1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 00 pages comme Rabevel. Car si la liquidation des questions traitées est rapide, elle est complète aussi. On s’étonne de ce que F
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 existe que pour autant qu’on en parle, la vraie «  question asiatique » étant une question politique. On peut prévoir que si le b
3 parle, la vraie « question asiatique » étant une question politique. On peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un re
4 a ceux qui à la suite de Claudel estiment que la question ne se pose pas, puisque nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
5 sibilités neuves, — pour le libérer. Il n’est pas question de rechercher ici les origines historiques d’une conception qui, de p
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
6 lieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des questions de partis, avec une passion contenue d’hommes qui ont vu, qui ont sou
5 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
7 ux : « J’ai donc la foi ? » Mais c’est encore une question … Je crois qu’il ne faut pas attendre immobile dans sa prière, qu’une
6 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
8 1926)a Il y a dans le monde intellectuel une «  Question d’Orient » dont on ne peut plus méconnaître l’urgence. Des prophètes
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
9 es. « Amis, ce sont les jeunes qui passent… » Pas question de les saluer ni d’emboîter le pas, mais seulement de retenir sa plac
8 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
10 e joie inconnue. Et je me refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même posait ma raison effarée. L’étranger s’animait aussi :
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
11 e envie de crier : « Trop de gestes ! » C’est une question d’épuration des moyens. Rendre le plus par le moins, c’est le fait d’
12 liste que le film 1905. Ce n’est peut-être qu’une question d’imagination ; il reste qu’un film comme Entr’acte est une aide puis
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
13 tueuse. Et bien sûr, je n’ai pas bougé. C’est une question d’amitié. Pourtant je suis seul dès cette heure, et mes amis fuiront
11 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
14 r à un regroupement de ses forces créatrices ? La question est peut-être prématurée. Mais le seul fait qu’elle se pose me paraît
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
15 et si tragique de la civilisation d’Occident. Les questions capitales posées ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keys
13 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
16 te organisation toute-puissante n’est plus qu’une question de quelques années. Mais peut-être est-il temps encore. Ici et là, qu
17 uraient l’atteindre. Au contraire, il a résolu la question sociale d’une façon qui ne devrait pas déplaire aux doctrinaires de g
18 e qui a réussi. Mais à quoi ? C’est la plus grave question qu’on puisse poser à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la p
19 avec lequel, de nos jours, on tranche les grandes questions humaines est une des manifestations les plus frappantes de notre régr
20 et courage. Pour le reste, je pense que c’est une question de foi. 1. Une enquête faite à Genève a révélé que les livres les
14 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
21 e, beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma question . L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici tout abandonné à l’é
22 dit Gérard, je situe l’amour dans un monde où la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé
15 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
23 Les derniers écrits des surréalistes débattent la question de savoir s’ils vont se taire ou non. Mais leur silence ne doit pas e
16 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
24 bien que l’épithète de mythomane n’épuise pas une question dont l’importance dépasse celle du cas pathologique. Il y a dans ce c
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
25 e cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dans les discus
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
26 ution de continuité, la différence n’étant qu’une question d’âge, non d’expérience vécue. Ce que je vais dire est sans doute inj
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
27 préparer les élèves à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens voudrait que l’on tînt com
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
28 osses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier prép
29 arer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les questions aussi bien que les réponses. J’avoue que je trouve ça très fort : avo
30 prendre pour préparer les temps nouveaux. Énorme question . Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la réponse que
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
31 peut vous rassurer quant à ma santé mentale.) La question est de savoir si nous serons des hommes de chair et d’esprit, ou des
32 système qu’il propagent et qui les fait vivre. La question se complique dès que l’instituteur prend conscience de la nocivité de
33 d’enseignement véritable que religieux. Mais les questions confessionnelles enrayent et faussent tout. Imaginez une culture spir
22 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
34 nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
23 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
35 grettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une question aussi centrale — qui est, si l’on veut, la question d’Orient-Occident
36 estion aussi centrale — qui est, si l’on veut, la question d’Orient-Occident. Et pourquoi cette hostilité de sectaire contre l’i
