1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 qui a tiré. Supposez qu’un petit pays, disons la Suisse , manufacture une douzaine de bombes. Ce n’est pas une question d’arge
2 é et d’équipement technique, et vous savez que la Suisse possède tout cela. En fait, c’est à l’École polytechnique de Zurich q
2 1946, Combat, articles (1946–1950). Tous démocrates (22 mai 1946)
3 disent démocrates, dénonçaient naguère encore la Suisse , qui est la plus vieille démocratie du monde, et la traitaient de « f
3 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
4 ôt, à la remettre sur la bonne voie. Nous autres, Suisses romands, nous avons les yeux tournés vers la France et nous constaton
5 e d’une Europe à naître. Voyez ce qui se passe en Suisse  : nous autres romands, nous y sommes dans la proportion d’un tiers co
4 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
6 Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)j Messieurs les députés européens, Vous êtes ici p
7 oient encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Les Suisses ont réussi : voyons la Suisse. Tout le monde croit l’avoir vue et s’e
8 ns l’Histoire. Les Suisses ont réussi : voyons la Suisse . Tout le monde croit l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a fallu pl
9 États absolument souverains. Point de citoyenneté suisse , point de liberté d’établissement ou d’échange commercial entre canto
10 l, organe exécutif, entre en fonction. Le drapeau suisse est arboré à côté des drapeaux des cantons. Aucun des troubles graves
11 calculées ne se produisirent. L’essor que prit la Suisse , dès cet instant, n’a pas fléchi durant un siècle. Messieurs les dépu
12 Vous me direz que l’Europe est plus grande que la Suisse  ; qu’il fallut une bonne guerre pour briser le tabou des souveraineté
13 uverainetés cantonales absolues ; que les cantons suisses vivaient ensemble depuis des siècles ; que les problèmes économiques
14 ue l’Europe d’aujourd’hui soit plus grande que la Suisse d’alors : vous êtes venus de Stockholm à Strasbourg — ou de Rome, ou
15 olitique. Messieurs les députés, n’oubliez pas la Suisse  : elle existe en dépit de tous les arguments qu’on oppose aujourd’hui
16 vous supplier d’y réfléchir quelques minutes. La Suisse s’est unie en neuf mois. Il vaut la peine de s’arrêter devant ce fait
17 j. « Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse  », Combat, Paris, n° 1943, 3 octobre 1950, p. 6. Présenté par la noti
5 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
18 nterroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse . Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui marchent »,