1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 Sara Alelia (25 mai 1934)c Il y a une chose au monde plus difficile à réussir
2 us-mêmes et de l’enjeu de l’existence, vous lirez Sara Alelia 2. La puissante mélancolie, le réalisme total qui éclatent dans ce ch
3 ice dans le domaine littéraire, il faut prédire à Sara Alelia non pas un succès de saison, mais la carrière plus discrète, plus pop
4 s chefs-d’œuvre. 2. Hildur Dixelius von Aster : Sara Alelia , roman traduit du suédois par Anne-Marie des Courtis. Éditions « Je s
5 emont Denis de, « [Compte rendu] Hildur Dixelius, Sara Alelia  », Journal de Genève, Genève, 25 mai 1934, p. 1-2.
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
6 Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)h i Voulez-vous un paradoxe ? Littéraire ? Je dét
7 ment « réformé ». Un grand roman, je crois. C’est Sara Alelia , de Mme Hildur Dixelius. On vient de le traduire du suédois9. ⁂ Qu’es
8 nce qui le transcende et qui le juge. On a dit de Sara Alelia que c’est un roman de la grâce : oui, mais c’est aussi, et d’abord, u
9 érité totale, c’est-à-dire sa poésie. Il y a dans Sara Alelia une poésie par endroits bouleversante, une poésie qui naît des faits,
10 s. Amères pour la critique surtout, je crois. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un livre qui a le temps pour lui. 9. Hi
11 temps pour lui. 9. Hildur Dixelius von Aster : Sara Alelia , traduit du suédois par Anne-Marie des Courtis. (Éditions « Je sers »
12 Denis de, « [Compte rendu] Au sujet d’un roman : Sara Alelia  », Les Nouvelles littéraires, Paris, 3 novembre 1934, p. 3. i. Une