24 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
37 et ces jeunes gens ont une façon de trancher les questions qui vous désarme. Craignant qu’on ne lui fît un mauvais parti, l’ange
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
38 e cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dans les discus
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
39 ution de continuité, la différence n’était qu’une question d’âge, non d’expérience vécue. Ce que je vais dire est sans doute inj
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
40 préparer les élèves à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens voudrait que l’on tînt com
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
41 osses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de questions dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier prép
42 arer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les questions aussi bien que les réponses. J’avoue que je trouve ça très fort : avo
43 prendre pour préparer les temps nouveaux. Énorme question . Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la réponse que
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
44 a peut vous rassurer quant à ma santé morale.) La question est de savoir si nous serons des hommes de chair et d’esprit, ou des
45 ystème qu’ils propagent et qui les fait vivre. La question se complique dès que l’instituteur prend conscience de la nocivité de
46 d’enseignement véritable que religieux. Mais les questions confessionnelles enrayent et faussent tout. Imaginez une culture spir
30 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
47 t de puissance… On ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on les pose, ajo
31 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
48 s relations avec le monde. En quoi cette première question est assez indiscrète. II Il y aurait beaucoup à dire sur l’admiratio
49 et même avant) que Saint-Augustin a formulé cette question , qu’il n’osait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des philosop
32 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
50 squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
51 Mais vous pensez que tant de mots pour une simple question de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien malade. Il perd le senti
33 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
52 se, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
53 ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
54 aujourd’hui le moindre chien écrasé pose toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « importance » relati
55  ». Aux yeux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg, il pense qu’u
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
56 d bien garde, éludait dans une certaine mesure la question délicate de l’existence d’un « art protestant ». En effet, on ne parl
57 sé, à propos d’un salon d’art catholique, la même question , en remplaçant calvinisme par thomisme par exemple ? L’artiste cathol
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
58 cette femme, qui a subi sans les mettre jamais en question les exigences les plus terribles de la société insulaire, possède un
59 — Tante Harriet eut un soupir de soulagement. La question était réglée : du moment qu’on allait à l’église le dimanche, tout ét
60 é charmante, « une façon naturelle de traiter les questions religieuses, sans fausse honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son
37 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
61 us les autres paraissent petits à côté de lui. La question essentielle pour Kierkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
38 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
62 objet déterminant de son auteur. Elle concerne la question sociale. Il s’attache à cette expression un « ennui » qui sert à beau
63 mulerai brièvement : Tant que l’on considère la «  question  » sociale et que l’on en « discute », c’est irritant, vain et irréduc
64 e », c’est irritant, vain et irréductible. Car la question sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il ne s’agit p
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
65 eaucoup moins simple qu’il ne le croyait. Mais la question reste de savoir si cette division interne, une fois reconnue, doit êt
66 a prime, les vices ayant épuisé leurs saveurs. La question n’est pas d’être vertueux, mais de faire la volonté de Dieu. Et ce qu
40 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
67 e voudrais vous poser une question, Sonnette. Une question très grave. Une question qui revient à peu près à ceci : Êtes-vous un
68 question, Sonnette. Une question très grave. Une question qui revient à peu près à ceci : Êtes-vous un être capable d’aimer, ou
69 seulement une apparence adorable ? Et voici cette question  : Aimez-vous mieux la pluie ou le beau temps ? Sonnette. — Pfi ! com
41 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
70 s, de fausses hontes et de sourires complices. La question toutefois doit être portée sur un plan supérieur à toute polémique :
71 comme leur accusation perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles posent, chrétiennement, c’est de savoir si nous les méritons
42 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
72 ment mise en question, posent eux-mêmes si peu de questions , ou de si minimes. Je lis un article récent de Ramuz (sur le Travail)
73 ent de l’heure. Et je m’inquiète ; non pas de ces questions ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramu
74 interrogeant notre destin, lui poser en face des questions d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ? Ai-je mal su lire tan
75 questions si rudimentaires, si peu élaborées, des questions que n’importe qui pourrait poser et qui ne peuvent tirer de nous rien
