1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
1 Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)m Il
2 d’une dogmatique morale : c’est plutôt qu’il suit Saint-Évremond de trop près dans les méandres de son éthique. Certes, il en fait val
3 t imposer par la « réussite classique ». Il place Saint-Évremond , théoricien spirituel et serein de la sagesse du grand siècle, sous l
4 ines ou dans la folie divine ? Il semble bien que Saint-Évremond ait jusqu’au bout refusé de choisir. Il croit pouvoir entretenir avec
5 ographie intellectuelle, le plus juste aussi pour Saint-Évremond , expose ses idées sur la société. On y verra comment il se peut faire
6 Denis de, « [Compte rendu] Albert-Marie Schmidt, Saint-Évremond ou L’humaniste impur  », La Nouvelle Revue française, Paris, octobre
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
7 aire nous en empêche jamais », dit l’Allemand que Saint-Évremond met en scène dans son amusante comédie cosmopolite, Sir Politick Woul
8 e IV, édition de 1762) qui s’inspire librement de Saint-Évremond et de G. Leti, tels que P. Hazard vient de les citer : « De tous les