1
les virus du christianisme, de la Réforme, de la
Révolution
et du romantisme, les concepts de liberté et de progrès, l’humanitari
2
h Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)n La
Révolution
russe va-t-elle usurper dans le roman d’aventures le rôle de la mer O
3
çons aujourd’hui un roman bien différent, a vu la
Révolution
sans romantisme, dans le détail de la vie d’une ville. Il sait qu’un
4
e, qui vomit le monde entier et la raison avec. «
Révolution
d’abord. Révolution toujours ». « Pour nous, le salut n’est nulle par
5
e entier et la raison avec. « Révolution d’abord.
Révolution
toujours ». « Pour nous, le salut n’est nulle part… » « Je comprends
6
un corps, et c’est très beau, Breton, de crier «
Révolution
toujours » — tant qu’il y a des gens pour vous faire du pain ; et c’e
7
s fit croire un instant à la fameuse devise de la
Révolution
. d. Rougemont Denis de, « Conférences d’Aubonne », Suisse libérale
8
rons plus séparer du concept de l’esprit celui de
Révolution
. Et j’entends ce mot dans son sens le plus vaste. Il y a eu quatre-vi
9
e, je le dirai pour vous. Quand on a entrepris la
Révolution
au nom de l’esprit, on ne va pas s’acoquiner avec des gens qui ont fa
10
rande joie. Saint-John Perse. Nous appelions une
Révolution
perpétuelle une perpétuelle insurrection contre tout ce qui prétendai
11
eoir et que son siège était fait. Nous aimions la
Révolution
qui nous perdrait corps et biens dans sa grandeur comme une femme mer
12
dans l’ivresse amoureuse ; nous cherchions cette
Révolution
de toutes nos forces et séductions, comme on cherche cette femme à tr
13
. Et des gens pour se gausser quand nous écrivons
Révolution
, et nous offrir un billet (simple course) pour Moscou, ou encore pour
14
êtes tellement amusés avec vos chers principes.
Révolution
, ce n’est plus détruire, ce n’est plus combattre, c’est l’épanouissem
16
ont Denis de, « [Compte rendu] Pierre Naville, La
Révolution
et les intellectuels », Bibliothèque universelle et Revue de Genève,
17
écrire ; et cet aveu de Garine est décisif : « La
Révolution
… tout ce qui n’est pas elle est pire qu’elle… » Expérience faite, l’a
18
Et même Diderot, même Rousseau, à la veille de la
Révolution
, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée
19
Et même Diderot, même Rousseau, à la veille de la
Révolution
, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée
20
hargent de tout réduire à la raison, y compris la
Révolution
, thème rhétorique, y compris la Religion, thème catholique. Servir le
21
s. Nous ne prenons pas à la légère le drame de la
Révolution
. Il est des crises nécessaires1. Mais c’est à nous précisément de pré
22
us qu’il incombe, dès maintenant, de préparer une
Révolution
assez totale, pour que de telles erreurs n’y puissent trouver place.
23
x principes qui furent énoncés ici même2 : 1° une
Révolution
est sanglante dans la mesure où elle est mal préparée. 2° le sang rép
24
elle est mal préparée. 2° le sang répandu par la
Révolution
est la marque de son imperfection naturelle. Le sang ! Et tous les «
25
larvée qui inspire l’hypocrisie régnante. Non, la
Révolution
n’est pas le sang versé. Mais nous disons qu’il est plus sain d’être
26
hirurgicales. 2. Aron et Dandieu : « Violence et
Révolution
», dans Plans, n° 9. 3. Cf. René Dupuis, « L’ordre », dans Plans, n°
27
ut vivre, au lieu d’amèrement languir, — c’est la
Révolution
. Mais quelle révolution ? Humanisme ou Révolution : défense de l’homm
28
Révolution. Mais quelle révolution ? Humanisme ou
Révolution
: défense de l’homme total contre tout ce qui tend à le mécaniser, à
29
ouvre exactement le concept et les méthodes de la
Révolution
naissante. Les uns viennent de Marx, les autres de Proudhon ; de Hege
