1
00 pages comme Rabevel. Car si la liquidation des
questions
traitées est rapide, elle est complète aussi. On s’étonne de ce que F
2
existe que pour autant qu’on en parle, la vraie «
question
asiatique » étant une question politique. On peut prévoir que si le b
3
parle, la vraie « question asiatique » étant une
question
politique. On peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un re
4
a ceux qui à la suite de Claudel estiment que la
question
ne se pose pas, puisque nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme
5
sibilités neuves, — pour le libérer. Il n’est pas
question
de rechercher ici les origines historiques d’une conception qui, de p
6
lieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des
questions
de partis, avec une passion contenue d’hommes qui ont vu, qui ont sou
7
ux : « J’ai donc la foi ? » Mais c’est encore une
question
… Je crois qu’il ne faut pas attendre immobile dans sa prière, qu’une
8
1926)a Il y a dans le monde intellectuel une «
Question
d’Orient » dont on ne peut plus méconnaître l’urgence. Des prophètes
9
es. « Amis, ce sont les jeunes qui passent… » Pas
question
de les saluer ni d’emboîter le pas, mais seulement de retenir sa plac
10
e joie inconnue. Et je me refusais sans cesse aux
questions
qu’en moi-même posait ma raison effarée. L’étranger s’animait aussi :
11
e envie de crier : « Trop de gestes ! » C’est une
question
d’épuration des moyens. Rendre le plus par le moins, c’est le fait d’
12
liste que le film 1905. Ce n’est peut-être qu’une
question
d’imagination ; il reste qu’un film comme Entr’acte est une aide puis
13
tueuse. Et bien sûr, je n’ai pas bougé. C’est une
question
d’amitié. Pourtant je suis seul dès cette heure, et mes amis fuiront
14
r à un regroupement de ses forces créatrices ? La
question
est peut-être prématurée. Mais le seul fait qu’elle se pose me paraît
15
et si tragique de la civilisation d’Occident. Les
questions
capitales posées ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keys
16
te organisation toute-puissante n’est plus qu’une
question
de quelques années. Mais peut-être est-il temps encore. Ici et là, qu
17
uraient l’atteindre. Au contraire, il a résolu la
question
sociale d’une façon qui ne devrait pas déplaire aux doctrinaires de g
18
e qui a réussi. Mais à quoi ? C’est la plus grave
question
qu’on puisse poser à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la p
19
avec lequel, de nos jours, on tranche les grandes
questions
humaines est une des manifestations les plus frappantes de notre régr
20
et courage. Pour le reste, je pense que c’est une
question
de foi. 1. Une enquête faite à Genève a révélé que les livres les
21
e, beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma
question
. L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici tout abandonné à l’é
22
dit Gérard, je situe l’amour dans un monde où la
question
fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé
23
Les derniers écrits des surréalistes débattent la
question
de savoir s’ils vont se taire ou non. Mais leur silence ne doit pas e
24
bien que l’épithète de mythomane n’épuise pas une
question
dont l’importance dépasse celle du cas pathologique. Il y a dans ce c
25
e cet aspect du problème que l’on peut appeler la
question
de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dans les discus
26
ution de continuité, la différence n’étant qu’une
question
d’âge, non d’expérience vécue. Ce que je vais dire est sans doute inj
27
préparer les élèves à une composition française ?
