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soluble cette « vieillerie poétique » qui, avoue
Rimbaud
, entre encore pour une grande part dans l’« alchimie du verbe » ; et
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de confondu avec le poétique, ou ces disciples de
Rimbaud
, ou enfin ces littérateurs antilittéraires, ces « Messieurs les Nymph
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André Rolland de Renéville,
Rimbaud
le voyant (août 1929)ba À lire ce petit livre et le parallèle qu’i
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naient les upanishads et la tentative poétique de
Rimbaud
, l’on s’étonne qu’il ait fallu plus d’un demi-siècle pour qu’une tell
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que défend l’auteur de cet essai — la voyance de
Rimbaud
— est une de ces évidences qu’il est bon de proposer à la réflexion d
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ar cet enthousiasme sacré que requiert l’œuvre de
Rimbaud
. Regrettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une question aussi c
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d ? Si Claudel s’est montré partial en faisant de
Rimbaud
, « mystique à l’état sauvage », un catholique qui s’ignore, il n’est
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n’est pas plus admissible d’inférer du mépris de
Rimbaud
pour le catholicisme à son mépris pour la révélation évangélique. Je
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utres, que Lautréamont ne va pas à la cheville de
Rimbaud
. (Ce n’est pas avec un Dieu pour rire que Rimbaud est aux prises, et
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Rimbaud. (Ce n’est pas avec un Dieu pour rire que
Rimbaud
est aux prises, et il n’a cure de cette littérature que Ducasse s’épu