30
ne vivante, flétri, dénaturé, inverti, saboté. La
Révolution
pour nous n’est pas la haine ; et ce n’est pas détruire. C’est le sal
31
fin qui soit un acte : car pour nous désormais la
Révolution
vit, si nous vivons. Autour de nous tout craque et nous appelle. Sur
32
ssistèrent, ainsi qu’un délégué fasciste. 10. La
Révolution
ne nous conduira pas au Paradis ; mais elle reste le seul effort effe
33
bourgeois dégoûtés et vivants, à tous ceux que la
Révolution
trouble et bientôt va posséder. Dénonçons à leur intention un état d’
34
dominer, condamnent ce qui fait la vie même de la
Révolution
, c’est-à-dire : la critique violente et constructive de toutes les do
35
ellectuelle bourgeoise théoriquement acquise à la
Révolution
. On reconnaît en lui les traits marquants de la mentalité petite-bour
36
s sont tout simplement les petits bourgeois de la
Révolution
. Puis du fait qu’ils se disent révolutionnaires, ces bons petits inte
37
petits intellectuels deviennent un danger pour la
Révolution
ou pour ne rien exagérer un poids mort, un facteur d’énervement, et u
38
ire qu’ils ne méritent pas de vous dégoûter de la
Révolution
, jeunes gens que la violence possède ? c. Rougemont Denis de, « L
39
on affectueuse » des vies privées. Ah oui ! si la
Révolution
était faite déjà ! Elle ne l’est guère que dans nos cœurs, — et toujo
40
siècle, avancée pour le reste de l’Europe par la
Révolution
, puis par l’Empire, dans le sens des droits individuels et de la tyra
41
brier pour l’ancien régime, Arthur Piaget pour la
Révolution
, Philippe Godet pour Madame de Charrière. Un moraliste au style subti
42
rage dont le premier volume vient de paraître, La
Révolution
nécessaire.f Certes, on abuse du mot révolution. On le fait synonyme
43
tature de la liberté g, proclamera la suite de La
Révolution
nécessaire. Dandieu voyait dans cette revendication la mission perman
44
se. Mais de choix, d’affirmation, de création, de
Révolution
. Nous sommes sur la terre décisive. L’heure est venue. Allons-y. Déf
45
souvient de la noble réponse de ce proscrit de la
Révolution
auquel on demandait à son retour en France ce qu’il avait fait en exi
46
t sa vocation dans la communauté. Telle est notre
Révolution
, la seule réelle, la seule totale, et la seule qui s’attaque aux raci
48
uté d’un chapitre de doctrine tel que « Esprit et
Révolution
», et sur l’Esquisse d’une théorie générale de la Révolution qui ouvr
49
», et sur l’Esquisse d’une théorie générale de la
Révolution
qui ouvre la seconde partie du livre. Esprit et Révolution… « Le mal
50
qui ouvre la seconde partie du livre. Esprit et
Révolution
… « Le malaise révolutionnaire et la confusion des idées en sont arriv
51
le changement de plan, qui seul constituerait la
Révolution
véritable. Contre cette illusion rationaliste-idéaliste de la synthès
52
e transitive, telle est, pour Aron et Dandieu, la
Révolution
véritable. Cela ne signifie point que sa violence se dégrade nécessai
53
tuelle ». L’Esquisse d’une théorie générale de la
Révolution
est un effort pour retrouver le contenu concret et précis du grand mo
54
ment sociale ». Et voici détendu le ressort de la
Révolution
nécessaire. Mais qu’est-ce que cette définition, sinon celle même du
55
oncerne l’efficacité probable des doctrines de la
Révolution
nécessaire. Fernandez ne croit pas à l’existence concrète14 de la per
56
ituelle, au mépris de toute rhétorique. 13. « La
Révolution
est-elle nécessaire ? », NRF de janvier 1934. L’article est d’ailleur
57
[Compte rendu] Arnaud Dandieu et Robert Aron, La
Révolution
nécessaire », Cahiers du Sud, Marseille, juin 1934, p. 386-391. n.
58
e ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif.