76 losophies mal embrayées ?… Nous voici ramenés aux questions simples, et réputées grossières. Peut-être voit-on mieux maintenant d
43 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
77 uelque insistance depuis 1914, il apparaît que la question peut être reprise sans trop de mauvais goût par une jeunesse qu’on di
78 ait atteindre. » Mais qu’est-ce que l’Éthique ? —  Question non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’Éth
79 nos mains. On nous a menés à ce point — il n’est question de s’en réjouir ni de le déplorer — où le choix n’est plus qu’entre m
80 es y compare ; et se réduisent bien souvent à des questions de préséance, entre philosophes-professeurs qui connaissent les règle
44 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
81 d’une magie maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La question se pose pour lui, dès l’abord, en termes matériels, urgents et contra
82 s, visible tout au long de l’œuvre, prouve que la question se pose sans cesse à nouveau et que sous l’apparence de plus en plus
45 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
83 aurions, surtout dans Foi et Vie , aborder cette question sous l’angle de la curiosité littéraire ou historique. Elle pose cepe
84 e peut et ne doit éviter. Goethe est une de ces «  questions au christianisme » comme dit Barth, une de ces questions qui nous son
85 ns au christianisme » comme dit Barth, une de ces questions qui nous sont posées comme autant d’accusations, et qu’il est de notr
86 l’athéisme annexe avec une pareille aisance ? La question serait tranchée, en effet, si nous ne savions rien des circonstances
46 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
87 ce temps. Il réfute MM. Berl et Guéhenno, sur la question de la culture dans ses rapports avec le peuple. Il discute M. Malraux
88 poser simplement, brutalement, une de ces grandes questions que la pensée moderne a convenu d’appeler « naïves », parce qu’elles
89 par bonheur, est très simple : Il n’y a point de questions plus grossières que celles qui sont posées ici, qui sont retournées i
90 ante est caractérisée par son refus d’aborder les questions dites vulgaires, qui conduiraient à des conclusions dangereuses pour
91 … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de questions . Il n’y a aucune raison de ne pas leur donner de réponses ». Au fond,
47 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
92 Si dans tous les écrits de notre temps il est question de bien, de mal, de vice et de vertu, de péché même, parfois, quels s
93 éché » — le débat se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire. Une simple question de vocabulaire comme on dit, — lo
94 e page, à une question de vocabulaire. Une simple question de vocabulaire comme on dit, — lorsqu’on se soucie peu de savoir ce q
48 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
95 e, beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma question . L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici tout abandonné à l’é
96 dit Gérard, je situe l’amour dans un monde où la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé
49 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
97 squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
98 Mais vous pensez que tant de mots pour une simple question de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien malade. Il perd le senti
99 se, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
100 ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
50 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
101 nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
51 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
102 sur ma vie » du père Reinecke. Il y est beaucoup question de la vie éternelle, et d’expériences vécues avec l’Ange gardien, mai
103 s l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pou
104 it bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’ai pensé aux ge
52 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
105 une courte prière, durant laquelle il n’est plus question de bouger. La table immense est chargée des produits du domaine. On b
106 ue le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me paraît, au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité h
107 cela désigne une nouvelle répartition des terres. Question que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Pru
53 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
108 prophétique d’André Philip ont posé au régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la j
109 t tirer de ces débats une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mai
54 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
110 éponses à offrir à leurs perpétuelles et urgentes questions  ; en face de philosophies qui de Descartes à Kant, ou de Hegel à Marx
55 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
111 e de l’affirmer ; il n’est pas de réponse à cette question pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend p
56 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
112 uvelle. Ici, je ne dirai plus nous, mais je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de
113 de ce temps n’aiment pas répondre, car c’est une question personnelle. Une mise en question réelle. Je la cherche. Ce qu’il fa
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
114 squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la question terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
115 se, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
116 ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
117 une courte prière, durant laquelle il n’est plus question de bouger. La table immense est chargée des produits du domaine. On b
