1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 soluble cette « vieillerie poétique » qui, avoue Rimbaud , entre encore pour une grande part dans l’« alchimie du verbe » ; et
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
2 de confondu avec le poétique, ou ces disciples de Rimbaud , ou enfin ces littérateurs antilittéraires, ces « Messieurs les Nymph
3 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
3 André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)ba À lire ce petit livre et le parallèle qu’i
4 naient les upanishads et la tentative poétique de Rimbaud , l’on s’étonne qu’il ait fallu plus d’un demi-siècle pour qu’une tell
5 que défend l’auteur de cet essai — la voyance de Rimbaud — est une de ces évidences qu’il est bon de proposer à la réflexion d
6 ar cet enthousiasme sacré que requiert l’œuvre de Rimbaud . Regrettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une question aussi c
7 d ? Si Claudel s’est montré partial en faisant de Rimbaud , « mystique à l’état sauvage », un catholique qui s’ignore, il n’est
8 n’est pas plus admissible d’inférer du mépris de Rimbaud pour le catholicisme à son mépris pour la révélation évangélique. Je
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
9 utres, que Lautréamont ne va pas à la cheville de Rimbaud . (Ce n’est pas avec un Dieu pour rire que Rimbaud est aux prises, et
10 Rimbaud. (Ce n’est pas avec un Dieu pour rire que Rimbaud est aux prises, et il n’a cure de cette littérature que Ducasse s’épu