1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
1 religieux. Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des patries personnalistes. Mais où sont les motifs
2 mateurs. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations , les intérêts (?) du monde. Sylveire demande : que signifie « sauver
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
3 la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nations sous l’uniforme barbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la lu
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
4 s grande proportion d’habitants que dans d’autres nations de l’Europe. La plupart des citoyens suisses, qu’ils soient bourgeois
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
5 a proche histoire, il n’y a que l’imaginaire. Les nations , les plus vastes patries n’ont jamais été vues par personne : c’est l
6 r les pieds, par le cœur, et le rassemblement des nations invisibles, on nous dit que tout les oppose, qu’il faut choisir l’un
5 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
7 titre significatif : « Les Mœurs et l’Esprit des nations 41. » Et l’on pense au titre de cet album de photos paru récemment en
6 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
8 r le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations . » (Abdias II, 3-4 et 15). Ils ont prétendu rendre à Dieu ce qu’en ré
9 gués par l’industrie lourde au gouvernement d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeu
7 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
10 la personne un numéro. De la patrie on a fait la nation , — et des attachements humains, des chaînes sociales. Du travailleur
8 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
11 ux melons. La France n’est plus contemporaine des nations qui l’entourent et qui la menacent. Tel est le fait. Elle souffre d’u
12 volutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation . Mais la jeunesse française existe-t-elle ? On put le croire vers 192
9 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
13 e réalité, mais indestructible — qui demeure à la Nation , une fois l’État supprimé, une fois opérée la révolution personnalist
14 régionaliste, c’est une existence culturelle. Des nations débarrassées de leurs États et de leurs frontières, on peut dire qu’e
10 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
15 hercher leur origine spirituelle. Décadence de la nation française critique le nationalisme présent au nom de l’instinct qui r
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
16 collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations , des classes, des races, des entreprises publiques ou privées. Ce n’e
17 s disons destin du siècle, nous disons destin des nations , destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme.
18 és, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la nation , la classe, la race, l’argent et l’opinion publique. Elles ont encore
12 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
19 stin » souverain de la masse, de la classe, de la nation , du capital ou de l’État — car c’est de tout cela que se compose le d
20 tendez nous courber ? » La classe, le capital, la nation , les fameux « déterminismes historiques » ne sont rien que des créati
13 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
21 empêcherait d’imposer ce parti à l’ensemble de la nation . Le temps n’est pas aux rêves, et ce n’est pas l’affirmation d’une po
14 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
22 s choses, dans les partis, dans l’État ou dans la nation un principe de grandeur qui n’est plus que dans l’homme. Mais si nous
15 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
23 abord ce « fait-nation », et si on ne confond pas nation et état, nation et patrie14, nationalisme et autarchie, nation cultur
24 nation », et si on ne confond pas nation et état, nation et patrie14, nationalisme et autarchie, nation culturelle et région é
25 t, nation et patrie14, nationalisme et autarchie, nation culturelle et région économique. On n’est pas sûr, à lire Déat, qu’il
26 incipe spirituel, affectif et communautaire de la nation . Qu’est-ce qu’un plan de gouvernement qui paraît ignorer ce principe 
27 d’idées qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation , c’est-à-dire la nation elle-même. Or c’est bien le principe d’une co
28 on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-dire la nation elle-même. Or c’est bien le principe d’une communauté nouvelle, ce fe
29 u corporatisme fasciste. 14. Cf. Décadence de la nation française, par Aron et Dandieu, et les dissociations que nous faisons
30 tions que nous faisons sans cesse de patrie et de nation , de nationalisme et d’impérialisme. 15. Cf. Nous voulons, n° 9 de L’
16 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
31 collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations , des classes, des races, des entreprises publiques ou privées. Ce n’e
32 s disons destin du siècle, nous disons destin des nations , destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme.
33 és, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la nation , la classe, la race, l’argent et l’opinion publique. Elles ont encore
17 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (D’après une discussion)
34 un faux dieu (conscience morale, justice humaine, nation , peuple, etc.), cet absolu n’est plus le Dieu caché, mais une croyanc
18 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
35 il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu et la nation , Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi en face des idoles,
19 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
36 r le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations . » (Abdias, 3-4 et 15.) Ils ont prétendu rendre à Dieu ce qu’en réali
37 gués par l’industrie lourde au gouvernement d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeu
20 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
38 tung, toute expérience fasciste signifie pour une nation un appauvrissement spirituel dont les conséquences peuvent être sécul
39 n par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une «  nation  » est clairement symbolisé par la substitution de l’insigne du Parti
21 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
40 religieux. Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des patries personnalistes. Mais où sont les motifs
41 mateurs. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations , les intérêts (?) du monde. On nous demande : que signifie « sauver l
42 insi des conflits individu-société, petite-patrie nation culturelle, initiative privée-plan. 57. La seule révolution qu’elle
22 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
43 la personne un numéro. De la patrie on a fait la nation , — et des attachements humains, des chaînes sociales. Du travailleur
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
44 . Seul Pillau, le ministre, l’incarnation de leur nation , saura leur dire le mot de ce destin. « Nous avons perdu la guerre, B
45 tragique de leur patrie, l’idée profonde de leur nation , que Pillau définit comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette f
46 rraient s’appliquer au destin de n’importe quelle nation , de n’importe quelle communauté. Le « fait nation », dans les dernièr
47 nation, de n’importe quelle communauté. Le « fait nation  », dans les dernières phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seu
48 e sort de l’homme que sous l’aspect du sort de la nation  ? Tel est, je crois, le problème central qu’impose ce livre, et l’on
49 eut juger sainement la politique étrange de cette nation . Mais j’ai dit que cette œuvre pourrait s’intituler tout aussi bien «
24 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
50 par Robert Aron et Arnaud Dandieu entre patrie et nation  ; ne pourrait-on pas dire que les communautés fondées par l’attacheme
51 — sont essentiellement révolutionnaires ? Le mot nation dans son acception moderne n’a-t-il pas désigné d’abord l’idéal de la
52 nsion nécessaire et féconde entre la patrie et la nation . La révolution nécessaire ne sera ordre qu’à ce prix. C’est là son vr
25 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
53 collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations , des classes, des races, des entreprises publiques ou privées. Ce n’e
54 s disons destin du siècle, nous disons destin des nations , destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme.