118 ue le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me paraît, au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité h
119 cela désigne une nouvelle répartition des terres. Question que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Pru
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
120 nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
121 sur ma vie » du père Reinecke. Il y est beaucoup question de la vie éternelle, et d’expériences vécues avec l’Ange gardien, mai
122 s l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pou
123 it bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’ai pensé aux ge
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
124 s : êtes-vous sauvés du péché ? Tout de suite les questions personnelles, et ce besoin de réformer le prochain… Est-ce que ceux q
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
125 s tôt, chez les Heyd, nous avions joué au jeu des questions et réponses. L’un écrit trois questions, et l’autre en même temps tro
126 u jeu des questions et réponses. L’un écrit trois questions , et l’autre en même temps trois réponses. Puis on lit à haute voix le
127 hasard, ou de télépathie. J’avais écrit, dernière question  : — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la fille de Gide, lut sa dern
63 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
128 it rien que l’Évangile ? Peine perdue ? — Grosses questions , questions un peu grosses, dira-t-on. Dans une époque comme la nôtre,
129 l’Évangile ? Peine perdue ? — Grosses questions, questions un peu grosses, dira-t-on. Dans une époque comme la nôtre, ce sont ce
64 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
130 înées dans le monde contemporain voit bien que la question n’est plus de s’évader, de se distraire en oubliant un monde qu’on se
65 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
131 que, demain, l’imitera, et même la France, si les questions économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, dep
132 que seul, aujourd’hui, il prétend résoudre cette question , d’ailleurs essentiellement chrétienne : « Quelle est votre attitude
133 ’elle dût s’occuper de la durée du travail, de la question des salaires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vi
66 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
134 ue chose de positif… » Nous avons accueilli cette question de la façon dont nous voudrions que toutes les questions que nous pos
135 on de la façon dont nous voudrions que toutes les questions que nous poserons ici soient accueillies : avec un sérieux et un resp
136 ubre. Le sérieux et le respect, en présence d’une question , c’est tout simplement de se dire : cette question est justifiée par
137 uestion, c’est tout simplement de se dire : cette question est justifiée par le fait même qu’elle a surgi à l’occasion de ce que
138 se. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question , c’est un procédé électoral qui peut être utile à son heure, mais nou
139 onne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors qu’il eût fallu r
140 épondre plus clairement à ceux qui croient à leur question , j’entends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-même
141 ffirmations qui troublent notre sécurité, par des questions qui gênent nos habitudes, par des exigences qui révoltent le bon sens
142 curités et vos incertitudes, vos solutions et vos questions mêmes. Nous ne pouvons qu’aggraver à vos yeux votre mal. Nous ne pouv
143 l’injonction de prendre vous-mêmes au sérieux vos questions . Car alors, vous approcheriez de la réponse, vous y offrant sans défe
144 que ce prochain lui apparaît précisément comme la question que Dieu lui adresse. À la faveur de cette « conversion », la notion
145 e morale, parce qu’ils dénaturent ou refoulent la question , en lui fournissant des réponses tantôt prématurées, tantôt inopérant
67 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
146 orique, mais bien pour poser devant vous quelques questions , définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoqu
147 constatations prudemment mesurées. Et d’abord, la question qui nous occupe ici est-elle une vraie question ? Est-elle, pour chac
148 a question qui nous occupe ici est-elle une vraie question  ? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie
149 aie question ? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et
150 vous cherchez à répondre ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de l
151 doute le besoin qu’il a de mettre en question les questions elles-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à discuter sur des
152 Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général,
153 s, la justice. Faut-il voir là autre chose qu’une question de mots ? Dans l’un et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir q
154 . Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple : il ne sait mê
155 qui refuse d’accepter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagoni
156 re opposé utilement au christianisme, comme une «  question  » réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste, le chréti
68 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
157 il importe que les victimes ne mettent jamais en question les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul ne pouvait prévoir
69 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
158 t le bagage d’arguments nécessaires. Et voilà une question réglée, et une conscience qui se rendort, et un littérateur qui retou
70 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
159 rouve-t-il à son tour jugé ? Si l’on récusait ces questions , on affirmerait par là même que l’acte créateur se crée soi-même et s
160 est l’aspect humain de la dialectique dont il est question chez Barth ; et que cela suffise à faire voir que Barth ne saurait en
