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viennent des luttes spirituelles, dans le sens où
Rimbaud
a dit : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’homm
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Échos (janvier 1936)q Et
Rimbaud
? Nul n’ignore qu’une revue « de jeunes » doit parler de Rimbaud e
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’ignore qu’une revue « de jeunes » doit parler de
Rimbaud
et du surréalisme. Tout le reste est charabia. L’ON, par exemple, qui
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le déplore. De son temps, les jeunes parlaient de
Rimbaud
et allaient au Vieux-Colombier. Faire de la politique, c’était porter
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out de même certaines choses qui ne changent pas.
Rimbaud
sera toujours jeune, même si M. Brasillach en parle. Il y aura toujou
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s des chroniqueurs qui auront besoin de parler de
Rimbaud
pour faire jeune. Il y aura toujours des conservateurs qui trouveront
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ôt nigaud. Mais puisqu’on nous invite à parler de
Rimbaud
, saisissons l’occasion pour dénoncer sa participation à l’un des plus
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nce des Éthiopiens. L’on se souvient en effet que
Rimbaud
vendit des fusils au négus, — et cela en temps de paix, comble d’hypo
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t moderne. À preuve Balzac, Stendhal, Baudelaire,
Rimbaud
, Dostoïevski, Nietzsche, Rilke, Hamsun. Quant à Victor Hugo et à Tols