55 és, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la nation , la classe, la race, l’argent et l’opinion publique. Elles ont encore
26 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (d’après une discussion)
56 un faux dieu (conscience morale, justice humaine, nation , peuple, etc.), cet absolu n’est plus le Dieu caché, mais une croyanc
27 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
57 il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu et la nation , Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi en face des idoles,
28 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
58 r le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations . » (Abdias, 3-4 et 15.) Ils ont prétendu rendre à Dieu ce qu’en réali
59 gués par l’industrie lourde au gouvernement d’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeu
29 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
60 tung, toute expérience fasciste signifie pour une nation un appauvrissement spirituel dont les conséquences peuvent être sécul
61 n par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une «  nation  » est clairement symbolisé par la substitution de l’insigne du Parti
30 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
62 religieux. Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des patries personnalistes. Mais où sont les motifs
63 mateurs. Ce n’est pas sauver des entreprises, des nations , les intérêts (?) du monde. On nous demande : que signifie « sauver l
31 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
64 la personne un numéro. De la patrie on a fait la nation , — et des attachements humains, des chaînes sociales. Du travailleur
32 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
65 n’est plus clairement aperçu, dans l’élite de la nation . On sent qu’un homme humain, intelligent, honnête et doué de sens cr
66 ’État, la paix publique, la grandeur morale de la nation et le libre déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord
67 é au parti avant la fidélité au bien commun de la nation . Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît rouler d’elle-mêm
68 crise est là, les partis se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rappelle des temps fort décriés : c
69 é des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des trusts et
70 leurs », et y ajoutent celles de la race et de la nation , qui donnent à l’ensemble un dynamisme physique autrement impressionn
71 ure —, d’autre part la science des rapports de la nation et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la Franc
72 a science des rapports de la nation et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la France, si un homme se sent
73 êts » de l’État, ou au nom des « intérêts » de la nation . La politique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable. D
74 n’est pas une obligation imposée par l’État ou la nation , mais, au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations,
75 at ou la nation, mais, au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la ten
76 création de l’État — secteur organisé — et de la nation , idéal commun. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant ê
77 tat à la liberté créatrice de ceux qui forment la nation . C’est en vertu de notre conception de la personne que nous voulons a
78 nde la pluralité des vocations, des idéaux et des nations , et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode d
79 ériels aux œuvres spirituelles, enfin l’État à la nation . Dès lors il ne peut plus y avoir d’opposition entre la morale privée
80 questions de vie ou de mort pour l’ensemble de la nation . Ceux qui leur donneront une réponse efficace, donneront du même coup
81 e. 80. Les lecteurs de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance hum
82 ux-mêmes de donner à ce que nous disons ici de la nation un sens absolu de nationalisme autarchique qui est à l’opposé de notr
33 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
83 utant, fermente et empoisonne la vie morale de la nation . Il devient un foyer de fièvre et un facteur d’énervement. Les deux f
34 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
84 r plus le sort de l’homme que sous l’aspect de la nation  ? Tel est je crois le problème central qu’impose ce livre, et l’on ad
35 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
85 ut bien signifier l’opposition du peuple et de la nation  ? Par quel grossier abus du mot nation a-t-on pu venir à cette altern
86 e et de la nation ? Par quel grossier abus du mot nation a-t-on pu venir à cette alternative ? Lorsqu’à Valmy le général Kelle
87 llermann entraîne ses troupes au cri de « Vive la Nation  ! », les sans-culottes comprennent : « Vive la Révolution ! » Ils ont
88 évolution ! » Ils ont raison. Pour nous, la vraie nation française c’est la communauté des personnes responsables, conscientes
36 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
89 à Valmy entraîne ses troupes au cri de « Vive la Nation  ! » nation et peuple se confondaient alors dans la mystique de la rév
90 traîne ses troupes au cri de « Vive la Nation ! » nation et peuple se confondaient alors dans la mystique de la révolution. Au
91 ire ». Faudrait-il en déduire que le peuple et la nation s’opposent ? Les mots l’indiqueraient, non les faits : voilà bien le
92 que l’opposition n’est pas entre le peuple et la nation — entre les noms — mais entre « national » et « populaire », c’est-à-
37 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
93 n des relations qu’entretiennent notre cité et la nation des clercs. C’est mettre en discussion l’un des rapports fondamentaux
94 ’esprit créateur », tremblons pour l’avenir de la nation . « Qu’on nous entende bien. La pensée ne sera absente nulle part. Mai
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