Révolution
sans illusions. Droits supérieurs de la personne. Telles sont quelque
59
e dans l’ouvrage important d’Aron et Dandieu : la
Révolution
nécessaire. Sa revendication essentielle est l’abolition de la condit
60
s c’était aussi introduire dans la doctrine de la
Révolution
un primat du déterminisme, dont je dirai, sans plus de précaution, qu
61
ois, repris en charge par le marxisme, empêche la
Révolution
de s’arracher du plan capitaliste. Il alourdit, il entrave, finalemen
62
tature étatiste, l’élan créateur, spirituel de la
Révolution
. On peut dire, très exactement, que le matérialisme est l’opium de la
63
exactement, que le matérialisme est l’opium de la
Révolution
. Certes, le marxisme contient bien d’autres éléments que cette affirm
64
u mois de mai 1933. 44. Cf. Aron et Dandieu : La
Révolution
nécessaire (Grasset), p. 193 à 198. 45. Dans une lettre.
65
trop bien ! J’appelle au secours de ma foi cette
Révolution
qui me fortifiera contre moi-même. J’appelle ce témoignage irrévocabl
66
et tactique sont absolument inséparables dans la
Révolution
. Et si l’on vient à les séparer sous prétexte de saisir au passage ce
67
évues, il n’y a pas d’exemples que les buts de la
Révolution
ne soient du même coup trahis. Le cas de l’URSS stalinienne est très
69
e dans l’ouvrage important d’Aron et Dandieu : La
Révolution
nécessaire 77. Sa revendication essentielle est l’abolition de la con
70
parlement, c’est de conclure. Le plus dur pour la
Révolution
, c’est de commencer. Car la Révolution commence par ce qui fait mouri
71
ur pour la Révolution, c’est de commencer. Car la
Révolution
commence par ce qui fait mourir un parlement : par une décision, par
72
ent : par une décision, par un acte. Commencer la
Révolution
c’est comprendre, mais jusqu’aux moelles, que le monde n’est pas un p
74
uté d’un chapitre de doctrine tel que « Esprit et
Révolution
», et sur l’Esquisse d’une théorie générale de la Révolution qui ouvr
75
», et sur l’Esquisse d’une théorie générale de la
Révolution
qui ouvre la seconde partie du livre. Antithétique — an-archique —, s
76
e transitive, telle est, pour Aron et Dandieu, la
Révolution
véritable. Cela ne signifie point que sa violence se dégrade nécessai
77
tuelle ». L’Esquisse d’une théorie générale de la
Révolution
est un effort pour retrouver le contenu concret et précis du grand mo
78
tte faculté de libérer l’être des mots. Esprit et
Révolution
… « Le malaise révolutionnaire et la confusion des idées en sont arriv
79
le changement de plan, qui seul constituerait la
Révolution
véritable. Contre cette illusion rationaliste-idéaliste de la synthès
80
s c’était aussi introduire dans la doctrine de la
Révolution
un primat du déterminisme dont je dirai, sans plus de précaution, qu’
81
ois, repris en charge par le marxisme, empêche la
Révolution
de s’arracher du plan capitaliste. Il alourdit, il entrave, finalemen
82
tature étatiste, l’élan créateur, spirituel de la
Révolution
. On peut dire, très exactement, que le matérialisme est l’opium de la
83
exactement, que le matérialisme est l’opium de la
Révolution
. Certes, le marxisme contient bien d’autres éléments que cette affir
84
au mois de mai 1933. 37. Cf. Aron et Dandieu, La
Révolution
nécessaire (Grasset), p. 193 à 198. 38. Dans une lettre.
