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ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «
Peter Schlemihl
, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
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e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune,
Peter Schlemihl
savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
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ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «
Peter Schlemihl
, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
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e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune,
Peter Schlemihl
savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
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ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «
Peter Schlemihl
, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
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e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune,
Peter Schlemihl
savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
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, sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre
Peter Schlemihl
. De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
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inte fois l’extraordinaire popularité du bonhomme
Peter Schlemihl
. Je fus à l’Opéra. On y donnait du Strauss. Je ne connaissais pas le
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pitié que me dictait mon cœur. Signalement de
Peter Schlemihl
Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
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r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de
Peter Schlemihl
n’est-il pas comparable à celui d’un esprit et d’un corps sains après
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etrouvé son ombre. Suite et fin de la fable
Peter Schlemihl
nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
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dant français de Chamisso, selon lequel l’idée de
Peter Schlemihl
aurait été donnée à son auteur par un de ses parents, au cours d’un s
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croire au bien. 31. Le pacte avec le diable
Peter Schlemihl
ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
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roire au bien. 45. Le pacte avec le diable
Peter Schlemihl
ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
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croire au bien. 45. Le pacte avec le diable
Peter Schlemihl
ayant vendu son ombre au diable devint très riche, mais perdit le goû
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ne bibliothèque, je crois y trouver mon salut : «
Peter Schlemihl
, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je, mes frères ! Nous
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e qu’il ne pouvait perdre, et c’était sa fortune,
Peter Schlemihl
savait ce qu’il avait perdu, c’était son ombre. Mais moi qui cherche
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, sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre
Peter Schlemihl
. De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
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pitié que me dictait mon cœur. Psychologie de
Peter Schlemihl
Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
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r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de
Peter Schlemihl
n’est-il pas comparable à celui d’un esprit ou d’un corps sains après
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trouvé son ombre. Suite et fin de la fable
Peter Schlemihl
nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
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ue sorte permanent, une désespérance perpétuelle.
Peter Schlemihl
est certainement, sinon une autobiographie, au moins un essai moral q
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Poèmes. 66. Chamisso : L’Histoire merveilleuse de
Peter Schlemihl
. 67. Gottfried Keller : Henri le vert. 68. Nietzsche : Aurore. 69. Ra