95 placez tous les conflits dans le cadre rigide des nations . La nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’ell
39 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
96 i a fait la Révolution de 89, et qui est déjà une nation . Mais condamner le « fascisme » allemand, et fonder sur cette condamn
97 ’est la communion du cœur avec chaque homme de la nation allemande. » De nouveau dressés, saluant à la romaine, ils pleuraient
98 me de la masse, l’obscur et puissant esprit de la nation , que le Führer est venu incarner, lui le pur, le simple, l’ami et le
40 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
99 ns, mais au contraire d’obtenir l’unanimité de la nation sur une question vitale. La « lutte électorale » revenait ainsi à la
100 cient pas forcément de la véritable volonté de la nation … Pour moi, ajoutait-il, je viens faire appel à vous tous pour la troi
101 and fondamental est aujourd’hui de constituer une nation unitaire, centralisée, une solide base mystique et étatique pour les
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
102 ustrer en remplaçant « esprit ou « autorité » par nation française, et « pouvoirs institués » par Conseil des ministres et Par
42 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
103 n’est plus clairement aperçu, dans l’élite de la nation . On sent qu’un homme humain, intelligent, honnête et doué de sens cri
104 ’État, la paix publique, la grandeur morale de la nation et le libre déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord
105 é au parti avant la fidélité au bien commun de la nation . Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît rouler d’elle-mêm
106 crise est là, les partis se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rappelle des temps fort décriés : c
107 é des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des trusts et
108 leurs », et y ajoutent celles de la race et de la nation , qui donnent à l’ensemble un dynamisme physique autrement impressionn
109 ure —, d’autre part la science des rapports de la nation et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la Franc
110 a science des rapports de la nation et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la France, si un homme se sent
111 êts » de l’État, ou au nom des « intérêts » de la nation . La politique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable. D
112 n’est pas une obligation imposée par l’État ou la nation , mais au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations, l
113 tat ou la nation, mais au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la ten
114 création de l’État — secteur organisé — et de la nation , idéal commun. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant ê
115 nde la pluralité des vocations, des idéaux et des nations , et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode d
116 ériels aux œuvres spirituelles, enfin l’État à la nation . Dès lors il ne peut plus y avoir d’opposition entre la morale privée
117 questions de vie ou de mort pour l’ensemble de la nation . Ceux qui leur donneront une réponse efficace, donneront du même coup
118 e… 45. Les lecteurs de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance hum
119 ux-mêmes de donner à ce que nous disons ici de la nation un sens absolu de nationalisme autarchique qui est à l’opposé de notr
43 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
120 e but soit ici la société prolétarienne, et là la nation allemande, — qui sont censées configurer la culture. 2. Or cette mesu
121 d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deux espèces de nations  : celles qu’on dit vieilles, et celles qui se disent rajeunies. Les v
122 , et celles qui se disent rajeunies. Les vieilles nations mènent encore une vie à bien des égards plus facile et plus libre que
123 gardé un certain nombre de possibilités dont les nations plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir
124 it : ces deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette libe
125 re. Et l’on s’occupe en attendant à critiquer les nations « rajeunies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites
126 unies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites rajeunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une
127 osé, ces deux traits définissent l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de liberté, mais du travail.
128 uvent sans preuve, un grand mythe de communauté : nation unie, ou société sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’
129 sorte de révélateur chimique de la vocation d’une nation . C’est à la faveur d’une famine que les plus grandes nations de l’Eur
130 est à la faveur d’une famine que les plus grandes nations de l’Europe moderne ont découvert le sens de leur histoire et l’aveni
131 « totalitaire ». Là où depuis cent ans ou plus la nation existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plu
132 s réponses qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation — reste superficiel et arbitraire tant qu’il ne tient pas compte des
133 nstituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles constituent cependant une menace extérieure matériel
134 es ou parlementaires professionnels, coupés de la nation vivante et prisonniers d’une tradition qui survit sans grandeur à ses
135 cines. Notre seule chance de salut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance
136 er : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne sommes pas, et qui nous est hostile, non point par volon
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
137 oment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la nation , le travail, etc.) s’éloigne ou s’affaiblit, ou même cesse d’être pré
45 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
138 discours et les articles de journaux, avec état, nation , mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc.
