1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 orme se veut un pur « retour » aux sources, et la Révolution se croit romaine, alors qu’elle inaugure le romantisme, qui à son tou
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
2 Chapitre IVLe Château aventureux Passion, Révolution , Nation S’il fallait définir l’Occident par ses maladies spécifiqu
3 , comme l’obsession qu’elle est ; ou parler de la Révolution sans la prêcher ni la maudire, mais en établissant le bilan de ses ef
4 proie au refus manichéen de l’Incarnation. La Révolution , ou la passion socialisée Quand le catastrophisme passionnel se ré
5 e répand dans le corps social, il prend le nom de Révolution . L’idée et la réalité de ce phénomène, je l’ai dit, sont inconnues da
6 de Damas où Saul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et conversion ont le même sens : c’est se retourner complètement. Dan
7 t en appeler des arrêts d’un Parti qui incarne la Révolution  ? Il n’y a rien au-dessus de lui39. Il n’y a pas de Juge pour ses cri
8 hypocrisie des historiographes partisans — que la Révolution , mythe libertaire, est une réalité close et lugubre, une psychose de
9 la bonne conscience des sectateurs du Mythe de la Révolution . « Il faut ce qu’il faut ! », disent-ils d’un air de dure sagesse. Il
10 nale, menée par les soldats « libérateurs » de la Révolution et de l’Empire, loin de faire triompher dans toute l’Europe l’idéolog
11 nter. La révolte contre la liberté Passion, Révolution , Nation : ces trois maladies spécifiques sont les « signes particulie
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
12 s’inspirent et s’autorisent des précédents de la Révolution et de l’Empire. Trois forces, donc, dont deux sont créatrices, et la
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
13 la manière de la réaliser. Les uns parient sur la Révolution  : l’exemple soviétique tendrait à démontrer que cette solution, loin