1 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
1 Un soir à Vienne avec Gérard À Pierre Jeanneret et à son étoile nervalienne. Je vi
2 Jeanneret et à son étoile nervalienne. Je vins à Vienne pour fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fui dans les opérette
3 iants. Mais un tour de tambour anéantissait cette Vienne tout occupée à ressembler à l’idée qu’on s’en fait. Le Ring, trop la
4 aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann : c’était le souvenir de Gérard de Nerval. Mais je pense
5 n’a guère changé, dis-je, songeant aux Amours de Vienne . Certes, répondit Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimenta
6 s qui correspondent encore à l’image classique de Vienne . Sentimentalisme capricieux d’ailleurs, dépourvu d’ironie mais non pa
7 evenaient légères comme des ballons. La rumeur de Vienne baignait nos corps fatigués jusqu’à l’insensibilité et l’illusion éte
8 de titres dépourvus de sens. Je dormais debout. ( Vienne , 1928) 6. Quelque chose comme « pâtisserie-crème fouettée ».
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
9 propose. La joie du jour, hélas, la plus forte… ( Vienne , 1928)
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 ment avec une bonne ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent être à la fois cocasses et fades. En I
11 clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vienne à cause des serrures. Peut-être y passer une nuit — rôder à la recher