1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 eligieuses en Orient et en Occident. ⁂ Bien avant Rome , les Celtes avaient conquis une grande partie de l’Europe actuelle. V
2 t du Nord-Est de la France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire
3 ens, brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome . Le flamen porte d’ailleurs le même nom que le brahmane 14. Il est ce
4 nt subir un apparent « mariage » avec l’Église de Rome dont ils étaient les clercs, tout en servant dans leurs « pensées » u
5 qui ne s’évapore plus… Je ne veux ni l’Empire de Rome , ni qu’on m’en nomme le pape, si je ne dois pas faire retour vers ell
6 duobus principiis, publié par A. Dondaine, O. P., Rome 1939. Dondaine et Arno Borst datent ce traité de la seconde moitié du
7 st Amour. 64. Ce qui n’empêchera pas l’Église de Rome , en la personne du pape Innocent III qui rêvait de « l’empire du mond
8 rs gascons et troubadour lui-même, excommunié par Rome  ; pour filles Marie de Champagne et Aelis de Blois. 79. Le code « ex
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
9 ts avec une violence qui rappelle les procédés de Rome contre ses propres sectes. Mais ils ne purent ou ne voulurent les ané
10 s temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se mettre du bon côté avec l’honnête
11 a… 7. Roméo et Juliette. — Milton Cependant Rome n’a pas triomphé partout. Il est une île où son pouvoir est contesté.
12 a guerre, la société devait la persécuter. Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En
13 ait, lui avait promis de l’épouser, la renvoya de Rome malgré lui et malgré elle, dès les premiers jours de son empire. » (S