85
trop bien ! J’appelle au secours de ma foi cette
Révolution
qui me fortifiera contre moi-même. J’appelle ce témoignage irrévocabl
86
et tactique sont absolument inséparables dans la
Révolution
. Et si l’on vient à les séparer sous prétexte de saisir au passage ce
87
révues, il n’y a pas d’exemple que les buts de la
Révolution
ne soient du même coup trahis. Le cas de l’URSS stalinienne est très
88
nds que leur mission. 60. Aron et Dandieu : La
Révolution
nécessaire, préface. 61. Je conserve ce petit exemple, comme symboli
89
e dans l’ouvrage important d’Aron et Dandieu : la
Révolution
nécessaire. Sa revendication essentielle : l’abolition de la conditio
90
L’autorité culturelle ne sera pas l’État, mais la
Révolution
elle-même. La Révolution appartient à la première communauté personn
91
era pas l’État, mais la Révolution elle-même. La
Révolution
appartient à la première communauté personnaliste qui saura s’imposer
92
laquelle elle s’est constituée. Non seulement la
Révolution
« appartient » de fait et de droit à cette première communauté, mais
93
l faut dire encore qu’une telle communauté est la
Révolution
, sans nul autre attribut. Nous avons défini dans Nous voulons 23 le r
94
de notre revue, nous ne pouvons pas commenter la
Révolution
, nous nous bornons à la construire. Nous poussons notre pointe dans l
95
on ! », les sans-culottes comprennent : « Vive la
Révolution
! » Ils ont raison. Pour nous, la vraie nation française c’est la com
96
de la patrie et des banquiers, la confusion de la
Révolution
et des Soviets. Nous ne nous battrons ni pour les Forges, ni pour les
97
stification historique dans un pays qui a fait la
Révolution
de 89, et qui est déjà une nation. Mais condamner le « fascisme » all
98
op loin dans ce sens ; pour un pays qui a fait la
Révolution
de 89, c’est-à-dire qui a pris conscience de sa réalité nationale dep
99
veau : « Spirituel d’abord », et le passage de la
Révolution
nécessaire sur « l’intelligence épée ». 40. Variété III, p. 233. Va
100
u maximum le travail servile et indifférencié ». (
Révolution
nécessaire, p. 251.) (C’est sans doute une lecture « dialectique » de
101
qu’il n’y a que des injures à y répondre. 48.
Révolution
nécessaire, p. 39, et passim. Politique de la personne , p. 220-225,
102
e dit pas grand-chose à l’Italien, qui n’a pas la
Révolution
et le combisme derrière lui ; cela ne dit rien du tout à l’Allemand.
103
— conventions à la mode ou étiquettes vagues ? («
Révolution
», « amour », « esprit » pour ne citer que les plus courants.) À quoi
104
« les sentiments et la raison de la France ». La
Révolution
est achevée : son principe est passé au rang de lieu commun. Alors pa
105
Staline qui fait taire cette presse au nom de la
Révolution
, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles, par l’Italie partant à
106
née et mise en formules par les théoriciens de la
Révolution
. Et les élites ne pouvaient pas durer dans l’inaction, le spleen et l
107
ouer la carte « nationale » contre l’esprit de la
Révolution
. Si les Français sont nationaux, c’est parce qu’ils sont les descenda
108
ravail, et la définition de la dichotomie dans la
Révolution
nécessaire, d’Aron et Dandieu. 73. Le prolétaire c’est l’homme qui «
109
nt directement l’attitude dont ils découlaient.
Révolution
culturelle La décadence de la culture en Occident nous pose pour l
110
rdiaef (Destination de l’homme), Aron et Dandieu (
Révolution
nécessaire), Aron (Dictature de la liberté), Mounier (Révolution pers
111
ssaire), Aron (Dictature de la liberté), Mounier (
Révolution
personnaliste et communautaire), A. Marc (Recherches philosophiques,
112
Staline qui fait taire cette presse au nom de la
Révolution
, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles, par l’Italie partant à
113
llement, sinon à un plus haut degré, depuis votre
Révolution
de 89 ! Tâchez donc de comprendre une bonne fois que l’Allemagne n’a
114
nesse ou du Solstice d’été, culte des morts de la
Révolution
, sous Hitler. (Je ne puis ici que renvoyer à l’article de Pierre Gard
115
s mots, en vue de leur emploi le plus précis ? («
Révolution
», « amour », « esprit » pour ne citer que les plus courants.) À quoi
116
« les sentiments et la raison de la France ». La
Révolution
est achevée : son principe est passé au rang de lieu commun. Alors pa
117
Staline qui fait taire cette presse au nom de la
Révolution
, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles, par l’Italie partant à
118
née et mise en formules par les théoriciens de la
Révolution
. Et les élites ne pouvaient pas durer dans l’inaction, le spleen et l
119
ouer la carte « nationale » contre l’esprit de la
Révolution
. Si les Français sont nationaux, c’est parce qu’ils sont les descenda
120
ravail, et la définition de la dichotomie dans la
Révolution
nécessaire, d’Aron et Dandieu. 75. Le prolétaire c’est l’homme qui «
121
nt directement l’attitude dont ils découlaient.
