1
ul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la panique de la
Révolution
, de la Terreur, des guerres européennes, certains aveux deviennent po
2
oint de vue proprement militaire, qu’apportait la
Révolution
? « Un déchaînement de passion inconnu avant elle », répond Foch. L’h
3
osion de sentimentalisme précéda et accompagna la
Révolution
, phénomène beaucoup plus passionnel que politique, au sens strict du
4
it se fonder sur l’expérience des campagnes de la
Révolution
et de l’Empire. La bataille de Valmy fut gagnée par la passion contre
5
rre. » 9.La guerre nationale À partir de la
Révolution
, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une fa
6
uerre et de notre génie technique. À partir de la
Révolution
, la guerre devenant « nationale » exige la collaboration de toutes le