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ns la formule : Tout ce qui descend d’Athènes, de
Rome
et de Jérusalem est authentiquement européen. À ces trois sources pri
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les cadres strictement délimités par le traité de
Rome
, il ne me semble pas que des obstacles de principe s’opposent à une p
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des peuples du continent sur la base du traité de
Rome
, c’est-à-dire sur des combinaisons d’intérêts de durée nécessairement
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t homme qui a subi profondément les influences de
Rome
, d’Athènes et de Jérusalem. » Ce qui voulait dire : institutions de l
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in : d’où les persécutions contre les chrétiens à
Rome
. Les libertés locales, c’est grec et c’est germanique, mais ce n’est
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st européen tout ce qui a été marqué par Athènes,
Rome
et Jérusalem. On cite toujours ces trois premières sources de la cult
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e sur l’unité culturelle des Européens — Athènes,
Rome
, Jérusalem, bien sûr, mais aussi les Germains et les Celtes, qui ont
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les Celtes, qui ont recouvert le continent (sauf
Rome
et Delphes, mises à sac par jalousie ou dépit amoureux). Il y a du tr
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i serait née de la triple influence d’Athènes, de
Rome
et de Jérusalem. Je regrette que nous n’ayons pas eu l’occasion de so