Question
oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens voudrait que l’on tînt com
28
osses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de
questions
dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier prép
29
arer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les
questions
aussi bien que les réponses. J’avoue que je trouve ça très fort : avo
30
prendre pour préparer les temps nouveaux. Énorme
question
. Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la réponse que
31
peut vous rassurer quant à ma santé mentale.) La
question
est de savoir si nous serons des hommes de chair et d’esprit, ou des
32
système qu’il propagent et qui les fait vivre. La
question
se complique dès que l’instituteur prend conscience de la nocivité de
33
d’enseignement véritable que religieux. Mais les
questions
confessionnelles enrayent et faussent tout. Imaginez une culture spir
34
nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes
questions
naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
35
grettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une
question
aussi centrale — qui est, si l’on veut, la question d’Orient-Occident
36
estion aussi centrale — qui est, si l’on veut, la
question
d’Orient-Occident. Et pourquoi cette hostilité de sectaire contre l’i
37
et ces jeunes gens ont une façon de trancher les
questions
qui vous désarme. Craignant qu’on ne lui fît un mauvais parti, l’ange
38
e cet aspect du problème que l’on peut appeler la
question
de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dans les discus
39
ution de continuité, la différence n’était qu’une
question
d’âge, non d’expérience vécue. Ce que je vais dire est sans doute inj
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préparer les élèves à une composition française ?
Question
oiseuse et saugrenue, — naïve. Le bon sens voudrait que l’on tînt com
41
osses, dès l’âge de 6 ans, à ne se point poser de
questions
dont ils n’aient appris par cœur la réponse. Regardez un écolier prép
42
arer ses devoirs, c’est frappant : il apprend les
questions
aussi bien que les réponses. J’avoue que je trouve ça très fort : avo
43
prendre pour préparer les temps nouveaux. Énorme
question
. Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la réponse que
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a peut vous rassurer quant à ma santé morale.) La
question
est de savoir si nous serons des hommes de chair et d’esprit, ou des
45
ystème qu’ils propagent et qui les fait vivre. La
question
se complique dès que l’instituteur prend conscience de la nocivité de
46
d’enseignement véritable que religieux. Mais les
questions
confessionnelles enrayent et faussent tout. Imaginez une culture spir
47
t de puissance… On ne se pose plus, en France, de
questions
qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on les pose, ajo
48
s relations avec le monde. En quoi cette première
question
est assez indiscrète. II Il y aurait beaucoup à dire sur l’admiratio
49
et même avant) que Saint-Augustin a formulé cette
question
, qu’il n’osait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des philosop
50
squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la
question
terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
51
Mais vous pensez que tant de mots pour une simple
question
de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien malade. Il perd le senti
52
se, village suisse, gare allemande grouillante de
questions
sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
53
ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une
question
de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
54
aujourd’hui le moindre chien écrasé pose toute la
question
sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « importance » relati
55
». Aux yeux du « séculariste », bien entendu, la
question
religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg, il pense qu’u
56
d bien garde, éludait dans une certaine mesure la
question
délicate de l’existence d’un « art protestant ». En effet, on ne parl
57
sé, à propos d’un salon d’art catholique, la même
question
, en remplaçant calvinisme par thomisme par exemple ? L’artiste cathol
58
cette femme, qui a subi sans les mettre jamais en
question
les exigences les plus terribles de la société insulaire, possède un
59
— Tante Harriet eut un soupir de soulagement. La
question
était réglée : du moment qu’on allait à l’église le dimanche, tout ét
60
é charmante, « une façon naturelle de traiter les
questions
religieuses, sans fausse honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son
61
us les autres paraissent petits à côté de lui. La
question
essentielle pour Kierkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
62
objet déterminant de son auteur. Elle concerne la
question
sociale. Il s’attache à cette expression un « ennui » qui sert à beau
63
mulerai brièvement : Tant que l’on considère la «
question
» sociale et que l’on en « discute », c’est irritant, vain et irréduc
64
e », c’est irritant, vain et irréductible. Car la
question
sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il ne s’agit p
65
eaucoup moins simple qu’il ne le croyait. Mais la
question
reste de savoir si cette division interne, une fois reconnue, doit êt
66
a prime, les vices ayant épuisé leurs saveurs. La
question
n’est pas d’être vertueux, mais de faire la volonté de Dieu. Et ce qu