Révolution
culturelle La décadence de la culture en Occident nous pose pour l
122
homme), Martin Buber (Je et Tu), Aron et Dandieu (
Révolution
nécessaire), Aron (Dictature de la liberté), Mounier (Révolution pers
123
ssaire), Aron (Dictature de la liberté), Mounier (
Révolution
personnaliste et communautaire), A. Marc (Recherches philosophiques,
124
groupe de l’Ordre nouveau. (Cf. en particulier la
Révolution
nécessaire, par Aron et Dandieu, et sa critique de la notion d’échang
125
xation des salaires maxima ! Du xvie siècle à la
Révolution
se forment la théorie et la pratique du mercantilisme, qui donne pour
126
qu’économique) non des réformes. À son défaut, la
Révolution
fut déclenchée par une crise financière. Or cette crise ne fut résolu
127
ion politique de la bourgeoisie, à la suite de la
Révolution
, eut pour première conséquence sociale de donner à l’intelligence ind
128
ez-vous en défenseur de cet idéal permanent de la
Révolution
humaine, vous passerez bientôt pour fasciste. On dit que les mots n’o
129
. La stratégie qu’inaugurèrent les généraux de la
Révolution
, et qui fut celle de Bonaparte, n’est en somme que l’application du s
130
ble, d’indéterminable à priori, que connaît toute
Révolution
. La Révolution française a eu ses clubs ; 1870 a vu naître les commun
131
mais dont l’évocation fera sentir que, dans toute
Révolution
se produit à un certain instant — décisif pour la suite des événement
132
cette autorité76. ⁂ Le fait certain, c’est que la
Révolution
de demain sera antiétatique — ou ne sera pas. Il apparaît de plus en
133
cessité sera plus pressante que jamais lors de la
Révolution
de demain. Il résulte de là que les hommes en lesquels s’incarnera pl
134
s’incarnera plus particulièrement le destin de la
Révolution
, c’est-à-dire les membres de ce que nous appelons le conseil suprême,
135
en vue de la réalisation des fins communes de la
Révolution
permanente. De ce point de vue, on peut dire que le Conseil suprême s
136
n prouve une totale méconnaissance des buts de la
Révolution
personnaliste. L’autorité réelle étant pour nous l’émanation de la pe
137
ns se perdent et les champs tombent en friche. La
Révolution
seule a ranimé l’ardeur des habitants, pour la plupart jacobins. Plus
138
gle de terre jaune, les habitants plantèrent à la
Révolution
un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux,
139
. La stratégie qu’inaugurèrent les généraux de la
Révolution
, et qui fut celle de Bonaparte, n’est en somme que l’application du s
140
ns se perdent et les champs tombent en friche. La
Révolution
seule a ranimé l’ardeur des habitants, pour la plupart jacobins. Plus
141
gle de terre jaune, les habitants plantèrent à la
Révolution
un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux,
142
gle de terre jaune, les habitants plantèrent à la
Révolution
un arbre de la Liberté. Cet orme est devenu gigantesque, majestueux e
143
aille vacille, il a retrouvé soudain le cri de la
Révolution
: Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne. J
144
pour me saluer. Il lisait un livre français : La
Révolution
nécessaire, d’Aron et Dandieu. — Je dois faire, me dit-il, une causer
145
mbre du Parti. Morale de Sparte embourgeoisée. La
Révolution
ne serait-elle qu’une façade rouge pour abriter le petit-bourgeois ?