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
139 les et leurs élites, entre les classes, entre les nations de l’Europe, entre les hommes d’une même nation, entre les actes de c
140 nations de l’Europe, entre les hommes d’une même nation , entre les actes de chaque homme et l’idéal qu’il concevait. La misèr
47 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
141 uand il est question de l’Allemagne. C’est que la nation française existe depuis 1789 ; et qu’elle existe même si réellement q
142 en général, à côté d’elle, la volonté d’être une nation . Un Français qui proclame aujourd’hui, à grand éclat, qu’il veut être
143 l » cela ne rend plus du tout le son du « Vive la Nation  ! » de Valmy… C’est pourquoi le Français moyen traduit national-socia
144 s combattants, je suis enfin l’annonciateur de la nation allemande à venir. C’était l’incarnation de la commune mesure, la fin
145 a mesure, et son incarnation visible à tous. « La nation est le contenu et la substance de l’empire. Elle est le but de tout o
146 onner le pain, d’abord rendre sa « liberté » à la nation . La culture viendrait après : on la taxait pour le moment de superstr
147 aboration judicieuse de tous les organismes de la nation  », dit Rosenberg. Et il ajoute que « la révolution (nationale-sociali
148 parole du Führer est « la volonté organisée de la nation  ». Dans les deux régimes, on s’efforcera de démontrer que d’autant pl
149 fois plébiscité par une formidable majorité de la nation . « Führer » signifie d’ailleurs, littéralement, guide et non chef. (D
48 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
150 e but soit ici la société prolétarienne, et là la nation allemande, qui sont censées configurer la culture. 2° Or cette mesure
49 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
151 rre ; le Führer s’il n’y a pas une religion de la Nation . Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’inca
152 d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deux espèces de nations  : celles qu’on dit vieilles et celles qui se disent rajeunies. Les vi
153 s et celles qui se disent rajeunies. Les vieilles nations mènent encore une vie à bien des égards plus facile et plus libre que
154 gardé un certain nombre de possibilités dont les nations plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir
155 it : ces deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette libe
156 re. Et l’on s’occupe en attendant à critiquer les nations « rajeunies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites
157 unies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites rajeunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une
158 osé, ces deux traits définissent l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de liberté, mais du travail.
159 uvent sans preuve, un grand mythe de communauté : nation unie, ou société sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’
160 sorte de révélateur chimique de la vocation d’une nation . C’est à la faveur d’une famine que les plus grandes nations de l’Eur
161 est à la faveur d’une famine que les plus grandes nations de l’Europe moderne ont découvert le sens de leur histoire et l’aveni
162 -guerre. Si l’Europe d’aujourd’hui est divisée en nations « rajeunies » et nations vieilles, cela s’explique d’abord par l’hist
163 jourd’hui est divisée en nations « rajeunies » et nations vieilles, cela s’explique d’abord par l’histoire : les nations « raje
164 les, cela s’explique d’abord par l’histoire : les nations « rajeunies » sont tout simplement celles qui n’avaient pas encore d’
165 s cela s’explique ensuite par la misère : car ces nations ne se sont découvertes qu’à la faveur d’une crise totale. Ainsi l’opp
166 ins totalitaire. Là où depuis cent ans ou plus la nation existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plu
167 s réponses qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation  — reste superficiel et arbitraire tant qu’il ne tient pas compte des
168 nstituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles constituent cependant une menace extérieure matériel
169 es ou parlementaires professionnels, coupés de la nation vivante et prisonniers d’une tradition qui survit sans grandeur à ses
170 cines. Notre seule chance de salut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance
171 er : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne sommes pas, et qui nous est hostile, non point par volon
50 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
172 culture et aux activités les plus diverses de la nation  ; je m’appuie sur ce qui est, mais c’est pour prendre élan vers ce qu
51 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
173 ur à justifier les passions d’une classe ou d’une nation . Mais l’esprit n’a pas de pouvoir, s’il refuse d’être initiateur. L’e
52 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
174 faisceau, la troupe d’assaut, puis le Parti ou la nation organisée. On l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’individ
175 phique, il correspond à la réalité profonde de la Nation , à la réalité précise du Parti. Nous n’avons pas à « corriger » de te
176 ntradictions qui empêtrent nos vies et la vie des nations depuis cent ans restent stériles, c’est que l’humanité a perdu la vis
53 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
177 discours et les articles de journaux, avec état, nation , mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc.
