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e est en recul marqué dans nos pays. À Paris et à
Rome
, où il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes position
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t exécutants. Elle aura lieu au printemps 1954, à
Rome
. Ses buts sont les suivants : 1. Donner l’occasion à de jeunes compo
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on Le Centre européen de la culture invitera à
Rome
75 à 100 personnes (compositeurs, critiques musicaux et exécutants) d
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ernationale de musique : du 5 au 11 avril 1954, à
Rome
. Le Comité procède ensuite au choix préliminaire des 12 compositeurs
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ofitent pour marquer des points. La conférence de
Rome
est ajournée, la CED reste en panne, l’Amérique s’énerve et laisse en
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ays du plan Schuman. Dès le lendemain s’ouvrait à
Rome
une table ronde, convoquée par le Conseil de l’Europe aux fins de déf
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nous a point accablés ? Quant à la table ronde de
Rome
, elle avait reçu pour mission de s’occuper précisément de « l’idée »
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pour la table ronde de l’Europe qui s’est tenue à
Rome
l’automne dernier. Pour situer rapidement cette entreprise, partons d
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ances dans le huis-clos doré d’un vieux palais de
Rome
, mais bien d’en commenter certains thèmes dominants. Mis aux prises a
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ion au confluent des courants issus d’Athènes, de
Rome
et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l’exportat
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Lors des débats de la table ronde de l’Europe, à
Rome
, deux arguments m’ont frappé, comme étant propres à éduquer le sens e
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gieuses hellénisées, plus l’idéal d’une Troisième
Rome
, idéal qui sera puissant jusqu’à nos jours, mais réservé à une élite
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férant la domination des Khans à celle du pape de
Rome
, deviendra l’un des héros et des saints les plus populaires de la Rus
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plus en plus profonde entre l’Église orthodoxe et
Rome
correspond à l’absence à peu près complète de relations culturelles e
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d’Europe, dont le professeur V. Arangio-Ruiz, de
Rome
, a pris la présidence, tandis que le professeur M. Mouskhély, de Stra
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la première table ronde de l’Europe, organisée à
Rome
, en octobre 1953, par le Conseil de l’Europe. Cette manifestation exc
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de donner une suite effective à la déclaration de
Rome
, le Conseil de l’Europe a convoqué, du 16 au 23 mars prochains, un gr
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compositeurs, critiques et interprètes musicaux à
Rome
(5-16 avril). — Signature des statuts et ouverture de la Fondation eu
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inq-cents participants). Terracina (au sud de
Rome
) Objectif : vérifier les possibilités d’éducation populaire, et à
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ne italiana per il Consiglio dei Comuni d’Europa,
Rome
; Giorgio Spini, professeur à l’Université de Messine ; — ainsi qu’à
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. V. Casara, ministère de l’Instruction publique,
Rome
; Angela Zucconi, Centro di Educazione Professionale per Assistenti S
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Educazione Professionale per Assistenti Sociali,
Rome
; Pierre du Pontavice, Confédération nationale de la famille rurale,
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t élire une Assemblée non prévue par le traité de
Rome
, mais chargée des mêmes attributions constituantes, à ratifier soit p
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nnalités réagissant à la signature des traités de
Rome
instaurant les Communautés européennes. François Fontaine, Altiero Sp
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er par les héritages. » L’auteur en décrit cinq :
Rome
, les Barbares, l’hellénisme, Israël et le christianisme. À la triade
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des chaires à Pérouse et à Florence, et qui vit à
Rome
. Il nous offre, au surplus, des chapitres précieux, presque exhaustif
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availler — à Londres et à Bruxelles, à Paris et à
Rome
, à Strasbourg et à Vienne, dans les restaurants qu’il préférait parce
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e Bruxelles, économique de Westminster, social de
Rome
, et culturel de Lausanne. Grâce à eux, l’idée européenne progresse en
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ynthèse difficile et jamais achevée d’Athènes, de
Rome
, de Jérusalem, de traditions germaniques, d’apports arabes et orienta
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niv., États-Unis), East and West (Prof. G. Tucci,
Rome
), Orient-Occident (Unesco), Civilisations (INCIDI, Bruxelles), consac
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e (Venise) a organisé un congrès Europe-Afrique à
Rome
en 1960, et prépare, en liaison avec la Société africaine de culture,
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lus ou moins bien, depuis 1957, date du traité de
Rome
instituant l’Euratom : une Université européenne. Vraie université, p
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and de Lattre, né à Mons, devient Orlando Lasso à
Rome
et à Naples, puis Roland de Lassus à Paris et en Bavière. Plus tard,
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continuons. — Égypte, Mésopotamie, Crête, Grèce,
Rome
, Jérusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Slaves : nous av
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la Chine et de l’Inde, puis d’Alexandre, puis de
Rome
et de Byzance, et enfin, en Europe, empire de Charlemagne, puis Saint
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lors que naguère encore ils devaient s’adresser à
Rome
, laquelle alertait Paris, qui appelait Chamonix, et déjà l’on ne sava
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1948, Westminster et Lausanne 1949, Bruxelles et
Rome
1950… Le fait que la « Confrontation » récente de Strasbourg ait donn
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s du passé peuvent nous éclairer sur l’avenir. La
Rome
des jeux, avec ses deux-cents jours fériés sous Dioclétien, offre un
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ewis Mumford décrit les méfaits du centralisme de
Rome
, incapable d’accorder l’autonomie aux colonies d’abord, puis aux régi
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la sorte au séparatisme : Diviser pour régner,
Rome
ne connaissait pas d’autre formule de gouvernement. Pour empêcher l’a
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satisfaire. Il était beaucoup trop tard pour que
Rome
, en reconnaissant ces tendances, puisse constituer un ensemble de con