1 t d’un bain de romantisme allemand, lu et vécu, à Vienne , à Budapest, au lac de Garde, en Souabe — fasciné par le surréalisme

2 aki » ; il suit de près les travaux de l’École de Vienne (Wittgenstein, Carnap, Hubert), et écrit en collaboration fréquente a

3 aditionnelle définie et garantie par le traité de Vienne (1815), elle veut s’étendre désormais au monde entier. Et cela se tra

4 u que notre neutralité, garantie par le traité de Vienne comme étant « dans les intérêts de l’Europe entière », veut en effet

5 les d’Aix-en-Provence, de Vérone, de Florence, de Vienne , de Prague, de Berlin, de Copenhague, de la Hollande et de Gand. Au-d

6 prit et tous échanges humains. Lors du congrès de Vienne , en 1815, les hommes d’État de la Sainte-Alliance annoncèrent l’ouver

7 été organisées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou même Zurich, capable de puiser dans les nombreuses ressources dont

8 porte-parole de Genève aux congrès de Paris et de Vienne (1814 et 1815) avait publié trois petits ouvrages dans cette langue —