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tion, dialectique, ecclesia — Jérusalem, Athènes,
Rome
— ces trois mots inconnus de l’Orient, ces trois noms chargés de sens
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es pressions opposées de l’empereur ou du pape de
Rome
, déposer ou non le patriarche de Byzance — et soudain la tourbe des m
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» à la brutale mise au pas du Romain. Apport de
Rome
. — Il se résume dans le terme viril de citoyen. L’homme ne tient plus
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sclérose collectiviste qui va causer la chute de
Rome
. C’est au sein de cette société dont les structures rigides n’encadre
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ans son équilibre en tension, unit le meilleur de
Rome
et de la Grèce, elle est aussi menacée, dans le monde du péché, par u
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été. Des religions ? Bien sûr. Mais c’est ici que
Rome
révèle sa carence essentielle. Elle impose avec trop de rigueur des r
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dans nos liturgies, comme le titre suprême de la
Rome
païenne, le pontifex, désigne encore les papes. Etc. Stratifications
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te fut d’un puissant attrait pour les esclaves de
Rome
, ainsi voit-on de nos jours le message communiste apporter la promess
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aine ; elle sauvait le meilleur de la Grèce et de
Rome
en opérant l’intégration sans précédent de l’individu libre et du cit
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r : c’est par là qu’ils différent profondément de
Rome
, devant cette Grèce agrandie que figure assez bien l’Europe. Une Euro
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« un peu de temps » et le Christ reviendra. Mais
Rome
s’écroule, l’Église s’installe, et les Barbares se convertissent. Il
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mbinaison fit l’Occident : la Grèce, le judaïsme,
Rome
et la foi chrétienne, les voici revenus à l’œuvre en un seul homme, d
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nt, nous voyons le christianisme — et l’Église de
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elle-même — se délier des pouvoirs temporels pour se conformer d’auta
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vinrent à circuler entre la Chine et les papes de
Rome
et d’Avignon, par l’intermédiaire des princes nestoriens d’Asie et de
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Bhagavad-Gita96. Tous les chemins doivent mener à
Rome
d’abord, dit l’Église catholique. Et les réformateurs ne seront pas m