54 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
178 ée sur le sens de certains maîtres-mots : esprit, nation , révolution, salut…) Et, comme pour protéger ces conventions précaire
55 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
179 leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler les grandes lig
180 Une seule réalité fonde à ses yeux l’unité de la nation allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut
181 es 200 familles du racisme57, les « ennemis de la nation  ». 2° Lutte contre l’étranger. — Là encore, Hitler va trouver une bas
182 haines communes sur laquelle puisse s’unifier la nation . Le Diktat de Versailles, signé par des diplomates lâches ou traîtres
183 nt l’action paraissait néfaste aux intérêts de la nation . Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt celle des lénini
184 s’abat sans scrupule humain sur les ennemis de la nation  : toujours, il faut « faire vite », déjouer un complot à la dernière
185 dépassement ne sera pas amorcé par la France, les nations jeunes, faute d’un autre modèle, se laisseront engager dans des imita
186 nisme, l’esprit centralisateur, le principe de la nation armée, disciplinée dans un cadre rigide, tout cela ne cesse d’être st
56 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
187 oment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la nation , le travail, etc.) s’éloigne ou s’affaiblit, ou même cesse d’être pré
57 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
188 discours et les articles de journaux, avec État, nation , mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, esprit de clo
58 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
189 les et leurs élites, entre les classes, entre les nations de l’Europe, entre les hommes d’une même nation, entre les actes de c
190 nations de l’Europe, entre les hommes d’une même nation , entre les actes de chaque homme et l’idéal qu’il concevait. La misèr
59 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
191 uand il est question de l’Allemagne. C’est que la nation française existe depuis 1789 ; et qu’elle existe même si réellement q
192 en général, à côté d’elle, la volonté d’être une nation . Un Français qui proclame aujourd’hui, à grand éclat, qu’il veut être
193 l » cela ne rend plus du tout le son du « Vive la Nation  ! » de Valmy… C’est pourquoi le Français moyen traduit national-socia
194 s combattants, je suis enfin l’annonciateur de la nation allemande à venir. C’était l’incarnation de la commune mesure, la fin
195 a mesure, et son incarnation visible à tous. « La nation est le contenu et la substance de l’empire. Elle est le but de tout o
196 onner le pain, d’abord rendre sa « liberté » à la nation . La culture viendrait après : on la taxait pour le moment de superstr
197 aboration judicieuse de tous les organismes de la nation  », dit Rosenberg. Et il ajoute que « la révolution (nationale-sociali
198 parole du Führer est « la volonté organisée de la nation  ». Dans les deux régimes, on s’efforcera de démontrer que d’autant pl
199 fois plébiscité par une formidable majorité de la nation . « Führer » signifie d’ailleurs, littéralement, guide et non chef. (D
60 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
200 e but soit ici la société prolétarienne, et là la nation allemande, qui sont censées configurer la culture. 2° Or cette mesure
61 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
201 rre ; le Führer s’il n’y a pas une religion de la Nation . Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’inca
202 d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deux espèces de nations  : celles qu’on dit vieilles et celles qui se disent rajeunies. Les vi
203 s et celles qui se disent rajeunies. Les vieilles nations mènent encore une vie à bien des égards plus facile et plus libre que
204 gardé un certain nombre de possibilités dont les nations plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir
205 it : ces deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette libe
206 re. Et l’on s’occupe en attendant à critiquer les nations « rajeunies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites
207 unies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites rajeunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une
208 osé, ces deux traits définissent l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de liberté, mais du travail.
209 uvent sans preuve, un grand mythe de communauté : nation unie, ou société sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’
210 sorte de révélateur chimique de la vocation d’une nation , ou des fantasmes de compensation qui en tiendrons lieu pour un temps
211 n temps. Si l’Europe d’aujourd’hui est divisée en nations « rajeunies » et nations vieilles, cela s’explique d’abord par l’hist
212 jourd’hui est divisée en nations « rajeunies » et nations vieilles, cela s’explique d’abord par l’histoire : les nations « raje
213 les, cela s’explique d’abord par l’histoire : les nations « rajeunies » sont tout simplement celles qui n’avaient pas encore d’
214 s cela s’explique ensuite par la misère : car ces nations ne se sont découvertes qu’à la faveur d’une crise totale. Ainsi l’opp
215 otalitaire. Là où depuis deux ou trois siècles la nation existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plu
216 s réponses qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation  — reste superficiel et arbitraire tant qu’il ne tient pas compte des
217 nstituent pas un danger interne pour les vieilles nations libérales, elles n’en sont pas moins une menace extérieure matérielle
218 es ou parlementaires professionnels, coupés de la nation vivante et prisonniers d’une tradition qui survit sans grandeur à ses
219 cines. Notre seule chance de salut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance
220 er : ici commence un monde étrange, ici règne une nation dont nous ne sommes pas, et qui nous est hostile, non point par volon
62 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
221 culture et aux activités les plus diverses de la nation  ; je m’appuie sur ce qui est, mais c’est pour prendre élan vers ce qu
63 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
222 ur à justifier les passions d’une classe ou d’une nation . Mais l’esprit n’a pas de pouvoir, s’il refuse d’être initiateur. L’e
64 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
223 faisceau, la troupe d’assaut, puis le Parti ou la nation organisée. On l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’individ
224 phique, il correspond à la réalité profonde de la Nation , à la réalité précise du Parti. Nous n’avons pas à « corriger » de te
225 ntradictions qui empêtrent nos vies et la vie des nations depuis cent ans restent stériles, c’est que l’humanité a perdu la vis
65 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
226 rle, à tort ou à raison, d’États chrétiens, ou de nations , de forces, de civilisation chrétiennes. Tout cela se trouve mis au d
66 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
227 ribus nomades qui constituaient, aux origines, la nation juive ? Une similitude facile nous permet de l’imaginer : l’histoire
228 on ne peut rien comprendre de ce qui touche à la nation des Juifs. Destin nomade, vocation messianique. Destin visible, insig
