1
i est un ennemi, et elle attaque Thorez, agent de
Staline
, qui est un allié. Cet ensemble de faits pose une alternative : ou bi
2
la force. Ou alors, cessons de critiquer Hitler,
Staline
, Mussolini. La force de la France n’est pas dans son union. Elle est
3
in d’opérer un dressage du peuple allemand (comme
Staline
, un dressage du russe), dressage dont les buts n’ont rien de traditio
4
vulgarisé de l’État et le sens du service social.
Staline
proclame une religion du travail, et les Russes sont les plus paresse
5
l reproche à Hitler, et des actes qu’il loue chez
Staline
. (Je néglige ici les prétextes.) L’un massacre des hommes parce qu’il