1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 e avec le prince Roccapalumba, puis avec un jeune lord  ; toute l’existence d’une femme qui ne cesse, jusqu’à sa dernière heu
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
2 astronomes, des phrénologues, des herboristes, un lord tout nu, les enfants terribles de Monsieur Crépin, et la silhouette é
3 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
3 Grecs, mais n’eût rien fait contre les droits des lords ou des capitalistes en Angleterre. À vrai dire, c’est un goût de la l
4 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
4 l de la République en France ou de la Chambre des Lords . Il ne ressemble qu’au Sénat américain, étant comme ce dernier formé
5 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
5 fédéraliste. 20. Balzac : La Comédie humaine. 21. Bacon  : Essais. 22. Shakespeare : Théâtre. 23. Swift : Les Voyages de Gull
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
6 de fasse surgir le Novum Organum dans le génie de Bacon  ; que les Arcadiens nus de Guanahani excitent l’imagination de Rousse
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
7 r, Huxley et Orwell. À la seconde, Thomas More et Bacon , Campanella, Rabelais et H. G. Wells. La plupart sont Anglais, il fau
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
8 onservateur de notre liberté, l’arbitre entre les lords et les communes, le chef de la république ; quand nous n’épousons qu’
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
9 , Spengler et Huxley) ou des grands Utopistes (de Bacon à notre science-fiction, en passant par Thomas Moore, Campanella, Cyr
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
10 es, bien au-dessus d’Aristote, dont le chancelier Bacon souhaiterait voir brûler tous les livres, « parce que Aristote a été
11 sseurs de la nature ». C’est l’idée du Chancelier Bacon  : on commande à la nature en obéissant à ses lois. Il ne suffit plus
12 artes, l’ancêtre véritable de la rationalisation, Bacon , le père de l’induction, n’avaient mis au point l’instrument de raiso
11 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
13 aute en France et en Italie, ni de la Chambre des Lords . Il ne ressemble qu’au Sénat américain, étant comme ce dernier formé
12 1972, Articles divers (1970-1973). L’ingénieur dans la cité (1971-1972)
14 et d’alchimistes, mais aussi de philosophes comme Bacon et Descartes, d’esprits religieux comme Leibniz et Euler, ou d’artist
13 1974, Articles divers (1974-1977). À propos de Théodore Strawinsky [préface] (1974)
15 t délirante, comme Picasso naguère ou aujourd’hui Bacon  ; mais bien à contribuer par une main maîtrisée, docile à toute invit
14 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
16 ach et Mozart, les deux Faust, Kepler et Galilée, Bacon , Descartes, Newton, Hegel et Kant ; Marx et Proudhon, ou le concept e
15 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
17 la libido sentiendi, sciendi ou dominandi, selon Bacon . Quand nous aurons compris que la crise dont nous souffrons résulte e
16 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
18 eur s’affirme donc contre l’État diffus : barons, lords , grands feudataires, boïards, […] en s’appuyant sur un groupe de serv
17 1988, Inédits (extraits de cours). Europe
19 re haute qui sera la succession de la Chambre des lords , tombée plus ou moins en désuétude ; alors, nous aurons exactement la