67
e voudrais vous poser une question, Sonnette. Une
question
très grave. Une question qui revient à peu près à ceci : Êtes-vous un
68
question, Sonnette. Une question très grave. Une
question
qui revient à peu près à ceci : Êtes-vous un être capable d’aimer, ou
69
seulement une apparence adorable ? Et voici cette
question
: Aimez-vous mieux la pluie ou le beau temps ? Sonnette. — Pfi ! com
70
s, de fausses hontes et de sourires complices. La
question
toutefois doit être portée sur un plan supérieur à toute polémique :
71
comme leur accusation perpétuelle ? Car la vraie
question
qu’elles posent, chrétiennement, c’est de savoir si nous les méritons
72
ment mise en question, posent eux-mêmes si peu de
questions
, ou de si minimes. Je lis un article récent de Ramuz (sur le Travail)
73
ent de l’heure. Et je m’inquiète ; non pas de ces
questions
ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramu
74
interrogeant notre destin, lui poser en face des
questions
d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ? Ai-je mal su lire tan
75
questions si rudimentaires, si peu élaborées, des
questions
que n’importe qui pourrait poser et qui ne peuvent tirer de nous rien
76
losophies mal embrayées ?… Nous voici ramenés aux
questions
simples, et réputées grossières. Peut-être voit-on mieux maintenant d
77
uelque insistance depuis 1914, il apparaît que la
question
peut être reprise sans trop de mauvais goût par une jeunesse qu’on di
78
ait atteindre. » Mais qu’est-ce que l’Éthique ? —
Question
non éthique, et qui manifeste seulement l’égarement du temps. « L’Éth
79
nos mains. On nous a menés à ce point — il n’est
question
de s’en réjouir ni de le déplorer — où le choix n’est plus qu’entre m
80
es y compare ; et se réduisent bien souvent à des
questions
de préséance, entre philosophes-professeurs qui connaissent les règle
81
d’une magie maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La
question
se pose pour lui, dès l’abord, en termes matériels, urgents et contra
82
s, visible tout au long de l’œuvre, prouve que la
question
se pose sans cesse à nouveau et que sous l’apparence de plus en plus
83
aurions, surtout dans Foi et Vie , aborder cette
question
sous l’angle de la curiosité littéraire ou historique. Elle pose cepe
84
e peut et ne doit éviter. Goethe est une de ces «
questions
au christianisme » comme dit Barth, une de ces questions qui nous son
85
ns au christianisme » comme dit Barth, une de ces
questions
qui nous sont posées comme autant d’accusations, et qu’il est de notr
86
l’athéisme annexe avec une pareille aisance ? La
question
serait tranchée, en effet, si nous ne savions rien des circonstances
87
ce temps. Il réfute MM. Berl et Guéhenno, sur la
question
de la culture dans ses rapports avec le peuple. Il discute M. Malraux
88
poser simplement, brutalement, une de ces grandes
questions
que la pensée moderne a convenu d’appeler « naïves », parce qu’elles
89
par bonheur, est très simple : Il n’y a point de
questions
plus grossières que celles qui sont posées ici, qui sont retournées i
90
ante est caractérisée par son refus d’aborder les
questions
dites vulgaires, qui conduiraient à des conclusions dangereuses pour
91
… « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de
questions
. Il n’y a aucune raison de ne pas leur donner de réponses ». Au fond,
92
Si dans tous les écrits de notre temps il est
question
de bien, de mal, de vice et de vertu, de péché même, parfois, quels s
93
éché » — le débat se ramène sur cette page, à une
question
de vocabulaire. Une simple question de vocabulaire comme on dit, — lo
94
e page, à une question de vocabulaire. Une simple
question
de vocabulaire comme on dit, — lorsqu’on se soucie peu de savoir ce q
95
e, beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma
question
. L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici tout abandonné à l’é
96
dit Gérard, je situe l’amour dans un monde où la
question
fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé
97
squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la
question
terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
98
Mais vous pensez que tant de mots pour une simple
question
de sentiment… C’est que vous êtes déjà bien malade. Il perd le senti
99
se, village suisse, gare allemande grouillante de
questions
sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
100
ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une
question
de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
101
nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes
questions
naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
102
sur ma vie » du père Reinecke. Il y est beaucoup
question
de la vie éternelle, et d’expériences vécues avec l’Ange gardien, mai
103
s l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une
question
de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pou
104
it bel et bien d’une question de nourriture, — la
question
fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’ai pensé aux ge
105
une courte prière, durant laquelle il n’est plus
question
de bouger. La table immense est chargée des produits du domaine. On b
106
ue le « retour » à tel état soit souhaitable ? La
question
me paraît, au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité h
107
cela désigne une nouvelle répartition des terres.
