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ssurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est
Rome
alors, c’est l’Empire romain qui nous donnera le symbole éternel de c
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rnel de cette réaction collective. La victoire de
Rome
sur la Grèce, symboliquement interprétée, c’est la victoire de l’état
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soldats. Telle est l’histoire de la décadence de
Rome
. Le type d’homme que suppose l’État romain, c’est donc l’individu emb
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elle a sombré dans l’anarchie. Et à son tour, la
Rome
étatique s’écroule sous son propre poids. De nouveau se reforme un vi
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le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre
Rome
, et cela se vérifie souvent au xvie siècle. Mais je maintiens que la
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e ces deux phénomènes. En Russie, en Allemagne, à
Rome
et en Espagne, la distinction entre l’Église et l’État n’avait jamais