161 ur le droit de ne pas trop prendre au sérieux les questions étranges et cruelles que poserait sinon la vie de tous les jours, — o
71 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
162 de la sagesse du grand siècle, sous le coup de la question capitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la vérité est-elle e
72 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
163 , dans cette frénésie de bonne humeur, il y a une question . Non pas un doute, mais quelque chose qui veut une réponse, et qui es
164 de les y aider ; et de comprendre que seule cette question -là rétablit la communion humaine. n. Rougemont Denis de, « [Compte
73 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
165 el néglige ou tente de stériliser. La plupart des questions qui divisent capitalistes et marxistes sont insolubles sur le terrain
74 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
166 s le fard, de vieilles rides bien connues ? À ces questions , l’ouvrage que René Dupuis et Alexandre Marc viennent de publier sous
75 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
167 littéralement insupportable ? Telles étaient les questions que se posait, vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un vill
168 t être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette question à laquelle il ne peut ni ne veut se soustraire, Karl Barth se met à r
169 re, une réponse qui ne veut s’adresser qu’à ces «  questions dernières » de notre vie, celle devant lesquelles nous fuyons toujour
170 notre temps. C’est pour cela qu’il peut poser les questions les plus gênantes qui soient. ⁂ On l’a bien vu récemment, lors du con
76 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
171 ur les nomades, sur Nietzsche ou Diderot, sur des questions de droit, sur le régime du travail. Toutes ces recherches le conduisa
77 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
172 ation du monde n’est rien de plus qu’une certaine question qui m’est adressée, et qui ne se précise en moi qu’à l’instant où ell
173 tion personnelle. On songe ici tout de suite à la question sociale. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes q
174  La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’une morale individuelle apt
175 e ce renversement de l’individualisme. Ramener la question sociale aux limites de la personne, c’est constater que la question s
176 ux limites de la personne, c’est constater que la question sociale, en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose
177 ater que la question sociale, en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ailleurs que dans le je aux prise
178 je n’ai pas à les connaître autrement que par la question concrète qu’elles m’adressent ; et cette question ne peut être concrè
179 question concrète qu’elles m’adressent ; et cette question ne peut être concrète — ne peut être un conflit véritable — que si c’
78 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
180 ais seulement les aider à prendre au sérieux leur question . J’écris pour ceux qui sont en marche, pauvres hommes, pauvres impuis
181 malgré ses appels à Luc, n’a pas répondu à notre question , il fait métier d’être incapable de répondre aux questions. Aussi qui
182 , il fait métier d’être incapable de répondre aux questions . Aussi quittant le ton des prophètes ajoute-t-il à l’usage des import
79 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
183 , pour le faire apparaître, de poser cette simple question  : comment un siècle peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de
184 devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la question revient-elle en définitive à savoir si la foi des marxistes et des ra
185 ponsable ? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’emb
186 e que la personne ? Permettez-moi de renverser la question  : Qu’est-ce que ces dieux et ces mythes collectifs ? J’ai essayé de v
187 ce serait là une autre conférence. ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une q
188 re conférence. ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose s
189 n dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai ci
190 nnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à toutes ces questions , c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous
80 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
191 vivant », répétaient les théologiens libéraux. La question était ainsi nettement posée : pour devenir chrétien, il fallait « ren
192 didactique : elle veut sans cesse transformer nos questions en questions que le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du cr
193 elle veut sans cesse transformer nos questions en questions que le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du critique modern
81 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
194 u monde est un événement. Elle a son lieu dans la question que nous adressent les créatures, lorsque nous distinguons leur vérit
195 ême temps et c’est surtout répondre au-delà de la question . ⁂ L’homme jeté dans la diversité de l’univers, aux aguets des tentat
196 monde. L’arbre devient colonne et ne pose plus de question . Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme se retrouve seul
197 . ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une question dont on ne peut saisir le sens exact ? Ainsi se défend la Logique. El
198 nfer logique est sans défaut. Le sens exact d’une question n’est donné que par la réponse. Mais l’homme antique n’a pas en lui d
199 e quoi répondre à la Nature : il est lui-même une question que Dieu ne semble pas entendre. L’homme antique, c’est Adam dessaisi
200 notre ère, la réponse éternelle à la perpétuelle question du monde, nous est donnée. C’est d’abord une réponse faite à l’homme.