Question
que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Pru
108
prophétique d’André Philip ont posé au régime la
question
de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un plan où nul arrêt de la j
109
t tirer de ces débats une conclusion précise : la
question
du service civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mai
110
éponses à offrir à leurs perpétuelles et urgentes
questions
; en face de philosophies qui de Descartes à Kant, ou de Hegel à Marx
111
e de l’affirmer ; il n’est pas de réponse à cette
question
pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend p
112
uvelle. Ici, je ne dirai plus nous, mais je. À la
question
« Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de
113
de ce temps n’aiment pas répondre, car c’est une
question
personnelle. Une mise en question réelle. Je la cherche. Ce qu’il fa
114
squ’à la fin des fins… Mais voici mes amis. Et la
question
terrible, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher
115
se, village suisse, gare allemande grouillante de
questions
sociales. La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeo
116
ires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une
question
de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est u
117
une courte prière, durant laquelle il n’est plus
question
de bouger. La table immense est chargée des produits du domaine. On b
118
ue le « retour » à tel état soit souhaitable ? La
question
me paraît, au concret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité h
119
cela désigne une nouvelle répartition des terres.
Question
que la nature du sol résoudra seule durablement. Les landes de la Pru
120
nde ? (Il est bon de poser parfois de ces grandes
questions
naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à ces théo
121
sur ma vie » du père Reinecke. Il y est beaucoup
question
de la vie éternelle, et d’expériences vécues avec l’Ange gardien, mai
122
s l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une
question
de nourriture, — la question fondamentale, et non point seulement pou
123
it bel et bien d’une question de nourriture, — la
question
fondamentale, et non point seulement pour le corps. J’ai pensé aux ge
124
s : êtes-vous sauvés du péché ? Tout de suite les
questions
personnelles, et ce besoin de réformer le prochain… Est-ce que ceux q
125
s tôt, chez les Heyd, nous avions joué au jeu des
questions
et réponses. L’un écrit trois questions, et l’autre en même temps tro
126
u jeu des questions et réponses. L’un écrit trois
questions
, et l’autre en même temps trois réponses. Puis on lit à haute voix le
127
hasard, ou de télépathie. J’avais écrit, dernière
question
: — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la fille de Gide, lut sa dern
128
it rien que l’Évangile ? Peine perdue ? — Grosses
questions
, questions un peu grosses, dira-t-on. Dans une époque comme la nôtre,
129
l’Évangile ? Peine perdue ? — Grosses questions,
questions
un peu grosses, dira-t-on. Dans une époque comme la nôtre, ce sont ce
130
înées dans le monde contemporain voit bien que la
question
n’est plus de s’évader, de se distraire en oubliant un monde qu’on se
131
que, demain, l’imitera, et même la France, si les
questions
économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, dep
132
que seul, aujourd’hui, il prétend résoudre cette
question
, d’ailleurs essentiellement chrétienne : « Quelle est votre attitude
133
’elle dût s’occuper de la durée du travail, de la
question
des salaires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vi
134
ue chose de positif… » Nous avons accueilli cette
question
de la façon dont nous voudrions que toutes les questions que nous pos
135
on de la façon dont nous voudrions que toutes les
questions
que nous poserons ici soient accueillies : avec un sérieux et un resp
136
ubre. Le sérieux et le respect, en présence d’une
question
, c’est tout simplement de se dire : cette question est justifiée par
137
uestion, c’est tout simplement de se dire : cette
question
est justifiée par le fait même qu’elle a surgi à l’occasion de ce que
138
se. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la
question
