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a Grèce ; celle qui conçut les droits du citoyen,
Rome
; celle, enfin, qui a donné au monde la notion totalement nouvelle de
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e est en recul marqué dans nos pays. À Paris et à
Rome
, où il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes position
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lu qualifier de décadente ». L’année prochaine, à
Rome
, une autre conférence groupant les plus grands compositeurs modernes,
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pour la table ronde de l’Europe qui s’est tenue à
Rome
l’automne dernier. Pour situer rapidement cette entreprise, partons d
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ances dans le huis clos doré d’un vieux palais de
Rome
, mais bien d’en commenter certains thèmes dominants. Contraint de don
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ion au confluent des courants issus d’Athènes, de
Rome
et du Proche-Orient ; son expansion dans le monde entier ; l’exportat
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omain et envers Arpino, Paul son loyalisme envers
Rome
et Tarse. Un conflit de loyalismes n’a pas plus de raison d’être dans
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re dans l’Europe d’aujourd’hui qu’il n’en avait à
Rome
. Les nations européennes ne peuvent survivre que dans le cadre de l’E
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é finalement que cette table ronde se réunirait à
Rome
le 13 octobre et siégerait pendant quatre jours, que M. Denis de Roug
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oulait la conduire à l’Europe, à la fois fille de
Rome
et mère de nos nations. Et voilà que l’Europe soudain chancelle, hési
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casion de la table ronde convoquée l’an dernier à
Rome
par le Conseil de l’Europe. Pendant les cinq jours que durèrent les d
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r : c’est par là qu’ils diffèrent profondément de
Rome
, devant cette Grèce agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Euro
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es pressions opposées de l’empereur ou du pape de
Rome
, déposer ou non le patriarche de Byzance, et soudain la tourbe des mo
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ui régnait au Kremlin — mais non pas à Paris ni à
Rome
, que l’on sache — pour s’excuser de n’avoir vraiment pas pu crier au
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ion Volant de Genève à Londres, à La Haye ou à
Rome
, je lis les prospectus qu’on nous donne sur ces villes. Les photos, l
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us rencontrer à Londres, à La Haye, à Genève ou à
Rome
, dans le seul dessein de fédérer l’Europe, si nous y parvenons, ce ne
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; Londres, Bruxelles, La Haye, Bonn, Barcelone et
Rome
à deux ou trois heures, aujourd’hui. Et s’il faut une armée pour veil
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a fatalement l’Occident et le monde : « Troisième
Rome
» ou ultime révolution. « Mieux faire » quoi ? — Cependant, Pierre
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rview accordée au journal communisant Pease Sera (
Rome
), Guido Piovene déclare : « C’est notre rôle à tous, intellectuels it
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ullistes se sont posés en défenseurs du traité de
Rome
, qui exclut leur « Europe des patries » et prépare une supra-nation.
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Et c’est lui qui invoque maintenant le traité de
Rome
, qu’il se bornait à tolérer en fait, dans le temps même où l’Angleter
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ait, sinon en intention, à sacrifier le traité de
Rome
(qui fut son œuvre) en tant que proprement européen. Les raisons subj
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à instaurer. En décembre 1948, ils avaient tenu à
Rome
, dans les salles du palais de Venise, un grand congrès riche en périp