1 , j’ai voyagé. J’ai passé un an à l’Université de Vienne , où l’on ne me voyait guère à vrai dire, tant ma vie sentimentale éta

2 ro-hongrois, qui s’est continué en partie dans la Vienne de la petite république autrichienne. L’Empire austro-hongrois ne pou

3 ent très européen, qui est le développement de la Vienne des trente premières années du siècle. Je pense que Vienne était, plu

4 s trente premières années du siècle. Je pense que Vienne était, plus peut-être que Paris, le centre de la civilisation et de l

5  ; la littérature, qui s’est développée autour de Vienne , j’englobe ici tous ceux qui ont relevé de l’Empire « K. und K. » : R

6 reliaient à la Bretagne, à la Prusse-Orientale, à Vienne et à Turin. … Toute l’Europe était là, et c’était la famille… Denis

7 e et les Balkans, par la Roumanie, la Hongrie, la Vienne au crépuscule de la double monarchie, jusqu’à rejoindre l’Europe de l

8 Prague. Plus tard, Venise, Genève, Iéna, Weimar… Vienne et Paris : ces dernières villes vont redevenir au xxe siècle les deu

9 lemagnes et à la cour de Russie, Jean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Madame de Staël et Constant à Paris. Quant