1 eulen, Christian L. Lange et Théodore Ruyssen. Un Suisse , un Italien et un Allemand, un Hollandais, un Norvégien et un Françai

2 anguedoc et dans les Cévennes, atteint le plateau suisse où il établit ses cités lacustres, occupe le bassin de la Seine, et s

3 a vécu à Bruxelles, à Paris, en Angleterre et en Suisse , et il a visité l’Italie et l’Allemagne. On a pu dire de lui que « s’

4 des Républiques, comme celle des Vénitiens et des Suisses , et non pas de ces petites Seigneuries, qui ne se peuvent maintenir d

5 4 Républiques souveraines : Venise, l’Italie, la Suisse , la Belgique (pour la définition de ces territoires voir plus loin).

6 ologne pour les pays italiens ; Constance pour la Suisse , la Lombardie, etc., et une ville à désigner dans l’Ouest de l’Europe

7 ront tranchés par le roi d’Espagne et les cantons suisses . Le devoir d’alliance des huit souverains joue également pour Venise

8 uit ; l’Angleterre, six ; le Portugal, trois ; la Suisse , quatre ; le Danemark, trois ; la Pologne, quatre ; Venise, trois ; l

9 etés de Hollande, ou des treize Souverainetés des Suisses , ou des Souverainetés d’Allemagne, & former l’Union européenne su

10 ère & Associez, Venise, Gênes & Associez, Suisse & Associez, Lorraine & Associez, Suède, Danemark, Pologne, pa

11 des fous.101 Bluntschli, juriste international suisse du xixe siècle : Sa faconde bavarde et délayée a drapé l’idée dans

12 e rose-croix, à Nuremberg… En 1691, un commerçant suisse du nom de Goudet publiait en Hollande un ouvrage aujourd’hui introuva

13 lle devait être assurée « par une armée de 40.000 Suisses équipée et maintenue sous les armes après accord de tous les pays d’E

14 ie, l’Autriche et le corps germanique. Quant à la Suisse , elle serait entièrement neutre et deviendrait le siège de la Confédé

15 gne et de l’Irlande ; L’État et les Délices de la Suisse . Et toutes ces Délices, réunies, donnent Les Merveilles de l’Europe.

16 est ce qu’on observe aujourd’hui avec les cantons Suisses et les Provinces-Unies ou États de Hollande, où plusieurs cités libre

17 nd roi, et comme plus récemment la Hollande et la Suisse ont résisté à la maison d’Autriche. Que si les Polonais préfèrent à

18 liberté pour les Américains, les Hollandais, les Suisses  ; mais signifiait pour un Conventionnel la guillotine dans les quaran

19 ant, sur les rives de la Loire et de la Seine, le Suisse se battre contre le Suisse, l’Allemand contre l’Allemand, afin de tra

20 ire et de la Seine, le Suisse se battre contre le Suisse , l’Allemand contre l’Allemand, afin de trancher la question de la suc

21 Johannes von Müller (1752-1809), historien des Suisses , combla les vœux de Herder en donnant à ses contemporains une Vue gén

22 c, sont dignes de remarque. On peut traiter de la Suisse et des rois de Sardaigne et de Portugal après la maison de Bourbon, d

23 e l’Acte de reconnaissance de la neutralité de la Suisse , 1814 et 1815 : Les Puissances signataires… reconnaissent… que la ne

24 ssent… que la neutralité et l’inviolabilité de la Suisse … sont dans les vrais intérêts de l’Europe tout entière. Et Metternic

25 ). Domaine d’expression française : deux libéraux suisses , Constant et Mme de Staël ; un ultramontain savoyard, Joseph de Maist

26 s. Mazzini est en ce moment réfugié clandestin en Suisse . Il a fondé le mouvement « Jeune Italie » opposé à la carbonaria : il

27 Allemagne et Jeune Pologne, en attendant la Jeune Suisse , puis la Jeune France. La charte qu’on va lire doit sceller l’union d

28 entremise de sa Congrega nationale. Fait à Berne ( Suisse ), le 15 avril 1834. Tout l’espoir de 1848 est dans ce texte, et lors

