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stes ou libéraux, par la presse d’opposition, par
Staline
qui fait taire cette presse au nom de la Révolution, par Hitler dénon
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ce un sens contraire à celui de l’usage courant. (
Staline
dit : « Je ne suis pas un dictateur » ; Mussolini fait la conquête de
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à ! — doit devenir une littérature de Parti. » Et
Staline
fait écho, trente ans plus tard, à cette déclaration totalitaire ; da
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n général saines, banales, un peu courtes, et que
Staline
s’est chargé d’en extraire ce qu’elles avaient de réactionnaire et d’
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s « cadres qui décident de tout ». l. « Lénine,
Staline
et la littérature », À nous la liberté, Paris, n° 7, 17 avril 1937, p
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cun doute les plus honnêtes), que la dictature de
Staline
se rapproche des régimes fascistes. Essayez d’en conclure que le comm
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maintenant à n’en pas croire vos yeux, qui voient
Staline
, mais à croire une prophétie. Cependant vous demeurez sceptique : Sta
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ne prophétie. Cependant vous demeurez sceptique :
Staline
, après vingt ans de pouvoir des Soviets, annonce une constitution qui
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it, l’obéissance au parti, l’obéissance aveugle à
Staline
, dépositaire unique de la doctrine. Quitter le plan des vérités étern
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, la démocratie des Soviets, puis la dictature de
Staline
; le pacifisme à tout prix des débuts et l’impérialisme actuel (si ma
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excès du matérialisme, non point par la malice de
Staline
, mais par l’effet des conditions physiques et spirituelles de l’homme
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ts momentanés de son Parti et de sa classe. Ainsi
Staline
peut justifier en bonne doctrine « dialectique » ses négations actuel
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t est que la grosse majorité des communistes suit
Staline
. D’où il résulte à l’évidence que pour la grosse majorité des communi
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dis qu’en tant qu’ils approuvent la politique de
Staline
et ses moyens, connus de tous, ils approuvent le mensonge (affaire Zi