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse com
76 un monde, au bord extrême de l’Europe. Je ne sais quel hasard a voulu que j’y entende, un soir, une audition de musiques hon
77 autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subt
78 est que la ligne est droite. Je ne sais plus dans quel sens je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non
79 éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu ce
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
80 basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérie
81 it la terre… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouvre un vrai silence : déjà je leur éch
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
82 ndait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quelles lettres j’allais
48 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
83 — en fer tordu, en pierraille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d
84 une autre portait les traces pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confrontation stupéfiante de cet h
85 e frémit de toutes ses fourrures et se récrie : «  Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici
86 j’ai retrouvé les grandes mesures de Paris. Dans quel silence, à quatre heures du matin. Trouverons-nous quelques chambres
87 quelles sont les suites nécessaires de son choix, quel est l’enjeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se lèvent, l’e
49 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
88 e seul vin suisse qui se vende à New York, mais à quel prix ! c’est le Neuchâtel blanc. (On voit sur l’étiquette le Trou de
50 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
89 idées, où je ne reconnais rien de déjà lu ? Et de quel ciel me tombent ces visions surprenantes, où je reconnais bientôt ce
90 non pas hier ni même une seule seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je donc fait par mégarde, qui m’accorde à la longueur d’
91 as là. (Ainsi l’on croit savoir où l’on se tient, quel âge on a, et vers quoi l’on chemine. Mais au carrefour d’autres desti
51 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
92 par là même l’universel, c’est-à-dire le prochain quel qu’il soit, être souvent bizarre et mystérieux qu’il faut comprendre
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
93 , les mémoires. L’année finit. J’écris sans hâte. Quel silence ! Et je m’attarde à suivre encore ces harmoniques, comme à l’
53 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
94 tre Inconnu. Il serait en forme de banc. Qui sait quel Balzac de l’avenir, quelle Étrangère venue du bout du monde, ne serai
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
95 ntre l’individu et la patrie, on ne sait plus sur quel pied danser.) Pour moi, j’ai pris le parti de laisser les étrangers v
55 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
96 , mettent sur notre table le monde tel qu’il est. Quel romancier pourrait nous apporter l’équivalent de cette vision directe
56 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
97 s ; désespérer les optimistes en leur montrant de quel prix dérisoire ils ont cru payer leur salut, — telle est la seule tâc
57 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
98 n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
99 aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à quel point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
58 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
100 it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
101 rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
59 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
102 it au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
60 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
103 e sur la pensée protestante dans le monde entier. Quel est donc le contenu de cette œuvre, où est le secret de son incompara
104 logien doit parler de Dieu, son nom l’indique. De quel Dieu ? De celui que la Bible nomme l’Éternel, alors que nous sommes t
61 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
105 Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
62 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
106 bien le primum vivere se trouve être réalisé, et quel besoin alors d’un deinde. Que demander aux hommes, sinon qu’ils viven
63 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
107 ne sont rien que des créations de l’homme. Et de quel homme ? De cet individu des libéraux rationalistes, de cet être isolé
64 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
108 t compliqués de bien pires erreurs dans n’importe quel parti, aussi bien à gauche qu’à droite22. Avec cette différence qu’au
65 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
109 ent déjà de rendre sa place à « l’esprit »… Mais, quel esprit ? Et qui l’a laissé perdre ? Et que va-t-on lui sacrifier ? Su
66 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
110 e lorsque Marquet parle de l’ordre nécessaire. De quel ordre s’agit-il ici ? Montagnon nous l’apprend, lorsqu’il fait un pan
67 1934, Politique de la personne. Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
111 uteur d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent
68 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
112 5.En dernier ressort Quel que soit le dégoût qu’inspire au clerc l’action publique, je pense qu
69 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
113 Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
70 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
114 te de toute une civilisation, dont on ne voit pas quel dieu serait l’auteur, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut
71 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
115 cendant, et qui n’est point fait de main d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans le fond de nos
72 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
116 foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci : quel est le sens des échecs humains ? De la réponse qu’un homme fait à cet
73 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