, c’est un procédé électoral qui peut être utile à son heure, mais nou
139
onne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux
questions
parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors qu’il eût fallu r
140
épondre plus clairement à ceux qui croient à leur
question
, j’entends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-même
141
ffirmations qui troublent notre sécurité, par des
questions
qui gênent nos habitudes, par des exigences qui révoltent le bon sens
142
curités et vos incertitudes, vos solutions et vos
questions
mêmes. Nous ne pouvons qu’aggraver à vos yeux votre mal. Nous ne pouv
143
l’injonction de prendre vous-mêmes au sérieux vos
questions
. Car alors, vous approcheriez de la réponse, vous y offrant sans défe
144
que ce prochain lui apparaît précisément comme la
question
que Dieu lui adresse. À la faveur de cette « conversion », la notion
145
e morale, parce qu’ils dénaturent ou refoulent la
question
, en lui fournissant des réponses tantôt prématurées, tantôt inopérant
146
orique, mais bien pour poser devant vous quelques
questions
, définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoqu
147
constatations prudemment mesurées. Et d’abord, la
question
qui nous occupe ici est-elle une vraie question ? Est-elle, pour chac
148
a question qui nous occupe ici est-elle une vraie
question
? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie
149
aie question ? Est-elle, pour chacun de nous, une
question
qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et
150
vous cherchez à répondre ? En un mot, est-ce une
question
existentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de l
151
doute le besoin qu’il a de mettre en question les
questions
elles-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à discuter sur des
152
Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la
question
des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général,
153
s, la justice. Faut-il voir là autre chose qu’une
question
de mots ? Dans l’un et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir q
154
. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les
questions
les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple : il ne sait mê
155
qui refuse d’accepter, dans toute sa violence, la
question
que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagoni
156
re opposé utilement au christianisme, comme une «
question
» réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste, le chréti
157
il importe que les victimes ne mettent jamais en
question
les buts réels : le capitalisme a ses tabous. Nul ne pouvait prévoir
158
t le bagage d’arguments nécessaires. Et voilà une
question
réglée, et une conscience qui se rendort, et un littérateur qui retou
159
rouve-t-il à son tour jugé ? Si l’on récusait ces
questions
, on affirmerait par là même que l’acte créateur se crée soi-même et s
160
est l’aspect humain de la dialectique dont il est
question
chez Barth ; et que cela suffise à faire voir que Barth ne saurait en
161
ur le droit de ne pas trop prendre au sérieux les
questions
étranges et cruelles que poserait sinon la vie de tous les jours, — o
162
de la sagesse du grand siècle, sous le coup de la
question
capitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la vérité est-elle e
163
, dans cette frénésie de bonne humeur, il y a une
question
. Non pas un doute, mais quelque chose qui veut une réponse, et qui es
164
de les y aider ; et de comprendre que seule cette
question
-là rétablit la communion humaine. n. Rougemont Denis de, « [Compte
165
el néglige ou tente de stériliser. La plupart des
questions
qui divisent capitalistes et marxistes sont insolubles sur le terrain
166
s le fard, de vieilles rides bien connues ? À ces
questions
, l’ouvrage que René Dupuis et Alexandre Marc viennent de publier sous
167
littéralement insupportable ? Telles étaient les
questions
que se posait, vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un vill
168
t être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette
question
à laquelle il ne peut ni ne veut se soustraire, Karl Barth se met à r
169
re, une réponse qui ne veut s’adresser qu’à ces «
questions
dernières » de notre vie, celle devant lesquelles nous fuyons toujour