201 ède cette réponse, l’homme comprend le sens de la question . Et dans l’élan désordonné des êtres et des choses, il découvre une «
202 e pour imposer au monde — mais sans comprendre sa question — un ordre « humain » — mais sans connaître l’Homme — peut être carac
203 ès de la technique ont supprimé définitivement la question . La Nature n’est plus que matières premières, surfaces d’exploitation
204 r, qui renonce à souffrir, qui se rend sourd à la question des choses en même temps qu’à la question de Dieu. Baptiser communion
205 rd à la question des choses en même temps qu’à la question de Dieu. Baptiser communion ce lyrisme de l’isolement, c’est un des t
206 s Schlegel philosophe ardemment autour de cette «  question  » du monde, alors que les lyriques anglais nourrissent leur flamme d’
207 jamais atteindre au pathétique existentiel de la question . Un seul, peut-être, a pressenti le sens chrétien de la Nature, c’est
208 omme les romantiques allemands, s’il voit bien la question ne va pas jusqu’à l’accepter, et sa réponse n’est encore qu’une évasi
209 d’apporter à la Nature une réponse qui dépasse sa question et qui atteint et qui embrasse l’être anxieux de la créature. En cet
210 n rêve, idéalisme meurtrier et qui fuit devant la question . 13. Cf. la remarquable étude de Charles Du Bos sur Wordsworth, dans
82 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
211 yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette question pourtant bien naturelle : Comment un siècle peut-il avoir un destin ?
212 es, voici ce que nous avons à dire : Retournez la question qu’on vous pose, cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Q
83 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
213 peut-être simplement, des hommes qui dominent les questions dont ils traitent. Car pour « l’économiste distingué », nous en somme
214 ans notre ordre, ni de plus digne de conquête. La question reste, évidemment, de savoir combien, parmi nous, tiennent encore à ê
215 ouleverse toutes les idées traditionnelles sur la question — et en passant, l’un des fondements de la théorie économique de Marx
84 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
216 de répondre d’une façon précise et autorisée aux questions des incroyants ou des catholiques ; mais il se soucie peu d’examiner
217 lui manquait, et dont le défaut empêchait que la question fût posée utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certai
85 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
218 dans le domaine de César ? De la réponse à cette question dépendra notre évaluation des tentatives esquissées jusqu’ici, et peu
219 tient d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauche également condamnées. Par ce
220 dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmées et des polém
221 laisir stérile des clercs bourgeois. C’est ici la question de la tactique qui se pose, en même temps que celle des institutions
222 t citer ici les numéros volumineux consacrés à la question du Travail, ou à l’Argent misère du pauvre, misère du riche. Un tel t
223 ues21. L’Ordre nouveau se défend d’aborder aucune question confessionnelle. Il n’en reste pas moins que le fondement spirituel c
86 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
224 sant dans le cercle concret de leur vie. La seule question qu’il y ait donc lieu de poser est celle-ci : comment atteindre les h
87 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
225 us les autres paraissent petits à côté de lui. La question essentielle pour Kierkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
88 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
226 eposes aussi sur ta vertu. Ou bien tu vois que la question brûlante, c’est de savoir si toi, tu es chrétien, ou bien tu vitupère
227 est bien moins dangereux ; tous en seront… « Deux questions — dit encore Kierkegaard — témoignent de l’esprit : 1) Ce qu’on nous
228 che, est-ce possible ? 2) Puis-je le faire ? Deux questions témoignent de l’absence de l’esprit : 1) Est-ce réel ? 2) Mon voisin
229 ment fait ? »55 Nous posons toujours la dernière question . Nous ne croyons pas à l’esprit, nous préférons ne pas scandaliser ;
230 t si peu dramatique, cela ne signifie pas que les questions dernières ne s’y posent jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les
231 de « la foule » dans notre existence morale. Une question mal posée. Un regard trouble porté sur la réalité. x. Rougemont Den
89 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
232 le, de l’hitlérisme allemand ? » Voilà certes des questions embarrassantes pour les SFIO. Nous sera-t-il permis de signaler en pa
90 1934, Politique de la personne. Introduction — 1. L’engagement politique
233 aires publiques et tout finit en dictature : plus question de pensée libre, j’entends : de pensée responsable. Mais si l’intelli
