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que ces solutions fussent trouvées dans un esprit
suisse
, et non pas importées de l’étranger. Il importait de fixer sans équiv
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éfinir, comme suit, la situation présente : 1. La
Suisse
est réduite à elle-même, comme elle le fut souvent au cours de son hi
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, d’esprit chrétien, sur laquelle s’est fondée la
Suisse
. 3. La défense à tout prix de notre indépendance et la lutte contre
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Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque citoyen
suisse
était pleinement conscient de ce que signifie la Suisse comme idéal e
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était pleinement conscient de ce que signifie la
Suisse
comme idéal et comme trésor de libertés civiques chèrement conquises.
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Il n’y aurait pas de défaitisme si chaque citoyen
suisse
voyait la possibilité de travailler positivement aux réformes indispe
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mique et politique. On ne peut pas mourir pour la
Suisse
si l’on n’a pas de raisons de vivre pour elle. 6. Il est évident que
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. Les plus grands obstacles à la rénovation de la
Suisse
sont : d’une part, le défaut de responsabilité personnelle à tous les
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on, le tout inséré dans un bon nombre de journaux
suisses
de toutes tendances. Ces publications — appuyées par un certain nombr