170
notre temps. C’est pour cela qu’il peut poser les
questions
les plus gênantes qui soient. ⁂ On l’a bien vu récemment, lors du con
171
ur les nomades, sur Nietzsche ou Diderot, sur des
questions
de droit, sur le régime du travail. Toutes ces recherches le conduisa
172
ation du monde n’est rien de plus qu’une certaine
question
qui m’est adressée, et qui ne se précise en moi qu’à l’instant où ell
173
tion personnelle. On songe ici tout de suite à la
question
sociale. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes q
174
La solution des grands problèmes sociaux est une
question
de morale individuelle. » L’originalité d’une morale individuelle apt
175
e ce renversement de l’individualisme. Ramener la
question
sociale aux limites de la personne, c’est constater que la question s
176
ux limites de la personne, c’est constater que la
question
sociale, en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose
177
ater que la question sociale, en tant qu’elle est
question
exigeant une réponse ne se pose pas ailleurs que dans le je aux prise
178
je n’ai pas à les connaître autrement que par la
question
concrète qu’elles m’adressent ; et cette question ne peut être concrè
179
question concrète qu’elles m’adressent ; et cette
question
ne peut être concrète — ne peut être un conflit véritable — que si c’
180
ais seulement les aider à prendre au sérieux leur
question
. J’écris pour ceux qui sont en marche, pauvres hommes, pauvres impuis
181
malgré ses appels à Luc, n’a pas répondu à notre
question
, il fait métier d’être incapable de répondre aux questions. Aussi qui
182
, il fait métier d’être incapable de répondre aux
questions
. Aussi quittant le ton des prophètes ajoute-t-il à l’usage des import
183
, pour le faire apparaître, de poser cette simple
question
: comment un siècle peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de
184
devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
question
revient-elle en définitive à savoir si la foi des marxistes et des ra
185
ponsable ? Telle est, je crois, en définitive, la
question
simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’emb
186
e que la personne ? Permettez-moi de renverser la
question
: Qu’est-ce que ces dieux et ces mythes collectifs ? J’ai essayé de v
187
ce serait là une autre conférence. ⁂ Il reste une
question
grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une q
188
re conférence. ⁂ Il reste une question grave, une
question
dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose s
189
n dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une
question
qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai ci
190
nnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à toutes ces
questions
, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous
191
vivant », répétaient les théologiens libéraux. La
question
était ainsi nettement posée : pour devenir chrétien, il fallait « ren
192
didactique : elle veut sans cesse transformer nos
questions
en questions que le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du cr
193
elle veut sans cesse transformer nos questions en
questions
que le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du critique modern
194
u monde est un événement. Elle a son lieu dans la
question
que nous adressent les créatures, lorsque nous distinguons leur vérit
195
ême temps et c’est surtout répondre au-delà de la
question
. ⁂ L’homme jeté dans la diversité de l’univers, aux aguets des tentat
196
monde. L’arbre devient colonne et ne pose plus de
question
. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme se retrouve seul
197
. ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une
question
dont on ne peut saisir le sens exact ? Ainsi se défend la Logique. El
198
nfer logique est sans défaut. Le sens exact d’une
question
n’est donné que par la réponse. Mais l’homme antique n’a pas en lui d
199
e quoi répondre à la Nature : il est lui-même une
question
que Dieu ne semble pas entendre. L’homme antique, c’est Adam dessaisi
200
notre ère, la réponse éternelle à la perpétuelle
question
du monde, nous est donnée. C’est d’abord une réponse faite à l’homme.
