1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
1 juste retour, l’honneur de l’abriter revient à la Suisse — d’où l’idée est partie. Reprenons maintenant avec plus de détails
2 coles britannique, allemande, italienne, danoise, suisse , hollandaise, française et autres ont fait pendant quarante ans. Si m
3 uissantes industries mécaniques et électriques de Suisse , de Hollande et d’ailleurs et aux Écoles de physique de Grande-Bretag
4 ’Union internationale de physique ; P. Preiswerk ( Suisse ), professeur à l’École polytechnique fédérale à Zurich ; Gunnar Rande
5 héorique à l’Université de Louvain ; P. Scherrer ( Suisse ), professeur à l’Institut de physique de l’École polytechnique fédéra
6 ’adresser à de grandes compagnies privées belges, suisses , etc., pour obtenir pour le Laboratoire une première mise de fonds, s
7 ourg — Norvège — Pays-Bas — Royaume-Uni — Suède — Suisse — Yougoslavie. 10. (paragraphe f) de la résolution) Étant donné la p
8 s rectangles y étaient dessinés en rouge, l’un en Suisse et l’autre en France, de part et d’autre de la route Genève-Saint-Gen
9 M. Max Petitpierre, président de la Confédération suisse — qui rappellera dans son discours le rôle joué par la conférence de
2 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
10 itif des statuts, le notaire exigea, selon la loi suisse , qu’un président, un trésorier et un secrétaire soient élus sur le ch
11 cinq ans. Enfin, le 1er avril, le Conseil fédéral suisse accepte d’être l’autorité de surveillance de la Fondation. Les déb
12 ), en Belgique (Bruxelles, Gand) et à Fribourg en Suisse , avec le concours d’un très grand nombre d’éducateurs, de professeurs