2
Jeanneret et à son étoile nervalienne. Je vins à
Vienne
pour fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fui dans les opérette
3
iants. Mais un tour de tambour anéantissait cette
Vienne
tout occupée à ressembler à l’idée qu’on s’en fait. Le Ring, trop la
4
aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit
Vienne
et Hoffmann : c’était le souvenir de Gérard de Nerval. Mais je pense
5
n’a guère changé, dis-je, songeant aux Amours de
Vienne
. Certes, répondit Gérard, malgré les apparences, cette vie sentimenta
6
s qui correspondent encore à l’image classique de
Vienne
. Sentimentalisme capricieux d’ailleurs, dépourvu d’ironie mais non pa
7
evenaient légères comme des ballons. La rumeur de
Vienne
baignait nos corps fatigués jusqu’à l’insensibilité et l’illusion éte
8
de titres dépourvus de sens. Je dormais debout. (
Vienne
, 1928) 6. Quelque chose comme « pâtisserie-crème fouettée ».