91 1934, Politique de la personne. Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
234 à leur manière toute désintéressée de traiter les questions humaines, qu’on se trouve aujourd’hui justifié d’accueillir leurs « a
92 1934, Politique de la personne. Introduction — 3. Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
235 rt. La situation présente me l’interdirait, toute question de talent mise à part. Il est clair que le monde moderne n’est pas co
93 1934, Politique de la personne. Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
236 4.Pour une politique à hauteur d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins le
237 les pouvoirs entendent mener les hommes. Toute la question est de savoir quelle définition de l’homme est impliquée dans telle p
238 ée dans telle politique qu’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le monde des politiciens ! Si la Politiqu
239 ujours vu faire, ils ne se posent pas beaucoup de questions , ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité même, leur petite taille
240 s et les gauches. Changeons de plan ! Reposons la question politique dans une perspective humaine, et non plus dans « l’optique
94 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
241 très perplexes, etc. » Si le lecteur se pose ces questions -là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a conduit ce lect
95 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
242 , pour le faire apparaître, de poser cette simple question  : comment un siècle peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de
243 devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la question revient-elle en définitive à savoir si la foi des marxistes et des ra
244 ponsable ? Telle est, je crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’emb
245 e que la personne ? Permettez-moi de renverser la question  : que sont ces dieux et ces mythes collectifs sous lesquels on préten
246 ce serait là une autre conférence. ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une q
247 re conférence. ⁂ Il reste une question grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose s
248 n dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai ci
249 nnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à toutes ces questions , c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous
96 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (D’après une discussion)
250 u individu ? (D’après une discussion) Première question . — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon temps, nous disions :
251 es… mais nous en parlerons une autre fois. Autre question . — Qu’est-ce que cela signifie : « Fonder les lois sur la personne » 
252 rsonnes en vue d’atteindre un maximum. Troisième question . — Il y a dans votre position personnaliste un danger bien plus grand
253 a défense nationale et l’ordre public. Quatrième question . — Les personnalistes se réclament volontiers de l’esprit. Ils revend
97 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
254 « l’esprit ». Tel étant, à peu près, l’état de la question , je voudrais maintenant indiquer en quelques thèses rapides la positi
255 ailleurs par Werner Sombart. Cf. encore sur cette question l’article de Louis Febvre, in Foi et Vie , n° 58-59 : Capitalisme et
256 t très bien s’en tirer. L’auteur et le préjugé en question voudraient qu’il y ait d’abord la locomotive, et ensuite, si on a le
98 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
257 e de l’affirmer ; il n’est pas de réponse à cette question pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend p
99 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
258 humains ? De la réponse qu’un homme fait à cette question , l’on pourrait tirer un critère de l’incroyance ou de la foi. Tout co
100 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
259 orique, mais bien pour poser devant vous quelques questions , définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoqu
260 constatations prudemment mesurées. Et d’abord, la question qui nous occupe ici est-elle une vraie question ? Est-elle, pour chac
261 a question qui nous occupe ici est-elle une vraie question  ? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie
262 aie question ? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et
263 vous cherchez à répondre ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de l
264 doute le besoin qu’il a de mettre en question les questions elles-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à discuter sur des
265 Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général,
266 . Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple : il ne sait mê
267 qui refuse d’accepter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonis
268 re opposé utilement au christianisme, comme une «  question  » réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste, le chréti