1 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
1 es jeunes esprits dans le sens requis par l’État. Pierre Emmanuel écrit aujourd’hui ceci : L’Éducation nationale est à l’image exacte
2 la « conception pénitentiaire » de sa discipline. Pierre Emmanuel parle d’une « longue incarcération » et d’une « école-caserne », abst
3 ntion » et « perpétue le manque d’imagination » ; Pierre Emmanuel l’accuse à son tour d’assassiner la poésie par ses « explications de
4 ent sublimes.   À Ferney, juillet 1972.   17. Pierre Emmanuel , Pour une politique de la culture, Paris, Le Seuil, 1971, p. 151 à 16
2 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
5 , un ministre de l’Éducation nationale, un poète, Pierre Emmanuel , et même un collégien lausannois, bien connu chez nous pour avoir pro
3 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
6 Salizzoni, membre du Parlement italien. Le poète Pierre Emmanuel avait été retenu à Paris par sa nomination, la veille, au poste de pr
4 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
7 des années 1945 à 1968, Henry Michaux, René Char, Pierre Emmanuel , Yves Bonnefoy, n’ont guère ajouté à leur œuvre antérieure ; et pas u