229 dans la perspective de la fin assignée à toute la nation  : l’Éternel Dieu et son service. Ainsi l’Arche de l’Alliance nous app
230 n même temps animateur de toutes les œuvres d’une nation , tant matérielles que politiques et spirituelles65. L’histoire des ci
231 ité et d’attitude sociale adoptées par les deux «  nations  »76. Ce qui est déterminant pour cette analogie, ce qui lui donne son
232 irituelle et matérielle des divers membres de ces nations éparses ou persécutées, esprit à la fois traditionaliste et hardiment
67 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
233 les rapports de la politique, de l’économie de la nation et de la culture sont un peu moins simplets que ces partisans ne le c
68 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
234 et de lettres de noblesse, et grands prêteurs. La Nation , c’est alors la noblesse, le clergé et la bourgeoisie. Le peuple n’es
69 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
235 vain et du public, ou même de la culture et de la nation , qui se pose enfin dans son urgence et son ampleur. Pourquoi lit-on s
70 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
236 voulu se séparer des intérêts fondamentaux de la nation . Ce phénomène est apparu dès le romantisme, avec la théorie de l’art
237 ement des préoccupations, jugées vulgaires, de la nation  ; tandis que les autres spéculaient commercialement sur la paresse de
238 sent qu’il est en communion avec les soucis de la nation , sa vie réelle et sa nature profonde. Mais un tel redressement de la
239 Suisses, plus vitaux encore que pour les grandes nations qui nous entourent. Et c’est pourquoi enfin, j’y reviens, acheter des
71 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
240 vie publique, et dans les couches profondes de la nation . Je dis que la crise de la culture est dans la rue. Je dis que la cul
72 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
241 tout péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui dévoue tous ses enthousiasmes aux soins que réclame la vieillesse
73 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
242 rolétariat, prospérité, abondance, grandeur de la nation … mythes qu’il faut ensuite imposer de force à la conscience de tout u
74 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
243 es de province où se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du monde. Le mari est un vieux laïcard, il accuse
75 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
244 er la subsistance des « petites patries » dans la nation abstraitement unifiée ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle
76 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
245 es de province où se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du monde. Le mari est un vieux laïcard, il accuse
246 tout péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui sait encore dévouer ses enthousiasmes aux soins que réclame la vi
77 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
247 er la subsistance des « petites patries » dans la nation abstraitement unifiée ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle
78 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
248 diverses activités de l’homme dans le cadre de la nation . Essayons donc de définir le mot « violence », c’est-à-dire de décrir
79 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
249 er la subsistance des « petites patries » dans la nation abstraitement unifiée ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle
80 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
250 ens de ce qui est européen et commun à toutes les nations  ; étant eux-mêmes dans la mesure où ils sont cela, dans la mesure où
251 trouvé, le sens de la réalité irremplaçable d’une nation . L’autorité qu’une certaine presse suisse s’était acquise à l’étrange
252 de la culture : un microcosme des valeurs que les nations qui nous entourent ont illustrées l’une après l’autre, mais n’ont pas
253 me « personne », des vocations spéciales d’autres nations . Et c’est là notre vocation. Neutralité, sur le plan culturel, ce n’e
81 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
254 revendication de liberté selon les classes ou les nations ). ⁂ Autre danger : si l’on questionne directement les gens sur leurs
82 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
255 etrouvé soudain le cri de la Révolution : Vive la Nation  ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne. Je simplifie encor
83 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
256 ’une classe, puis d’une race, et finalement de la nation armée. J’insisterai fortement sur ce point : il ne s’agissait pas de
257 croire à la première réalité qui se présente — la nation — , on ne peut pas exprimer d’une manière plus précise et ramassée la
258 ef qui est l’incarnation du destin immortel de la nation . M. Goebbels s’adresse à son Führer dans le langage même du piétisme 
259 ts sont en réalité divinisés, et que l’État ou la nation sont le contenu réel de ces cultes nouveaux, ce n’est pas seulement s
260 ns les pays totalitaires, on la rend au nom de la nation , ou ce qui revient au même, au nom du peuple. Or le dieu qu’on révère
261 eligion chrétienne, mais bien par l’intérêt de la nation . On le tolère dans la mesure où il peut lui rendre service. « Pour le
262 aurait tolérer une religion qui est au-dessus des nations et des classes dans un État qui se donne pour l’absolu, et qui se fon
263 Claudel. ⁂ L’esprit totalitaire, religion de la nation , tel est le fait qui domine le xx e siècle. Une religion de la nation
264 ait qui domine le xx e siècle. Une religion de la nation déifiée. À condition que l’on prenne ces mots dans leur sens littéral
265 age — vraiment c’est une religion, et vraiment la nation a pris la place de Dieu. Je ne connais pas de définition plus simple,
266 me, monumental et pétrifié, l’immense idole de la nation armée, encensée par des foules en rang, dans une hystérie solennelle,
267 il n’y en a plus que 1 200 000d. La dignité de la nation est rétablie, et nous voici sauvés du communisme. — Même couplet au s
268 re le Grand, qu’il a fait de la Russie une grande nation , que les ouvriers s’y sentent chez eux, et mettent dans l’URSS tout l
269 r rapport au mouvement total, à la religion de la nation armée ? ⁂ Mais revenons à des choses plus sérieuses. Voyons à quoi te
270 conflits et les passions à l’échelle de la seule nation . Tel est le sens du totalitarisme : c’est la nation totale qui est se
271 tion. Tel est le sens du totalitarisme : c’est la nation totale qui est seule dotée de qualités individuelles, d’initiative ré
272 a liberté, dans son esprit, est un attribut de la nation , et non pas des individus. Elle suppose même le renoncement aux liber
273 terdisent aux particuliers, sont reportées sur la nation divinisée et deviennent son apanage. La nation étant Dieu a tous les
274 la nation divinisée et deviennent son apanage. La nation étant Dieu a tous les droits. Sa volonté seule définit ce qui est le
275 ie d’un particulier devient le devoir sacré de la nation  : l’orgueil est glorifié, quand il est national, les attitudes provoc
276 attitudes provocantes sont de règle, en tant que nation , ou le droit de se faire valoir comme le plus grossier nouveau riche.
