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Paul Colin,
Van Gogh
(août 1925)c Le nouveau volume de la collection des « Maîtres de l
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u moins le cinquième ouvrage publié en France sur
Van Gogh
, depuis 1922. Il contient pourtant des vues assez neuves. M. Colin s’
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onclusions critiques s’en dégagent avec évidence.
Van Gogh
fut une proie du génie. L’homme tel que nous le peint Paul Colin, est
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Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Paul Colin,
Van Gogh
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août 1925, p
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auteurs, nous recevions des livres, des lettres.
Van Gogh
, en qui nous aimions tout : le pasteur, le peintre et le fou, semait
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ition des toiles les plus fameuses, de Cézanne et
Van Gogh
à Braque et Picasso. Créations d’œuvres théâtrales, dont la première
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rés, fiévreuses et exaltées comme les hachures de
Van Gogh
et tourmentées comme ses nuages, dans les œuvres de Dostoïevski. À la
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nt de se mettre à distribuer des reproductions de
Van Gogh
). Si donc j’écarte le critère d’utilité ou de manque d’utilité, comme
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ues et allemands l’ont égalé naguère à Cézanne, à
Van Gogh
. Ils ne le diraient plus aujourd’hui. Et les critiques français l’ont
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pour l’influence passagère de l’art japonais sur
Van Gogh
. Le xxe siècle européen va s’ouvrir sur la vogue de l’art nègre, dè