29 ion de février à Paris, cependant que les cantons suisses décidaient de se fédérer, qu’un Parlement fédéral allemand se réuniss

30 nstantin Frantz sur Le Fédéralisme. Ni le juriste suisse , ni le diplomate prussien ne semblent rien devoir au socialiste franç

31 l de son temps. L’expérience vécue du fédéralisme suisse le met en mesure de préciser certaines distinctions fondamentales qui

32 iner ce que serait un État fédéral européen : La Suisse , pays de montagnes en Europe centrale, où les grands fleuves européen

33 un caractère très particulier. De même le peuple suisse et les différentes républiques suisses — je pense aussi bien aux peti

34 e le peuple suisse et les différentes républiques suisses — je pense aussi bien aux petites républiques cantonales qu’à la gran

35 on de l’humanité. … Aussi longtemps que le peuple suisse aspire à remplir courageusement ces devoirs et à poursuivre ces idéal

36 appartenance européenne menacée ni la nationalité suisse arrêtée dans son développement. … S’il est une nationalité suisse, el

37 ans son développement. … S’il est une nationalité suisse , elle possède au plus haut degré un caractère international… Les part

38 e. Pour cette raison la nationalité politique des Suisses doit conserver un caractère international dans le domaine des rapport

39 plus ce caractère international de la nationalité suisse aura sa juste valeur. Il est devenu pour la Suisse un principe vital,

40 uisse aura sa juste valeur. Il est devenu pour la Suisse un principe vital, lui conférant au sein de la famille des États euro

41 rait plus prétendre aujourd’hui. … Par là même la Suisse a émis et réalisé des idées et principes qui sont pour l’ensemble des

42 al de l’avenir se réalise un jour, la nationalité suisse de caractère international devra s’incorporer à la communauté de la G

43 Bluntschli pensait l’Europe à partir de l’exemple suisse . Il saute aux yeux que dans un pays ainsi constitué (l’Allemagne) au

44 pensait aux pays suivants : Allemagne, Autriche, Suisse , pays scandinaves, Belgique et Hollande. Une entente devait être conc

45 a France, à l’Italie ou à l’Allemagne, voire à la Suisse fédéraliste, de faire l’Europe et de s’y fondre, accomplissant ainsi

46 ie ou non, la France, l’Allemagne, l’Italie et la Suisse en font indiscutablement partie. Mais le cas de la Russie est différe

47 rmanique, sans aucun doute ; mais la Hollande, la Suisse , l’Italie même, jusqu’à Bénévent, et en remontant au-delà du traité d

48 ne forment pas une seule nation. Au contraire, la Suisse , si bien faite, puisqu’elle a été faite par l’assentiment de ses diff

49 à la langue : c’est la volonté. La volonté de la Suisse d’être unie, malgré la variété de ses idiomes, est un fait bien plus

50 d’une cité humaniste, allemande par la langue et suisse par le civisme, mais nourrie d’influences françaises et italiennes. O

51 l’année de leur publication — une jeune diplomate suisse promis à une grande carrière, mais qui n’a rien encore publié à cette

52 auraient pu entraver ce processus. Chez nous, en Suisse  ? Chez nous, il existe un sentiment persistant des affinités avec l’A

53 Jacob Burckhardt se sont appliqués à montrer aux Suisses alémaniques qu’ils sont Allemands de par leur nature, mais non politi

54 de l’Autriche, des cités italiennes, des cantons suisses , des Flandres. Celles de la papauté produisent le même effet sur les

55 ustice à l’apport germanique ? C’est un historien suisse , de vieille souche fribourgeoise, écrivant en français et vivant aux

56 es et de guerriers : le Volksthing, qui survit en Suisse dans les Landsgemeinden des cantons montagnards. De là un droit qui,

57 nçaise, pas plus que d’une culture hollandaise ou suisse ou allemande. Si nous voulons que la culture française reste, il faut

58 une terre aussi libre et heureuse que celle de la Suisse d’aujourd’hui. Quel est ce remède souverain ? C’est de reformer la fa