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d’une dogmatique morale : c’est plutôt qu’il suit
Saint-Évremond
de trop près dans les méandres de son éthique. Certes, il en fait val
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t imposer par la « réussite classique ». Il place
Saint-Évremond
, théoricien spirituel et serein de la sagesse du grand siècle, sous l
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ines ou dans la folie divine ? Il semble bien que
Saint-Évremond
ait jusqu’au bout refusé de choisir. Il croit pouvoir entretenir avec
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ographie intellectuelle, le plus juste aussi pour
Saint-Évremond
, expose ses idées sur la société. On y verra comment il se peut faire
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Denis de, « [Compte rendu] Albert-Marie Schmidt,
Saint-Évremond
ou L’humaniste impur », La Nouvelle Revue française, Paris, octobre