117 n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
118 aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à quel point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
74 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
119 e a supprimées pour s’établir. Cherchons plutôt à quel niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autr
120 isme est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare53. J’ai montré, d’a
121 de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare53. J’ai montré, d’autre part, commen
75 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
122 amenons tout à l’homme et à ses intérêts humains. Quel homme ? Le meilleur ? Non, l’homme qui agit autrement qu’une bête bru
76 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
123 it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
124 rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
77 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
125 it au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
78 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
126 zzle. Dès qu’on les sépare, il faut chercher dans quel trou va la cheville, voilà vos livres. Voilà à quoi vous perdez votre
79 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
127 me n’apparaît dans tout le roman. 64. Je ne sais quel sort le Troisième Reich a réservé à ce livre, qui parut au moment de
80 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
128 , ne viennent à s’opposer d’une façon meurtrière. Quel remède à ce péril qui, chaque jour, se fait plus menaçant ? On a dit 
81 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
129 otestants qu’on ne croit. Le reste est évident. —  Quel reste ? — Les Anglais, les Allemands, les Scandinaves, et le roman d’
130 révoqué ! — Je vous accorde volontiers ce quart. Quel avantage y voyez-vous pour votre foi ? — Oh ! Pas le moindre ! Je con
82 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
131 ectif. On l’obtient par un processus d’isolation. Quel rôle peut jouer la personne dans cette image ? Peut-être celui de la
83 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
132 uteur d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent
84 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
133 5.En dernier ressort Quel que soit le dégoût qu’inspire au clerc l’action publique, je pense qu
85 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
134 Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une
86 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
135 te de toute une civilisation, dont on ne voit pas quel dieu serait l’auteur, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut
87 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
136 cendant, et qui n’est point fait de main d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans le fond de nos
88 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
137 foi nous délivre. ⁂ Tout enfin se ramène à ceci : quel est le sens des échecs humains ? De la réponse qu’un homme fait à cet
89 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
138 n et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux v
139 aussi dans l’espoir de vous faire mieux sentir à quel point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosophique, e
90 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
140 e a supprimées pour s’établir. Cherchons plutôt à quel niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autr
141 isme est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare46. J’ai montré, d’a
142 de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare46. J’ai montré, d’autre part, commen
91 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
143 amenons tout à l’homme et à ses intérêts humains. Quel homme ? Le meilleur ? Non, l’homme qui agit autrement qu’une bête bru
92 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
144 it au travail, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne cauchemar aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendi
145 rs immédiatement ressortir le paradoxe. En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. Le machinisme est
93 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
146 it au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de frais. Sinistre farce. Morale officielle d
94 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
147 la est bien beau, bien cohérent, — trop cohérent… Quel est le peuple qui ait jamais pratiqué une telle politique, dans l’his
95 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
148 lité aimable. Son livre pose une seule question : quel dessein vaguement subversif peut bien poursuivre l’éditeur qui publia
96 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
149 sait que la vision est acte, on saura maintenant quel est celui qui peut aider30. L’imagination de la forme est sympathie a
97 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
150 ui préside à sa promulgation ? I On sait par quel coup de force politique Henri IV prétendit mettre fin à la lutte des
151 r le plan de l’État. La paix d’abord, à n’importe quel prix. On ne saurait proclamer plus cyniquement son mépris pour les ré
98 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
152 t la finesse à distinguer chez son interlocuteur, quel qu’il soit, le point faible d’un raisonnement, qu’il se borne à faire
153 antôt l’autre parti, émue par tant de conviction, quel que fut par ailleurs l’objet de la conviction. Une belle soirée théol
154 us le prouve ? Il suffira de résumer notre débat. Quel est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse de cel
99 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
155 e que ses derniers billets trahissent l’invasion. Quel homme a vécu pareil drame ? Découvrir qu’on s’est suicidé, et que la
100 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
156 . Mais qu’est-ce que cette transformation ? Et de quel droit pouvons-nous l’annoncer ? Est-ce un ensemble de réformes, un pr
157 onde, et par là même, appelle notre protestation. Quel est donc le rôle de l’Église ? Est-il de prêcher l’Évangile, ou bien