201
ède cette réponse, l’homme comprend le sens de la
question
. Et dans l’élan désordonné des êtres et des choses, il découvre une «
202
e pour imposer au monde — mais sans comprendre sa
question
— un ordre « humain » — mais sans connaître l’Homme — peut être carac
203
ès de la technique ont supprimé définitivement la
question
. La Nature n’est plus que matières premières, surfaces d’exploitation
204
r, qui renonce à souffrir, qui se rend sourd à la
question
des choses en même temps qu’à la question de Dieu. Baptiser communion
205
rd à la question des choses en même temps qu’à la
question
de Dieu. Baptiser communion ce lyrisme de l’isolement, c’est un des t
206
s Schlegel philosophe ardemment autour de cette «
question
» du monde, alors que les lyriques anglais nourrissent leur flamme d’
207
jamais atteindre au pathétique existentiel de la
question
. Un seul, peut-être, a pressenti le sens chrétien de la Nature, c’est
208
omme les romantiques allemands, s’il voit bien la
question
ne va pas jusqu’à l’accepter, et sa réponse n’est encore qu’une évasi
209
d’apporter à la Nature une réponse qui dépasse sa
question
et qui atteint et qui embrasse l’être anxieux de la créature. En cet
210
n rêve, idéalisme meurtrier et qui fuit devant la
question
. 13. Cf. la remarquable étude de Charles Du Bos sur Wordsworth, dans
211
yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette
question
pourtant bien naturelle : Comment un siècle peut-il avoir un destin ?
212
es, voici ce que nous avons à dire : Retournez la
question
qu’on vous pose, cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Q
213
peut-être simplement, des hommes qui dominent les
questions
dont ils traitent. Car pour « l’économiste distingué », nous en somme
214
ans notre ordre, ni de plus digne de conquête. La
question
reste, évidemment, de savoir combien, parmi nous, tiennent encore à ê
215
ouleverse toutes les idées traditionnelles sur la
question
— et en passant, l’un des fondements de la théorie économique de Marx
216
de répondre d’une façon précise et autorisée aux
questions
des incroyants ou des catholiques ; mais il se soucie peu d’examiner
217
lui manquait, et dont le défaut empêchait que la
question
fût posée utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certai
218
dans le domaine de César ? De la réponse à cette
question
dépendra notre évaluation des tentatives esquissées jusqu’ici, et peu
219
tient d’abord dans leur refus absolu de poser les
questions
par rapport à une droite et à une gauche également condamnées. Par ce
220
dans la presse évitent avec ensemble de poser les
questions
fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmées et des polém
221
laisir stérile des clercs bourgeois. C’est ici la
question
de la tactique qui se pose, en même temps que celle des institutions
222
t citer ici les numéros volumineux consacrés à la
question
du Travail, ou à l’Argent misère du pauvre, misère du riche. Un tel t
223
ues21. L’Ordre nouveau se défend d’aborder aucune
question
confessionnelle. Il n’en reste pas moins que le fondement spirituel c
224
sant dans le cercle concret de leur vie. La seule
question
qu’il y ait donc lieu de poser est celle-ci : comment atteindre les h
225
us les autres paraissent petits à côté de lui. La
question
essentielle pour Kierkegaard était : Comment deviendrai-je chrétien ?
