1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 nséquence de quoi les romans des « païens », d’un Thomas Hardy , par exemple, se devaient en conséquence de finir carrément mal ? Non
2 en droit de prétendre qu’un roman pessimiste à la Thomas Hardy a plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque happy end soi-disa
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
3 nséquence de quoi les romans des « païens », d’un Thomas Hardy , par exemple, se devaient de finir aussi mal que possible ? Non, car
4 en droit de prétendre qu’un roman pessimiste à la Thomas Hardy a plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque happy end soi-disa
3 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
5 Edgar Poe : Contes. 58. T. S. Eliot : Poèmes. 59. Thomas Hardy  : Jude l’obscur. 60. Hemingway : Pour qui sonne le glas. 61. D. H. La
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
6 es passions dévastatrices chez les Brontë et chez Thomas Hardy , ou de l’arrière-plan de fanatique compétition sociale chez un Balzac
5 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
7 roman anglais, de Melmoth aux sœurs Brontë puis à Thomas Hardy , qui traduira le mieux l’action souterraine du mythe de Tristan, réac
6 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
8 r, à Novalis, ni aux chefs-d’œuvre des Brontë, de Thomas Hardy , de Tolstoï, voire au Partage de Midi. Quand on me demande : Le mot a