1 t plus sans les Turcs. Ceux-ci ont certes assiégé Vienne en 1552, au grand effroi de la chrétienté. Mais don Juan d’Autriche a

2 mes du Nord-Est ; Nuremberg pour les Allemagnes ; Vienne pour l’Europe de l’Est ; Bologne pour les pays italiens ; Constance p

3 s droit de Metternich et secrétaire du congrès de Vienne , avait été dès sa jeunesse un disciple de Kant, dont il partagea au d

4 istoire, professée en dix-huit leçons publiques à Vienne , par F. de Schlegel (Traduction par l’abbé Léchât), Ed. Parent-Desbar

5 is et Londres, entre Pétersbourg et Berlin, entre Vienne et Turin, qu’elle serait impossible et paraîtrait absurde aujourd’hui

6 même, à cent lieues des deux capitales, Berlin et Vienne , dont les souverains sont les seuls obstacles… … Au besoin, si le cas

7 s ; que le Turc occupait la Hongrie et assiégeait Vienne  ; et pourtant ces dangers sont maintenant loin de nous… L’Empire otto

8 ’a fallu que trois heures pour venir de Londres à Vienne , mais l’allure du progrès, à l’Assemblée de Strasbourg et dans les in

9 s, 1953. 305. Extraits d’une conférence donnée à Vienne en 1956, parue dans le Bulletin du Centre européen de la culture, n° 

10 Stephen Spender. 322. Extrait d’une conférence à Vienne , mars 1958, Texte allemand dans Forum, Vienne, avril 1958. Texte angl

11 e à Vienne, mars 1958, Texte allemand dans Forum, Vienne , avril 1958. Texte anglais communiqué par l’auteur. 323. L’Esprit d

12 rent adoptés par un vaste Congrès qui se réunit à Vienne en 1927. Les effigies de Sully, Comenius, l’abbé de Saint-Pierre, Kan