146
pour les Français qui croient connaître « leur »
Révolution
, ou qui regrettent qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses
147
op loin dans ce sens ; pour un pays qui a fait la
Révolution
de 89, c’est-à-dire qui a pris conscience de sa réalité nationale dep
148
llement, sinon à un plus haut degré, depuis votre
Révolution
! Tâchez donc de comprendre une bonne fois que l’Allemagne n’a pas eu
149
nesse ou du Solstice d’été, culte des morts de la
Révolution
, sous Hitler. L’analogie est à peu près parfaite, à ceci près que Rob
150
uerre et de notre génie technique. À partir de la
Révolution
, la guerre devenant « nationale » exige la collaboration de toutes le
151
t le pouvoir d’un chef d’État. Chacun sait qu’une
Révolution
copie toujours inconsciemment la structure du pouvoir qu’elle vient d
152
? J’ai en chantier un livre sur La Réforme comme
Révolution
. Mais je l’ai un peu délaissé au profit d’un drame que j’écris pour l
153
ul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la panique de la
Révolution
, de la Terreur, des guerres européennes, certains aveux deviennent po
154
oint de vue proprement militaire, qu’apportait la
Révolution
? « Un déchaînement de passion inconnu avant elle », répond Foch. L’h
155
osion de sentimentalisme précéda et accompagna la
Révolution
, phénomène beaucoup plus passionnel que politique, au sens strict du
156
it se fonder sur l’expérience des campagnes de la
Révolution
et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre
157
rre. » 9.La guerre nationale À partir de la
Révolution
, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une fa
158
uerre et de notre génie technique. À partir de la
Révolution
, la guerre devenant « nationale » exige la collaboration de toutes le
159
esure de l’humain. Point de coupure ici, point de
Révolution
, point de scission de l’Histoire et de la nation en deux camps longue
160
Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La
Révolution
psychique du xiie siècle. — Une hérésie néo-manichéenne, venue du Pr
161
ul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la panique de la
Révolution
, de la Terreur, des guerres européennes, certains aveux deviennent po
162
oint de vue proprement militaire, qu’apportait la
Révolution
? « Un déchaînement de passion inconnu avant elle », répond Foch. L’h
163
osion de sentimentalisme précéda et accompagna la
Révolution
, phénomène beaucoup plus passionnel que politique, au sens strict du
164
it se fonder sur l’expérience des campagnes de la
Révolution
et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre
165
rre. » 9.La guerre nationale À partir de la
Révolution
, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une fa
166
uerre et de notre génie technique. À partir de la
Révolution
, la guerre devenant « nationale » exige la collaboration de toutes le
167
Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La
Révolution
psychique du xiie siècle. — Une hérésie néo-manichéenne, venue du Pr
168
ul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la panique de la
Révolution
, de la Terreur, des guerres européennes, certains aveux deviennent po
169
oint de vue proprement militaire, qu’apportait la
Révolution
? « Un déchaînement de passion inconnu avant elle », répond Foch. L’h
170
osion de sentimentalisme précéda et accompagna la
Révolution
, phénomène beaucoup plus passionnel que politique, au sens strict du
171
it se fonder sur l’expérience des campagnes de la
Révolution
et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre
172
rre. » 9.La guerre nationale À partir de la
Révolution
, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une fa
173
uerre et de notre génie technique. À partir de la
Révolution
, la guerre devenant « nationale » exige la collaboration de toutes le
174
si elle est d’abord, et réellement, spirituelle.
Révolution
ou rénovation, réforme ou rajeunissement : l’étiquette n’importe pas.
175
nt peut-être alors les petites oligarchies que la
Révolution
devait renverser un peu plus tard. Mais sommes-nous bien certains que
176
t le pouvoir d’un chef d’État. Chacun sait qu’une
Révolution
copie toujours inconsciemment la structure du pouvoir qu’elle vient d
177
nt peut-être alors les petites oligarchies que la
Révolution
devait renverser un peu plus tard. Mais sommes-nous bien certains que
178
t le pouvoir d’un chef d’État. Chacun sait qu’une
Révolution
copie toujours inconsciemment la structure du pouvoir qu’elle vient d
179
t même, qui avait électrisé jadis les héros de la
Révolution
. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de prestige. Le bon
180
t même, qui avait électrisé jadis les héros de la
Révolution
. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de prestige. Le bon
181
t même, qui avait électrisé jadis les héros de la
Révolution
. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de prestige. Le bon
182
oire (ou plutôt à l’Évolution des sociétés), à la
Révolution
, au Capital, au jugement de l’Opinion publique ; nous croyons au pass
183
r des choses. Personne, en Occident, n’a salué la
Révolution
russe avec un enthousiasme plus gravement motivé que Ramuz ; et cela
184
qui tient-il sa liberté ? Ni de l’État, ni de la
Révolution
, ni des Soviets, ni de la Démocratie, et surtout pas de leurs experts
185
l’état de la société française à la veille de la
Révolution
. Tout le monde voit les abus, le danger imminent et l’incapacité des
186
l’état de la société française à la veille de la
Révolution
. Tout le monde voit les abus, le danger imminent et l’incapacité des
187
emont et Maritain. Enfin, Aron et Dandieu et leur
Révolution
nécessaire… Avant la guerre, le mot personnalisme n’était connu en Ho
188
esure de l’humain. Point de coupure ici, point de
Révolution
, point de scission de l’Histoire et de la nation en deux camps longue