1 d’enlever des filles sur les rives de Canaan, de Tyr et de Sidon, donc de la « Phénicie » des Grecs. Il a son siège en Kap

2 amours du roi des dieux païens et d’une fille de Tyr , cette ville cent fois maudite par les Prophètes.) Goropius écrit, se

3 Nord, où le Monde cesse… De Carthage, colonie de Tyr (fondée nous l’avons vu, par Phœnix, l’un des frères d’Europe), Hanno

4 livre : Certains Grecs… abordèrent en Phénicie, à Tyr , et ravirent la fille du roi, Europe ; ce pouvaient être des Crétois.

5 climats, et l’on voyait s’échanger la pourpre de Tyr pour le fil précieux de la Sérique, les tissus moelleux de Kachemire,

6 Balbeck et de Jérusalem ? Où sont ces flottes de Tyr , ces chantiers d’Arad, ces ateliers de Sidon, et cette multitude de m

7 ns où nous la comprenons. Athènes, Sparte, Sidon, Tyr sont de petits centres d’admirable patriotisme ; mais ce sont des cit