277 lus nombreux, le plus infaillible des peuples. La nation des totalitaires se comporte exactement corme les « bandits d’honneur
278 adence, aux yeux du Duce. Ainsi la religion de la nation a pour contenu la volonté de puissance. Mais cette volonté, en pratiq
279 eut conduire qu’à la guerre, car tout de même, la nation infaillible n’est pas seule dans le monde réel, comme elle est seule
280 ussie nouvelle. Résumons-nous : la religion de la nation , à défaut d’autre foi réelle, a pour contenu la volonté de domination
84 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
281 eurs qui l’ont créée. Gardienne des cols pour les nations , gardienne de la doctrine commune à tous les peuples, elle n’a pas d’
282 ni d’autre vocation. Elle n’est pas elle-même une nation , mais elle est davantage que cela : elle est le lieu et la formule du
283 existence de tout ce qui ne serait pas une grande nation monolithique, fondée sur l’unité — toute théorique d’ailleurs — de la
284 pas dans le nationalisme ! Nous ne sommes pas une nation  ; ni trois nations ; ni même vingt-deux petites nations. Nous sommes
285 alisme ! Nous ne sommes pas une nation ; ni trois nations  ; ni même vingt-deux petites nations. Nous sommes une Confédération d
286 n ; ni trois nations ; ni même vingt-deux petites nations . Nous sommes une Confédération de communautés régionales. C’est dans
287 s ou moins sérieusement de devenir nous aussi une nation , notre compte sera vite réglé. Car : 1° nous perdrons notre raison d’
288 ° nous ne pouvons devenir qu’une des plus petites nations de l’Europe, et une nation divisée contre elle-même en trois races et
289 ’une des plus petites nations de l’Europe, et une nation divisée contre elle-même en trois races et trois langues, si ce n’est
290 ès lors, quelle force opposerons-nous aux grandes nations qui nous entourent ? Nous serons dépecés en trois Anschluss. Ce n’est
85 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
291 st à peine si les Italiens avaient jamais été une nation  ; Hitler une religion de l’État, et les Allemands l’apprennent pénibl
292 manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de la nation est rétablie. L’autorité est restaurée. « Et nous voici sauvés du com
293 r rapport au mouvement total, à la religion de la nation , et au contenu de cette religion, la volonté collective de puissance 
294 essionnelle ; c’est-à-dire qu’à la religion de la nation et de la Race ne s’oppose plus que la foi proprement dite : contre-ép
295 ’a aucune importance. Car ce qui compte, c’est la Nation , et non pas les individus. Or la Nation, pratiquement c’est l’État. E
296 c’est la Nation, et non pas les individus. Or la Nation , pratiquement c’est l’État. Et cet État est né de la guerre ; il y pr
297 uerre perdue, quelle que soit son issue, pour les nations démocratiques. D’une guerre totale, telle que nous imposerait l’Allem
298 ne soit pas cette volonté anxieuse de croire à la Nation … Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement fondamental
299 ême esprit centralisateur ; même exaltation de la nation considérée comme missionnaire d’une idée ; même goût des fêtes symbol
86 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
300 tries locales, et seule expression unitaire de la Nation  ; jouissant d’un pouvoir dictatorial dans l’application de ses pouvoi
301 organisé et de l’organisateur, de l’État et de la Nation , qui conduit au désordre flagrant des démocraties, et à cette fixatio
87 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
302 es-nous sûrs que le réarmement massif profite aux nations pacifiques ? Sommes-nous même sûrs qu’il soit un avantage certain pou
303 même sûrs qu’il soit un avantage certain pour les nations qui glorifient la guerre ? La vraie raison de la course aux armements
304 ’idée de proposer qu’on donne la peste à toute la nation . Or c’est à peu près cela qu’on nous propose : faire vivre le peuple
305 litaires, selon la doctrine officielle dite de la nation armée. Mussolini l’a très bien dit : « La discipline militaire impliq
306 fierait bientôt le partage de notre État en trois nations . Ce serait la négation la plus radicale des bases mêmes de la Confédé
88 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
307 igné pour but prochain de refaire des cadres à sa nation . Car sans cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale »
308 jet légitime et possible à la passion : l’idée de nation symbolisée par le Führer. D’abord on prive la femme de son auréole ro
89 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
309 alistes. On s’y réclame très curieusement de la «  nation  » bretonne, du manifeste de Mounier, des droits de l’homme, de Jaurès
90 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
310 e du voyageur. On passe la frontière d’une de ces nations neuves : on s’imagine que tout, êtres et choses, va nous montrer des
311 pas mort en héros, mais en paria, aux yeux de sa nation . Comme je sortais, vivement impressionné par le courage sérieux (sans
312 lle illusion de la classe, corps étranger dans la nation . Et les partis bourgeois, sans qu’il nous en ait coûté beaucoup d’eff
313 ermes que ses confrères ; 6° ne dénigre jamais sa nation et ses chefs ; 7° demande des articles à des écrivains et à des savan
