1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «  Peter Schlemihl , et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
2 e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune, Peter Schlemihl savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
2 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «  Peter Schlemihl , et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
4 e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune, Peter Schlemihl savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «  Peter Schlemihl , et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
6 e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune, Peter Schlemihl savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
4 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
7 , sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre Peter Schlemihl . De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
8 inte fois l’extraordinaire popularité du bonhomme Peter Schlemihl . Je fus à l’Opéra. On y donnait du Strauss. Je ne connaissais pas le
9 pitié que me dictait mon cœur. Signalement de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
10 r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit et d’un corps sains après
11 etrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
12 dant français de Chamisso, selon lequel l’idée de Peter Schlemihl aurait été donnée à son auteur par un de ses parents, au cours d’un s
5 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
13 croire au bien. 31. Le pacte avec le diable Peter Schlemihl ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
6 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
14 roire au bien. 45. Le pacte avec le diable Peter Schlemihl ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
7 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
15 croire au bien. 45. Le pacte avec le diable Peter Schlemihl ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
16 ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «  Peter Schlemihl , et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
17 e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune, Peter Schlemihl savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
9 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
18 , sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre Peter Schlemihl . De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
19 pitié que me dictait mon cœur. Psychologie de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
20 r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit ou d’un corps sains après
21 trouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
22 ue sorte permanent, une désespérance perpétuelle. Peter Schlemihl est certainement, sinon une autobiographie, au moins un essai moral q
10 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
23 Poèmes. 66. Chamisso : L’Histoire merveilleuse de Peter Schlemihl . 67. Gottfried Keller : Henri le vert. 68. Nietzsche : Aurore. 69. Ra