1 a lecture après plus d’un siècle d’Un Souvenir de Solférino a quelque chose de bien déconcertant pour nos habitudes critiques : c

2 on sans une provocante simplicité) Un Souvenir de Solférino , son résultat fut la Croix-Rouge. Ce très curieux récit s’ouvre sur u

3 ur jamais célèbre avec la Tour et le cimetière de Solférino , par l’horrible tuerie dont ces localités furent les glorieux témoins

4 ait être, enfin, plus efficace : quatre ans après Solférino , un an après la parution hors commerce du Souvenir, la Croix-Rouge es

5 t Henry, « [Préface] Henry Dunant, Un souvenir de Solférino  », dans Un souvenir de Solférino, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1969, p. 

6 Un souvenir de Solférino  », dans Un souvenir de Solférino , Lausanne, L’Âge d’Homme, 1969, p. VII-XXII.

7 rten, sur Fontenoy surtout, sur Austerlitz et sur Solférino , qui ne tuèrent guère plus de 2000 hommes pour la première, ni plus d

8 omet de faire d’un seul coup vingt fois mieux que Solférino . — Elle a permis à quelques hommes enveloppés dans beaucoup de caoutc