314 st à peine si les Italiens avaient jamais été une nation  ; Hitler une religion de l’État, et les Allemands l’apprennent pénibl
315 placez tous les conflits dans le cadre rigide des nations . La nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’ell
316 ’âme des masses, le sombre et puissant râle d’une nation possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l
317 obsession de l’unité-bloc ; même exaltation de la nation considérée comme missionnaire d’une idée ; même sens des fêtes symbol
318 , on les a contraints à distinguer l’Église de la Nation . Malgré eux, à leur cœur défendant, contre leurs traditions les plus
319 t-ce aujourd’hui seulement que la vérité de cette nation paraît, et alors, c’est nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions d
320 ns un camp sous le prétexte de « protection de la Nation  ». Les organisations antifascistes de l’étranger, intervenant publiqu
91 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
321 ession unique (plus encore que le synonyme) de la nation , de l’économie, de la culture, de la race, et de la société. Formule
322 manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de la nation est rétablie. L’autorité est restaurée. « Et nous voici sauvés du com
323 r rapport au mouvement total, à la religion de la nation , et au contenu de cette religion, la volonté collective de puissance 
324 chrétienne ; c’est-à-dire qu’à la religion de la nation et de la Race ne s’oppose plus que la foi proprement dite : contre-ép
325 ’a aucune importance. Car ce qui compte, c’est la Nation , et non pas les individus. Or la Nation, pratiquement c’est l’État. E
326 c’est la Nation, et non pas les individus. Or la Nation , pratiquement c’est l’État. Et cet État est né de la guerre ; il y pr
327 uerre perdue, quelle que soit son issue, pour les nations démocratiques. D’une guerre totale, telle que nous l’imposerait l’All
328 ne soit pas cette volonté anxieuse de croire à la Nation … Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement fondamental
92 1938, Journal d’Allemagne. Appendice ii Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
329 ns, mais au contraire d’obtenir l’unanimité de la nation sur une question vitale. La « lutte électorale » revenait ainsi à la
330 cient pas forcément de la véritable volonté de la nation … Pour moi, ajoutait-il, je viens faire appel à vous tous pour la troi
331 and fondamental est aujourd’hui de constituer une nation unitaire, centralisée, une solide base mystique et étatique pour les
93 1938, Journal d’Allemagne. Appendice iii. Les jacobins en chemise brune
332 leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler les grandes lig
333 Une seule réalité fonde à ses yeux l’unité de la nation allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut
334 es 200 familles du racisme21, les « ennemis de la nation  ». 2° Lutte contre l’étranger. — Là encore, Hitler va trouver une bas
335 haines communes sur laquelle puisse s’unifier la nation . Le Diktat de Versailles, signé par des diplomates lâches ou traîtres
336 nt l’action paraissait néfaste aux intérêts de la nation . Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt celle des lénini
337 s’abat sans scrupule humain sur les ennemis de la nation  : toujours, il faut « faire vite », déjouer un complot à la dernière
338 dépassement ne sera pas amorcé par la France, les nations jeunes, faute d’un autre modèle, se laisseront engager dans des imita
339 nisme, l’esprit centralisateur, le principe de la nation armée, disciplinée dans un cadre rigide, tout cela ne cesse d’être st
94 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
340 ntralisation rigide, confusion de l’État et de la Nation ) s’opposait dans le fait à toute application honnête des deux princip
341 u principe fédératif ne fut pas exploitée par les nations qui l’avaient remportée comme malgré elles et en dépit de leurs intér
95 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
342 tent aujourd’hui. Le premier groupe est celui des nations qui respectent l’Église et la personne. Nous y trouvons des formes de
96 1939, Tapuscrits divers (1936-1947). Pour une « Suisse chrétienne » (1939)
343 plus loin encore, lorsqu’on parle par exemple de nation chrétienne, ou même de civilisation chrétienne pour désigner l’Europe
97 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
344 onflits politiques au sein des foules des grandes nations . Or, nous n’avons pas de grandes villes, et nous ne sommes pas une gr
345 grandes villes, et nous ne sommes pas une grande nation . La seule voie qui nous reste ouverte est celle d’un théâtre de group
98 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
346 it : j’ai entendu son râle d’amour, le râle d’une nation possédée par l’homme au sourire extasié. Mais cet homme lui-même, qu’
99 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
347 la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nations sous l’uniforme barbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la lu
100 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
348 ns toutes ces querelles de ménage que se font les nations d’Europe, il s’agit moins d’humeurs que de lexiques incompatibles. Ai