226
eposes aussi sur ta vertu. Ou bien tu vois que la
question
brûlante, c’est de savoir si toi, tu es chrétien, ou bien tu vitupère
227
est bien moins dangereux ; tous en seront… « Deux
questions
— dit encore Kierkegaard — témoignent de l’esprit : 1) Ce qu’on nous
228
che, est-ce possible ? 2) Puis-je le faire ? Deux
questions
témoignent de l’absence de l’esprit : 1) Est-ce réel ? 2) Mon voisin
229
ment fait ? »55 Nous posons toujours la dernière
question
. Nous ne croyons pas à l’esprit, nous préférons ne pas scandaliser ;
230
t si peu dramatique, cela ne signifie pas que les
questions
dernières ne s’y posent jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les
231
de « la foule » dans notre existence morale. Une
question
mal posée. Un regard trouble porté sur la réalité. x. Rougemont Den
232
le, de l’hitlérisme allemand ? » Voilà certes des
questions
embarrassantes pour les SFIO. Nous sera-t-il permis de signaler en pa
233
aires publiques et tout finit en dictature : plus
question
de pensée libre, j’entends : de pensée responsable. Mais si l’intelli
234
à leur manière toute désintéressée de traiter les
questions
humaines, qu’on se trouve aujourd’hui justifié d’accueillir leurs « a
235
rt. La situation présente me l’interdirait, toute
question
de talent mise à part. Il est clair que le monde moderne n’est pas co
236
4.Pour une politique à hauteur d’homme Toute la
question
est de savoir à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins le
237
les pouvoirs entendent mener les hommes. Toute la
question
est de savoir quelle définition de l’homme est impliquée dans telle p
238
ée dans telle politique qu’on défend. C’est cette
question
qu’on a cessé de poser dans le monde des politiciens ! Si la Politiqu
239
ujours vu faire, ils ne se posent pas beaucoup de
questions
, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité même, leur petite taille
240
s et les gauches. Changeons de plan ! Reposons la
question
politique dans une perspective humaine, et non plus dans « l’optique
241
très perplexes, etc. » Si le lecteur se pose ces
questions
-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a conduit ce lect
242
, pour le faire apparaître, de poser cette simple
question
: comment un siècle peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de
243
devraient leur envier. C’est juste. Aussi bien la
question
revient-elle en définitive à savoir si la foi des marxistes et des ra
244
ponsable ? Telle est, je crois, en définitive, la
question
simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’emb
245
e que la personne ? Permettez-moi de renverser la
question
: que sont ces dieux et ces mythes collectifs sous lesquels on préten
246
ce serait là une autre conférence. ⁂ Il reste une
question
grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une q
247
re conférence. ⁂ Il reste une question grave, une
question
dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose s
248
n dernière que je ne veux pas esquiver. C’est une
question
qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai ci
249
nnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à toutes ces
questions
, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous
250
u individu ? (D’après une discussion) Première
question
. — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon temps, nous disions :
251
es… mais nous en parlerons une autre fois. Autre
question
. — Qu’est-ce que cela signifie : « Fonder les lois sur la personne »
252
rsonnes en vue d’atteindre un maximum. Troisième
question
. — Il y a dans votre position personnaliste un danger bien plus grand
253
a défense nationale et l’ordre public. Quatrième
question
. — Les personnalistes se réclament volontiers de l’esprit. Ils revend
254
« l’esprit ». Tel étant, à peu près, l’état de la
question
, je voudrais maintenant indiquer en quelques thèses rapides la positi
255
ailleurs par Werner Sombart. Cf. encore sur cette
question
l’article de Louis Febvre, in Foi et Vie , n° 58-59 : Capitalisme et
256
t très bien s’en tirer. L’auteur et le préjugé en
question
voudraient qu’il y ait d’abord la locomotive, et ensuite, si on a le
257
e de l’affirmer ; il n’est pas de réponse à cette
question
pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend p
258
humains ? De la réponse qu’un homme fait à cette
question
, l’on pourrait tirer un critère de l’incroyance ou de la foi. Tout co
259
orique, mais bien pour poser devant vous quelques
questions
, définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoqu
260
constatations prudemment mesurées. Et d’abord, la
question
qui nous occupe ici est-elle une vraie question ? Est-elle, pour chac
261
a question qui nous occupe ici est-elle une vraie
question
? Est-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie
262
aie question ? Est-elle, pour chacun de nous, une
question
qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et
263
vous cherchez à répondre ? En un mot, est-ce une
question
existentielle — pour employer un terme favori de la théologie et de l
264
doute le besoin qu’il a de mettre en question les
questions
elles-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à discuter sur des
265
Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la
question
des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général,
266
. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les
questions
les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple : il ne sait mê
267
qui refuse d’accepter, dans toute sa violence, la
question
que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonis
268
re opposé utilement au christianisme, comme une «
question
» réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste, le chréti