1 ntre de gravité n’est plus l’Argovie proche, mais Vienne . S’il leur prenait envie de mêler un peu les intérêts de l’Empire et

2 éfinissent et la sanctionnent sont les traités de Vienne et de Paris, au lendemain de la chute de Napoléon. Et ce n’est guère

3 e Rochemont, représentant la Suisse au congrès de Vienne , n’eut de cesse qu’il n’eût obtenu pour son pays la reconnaissance of

4 ° La neutralité suisse, garantie par le traité de Vienne , était invoquée par les Puissances pour contester à la Confédération

5 rations fondamentales. Les traités de Paris et de Vienne l’avaient défini par rapport à l’Europe. Mais la création de la Socié

6 lemagnes et à la cour de Russie, Jean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Mme de Staël et Constant à Paris. Quant à

7 e vers les régions germaniques, Hanovre, la Saxe, Vienne , Bayreuth. C’est alors auprès des maîtres allemands que les premiers

8 pas le cousin provincial de celui de Berlin ou de Vienne . L’école suisse de Bodmer et sa prédominance pendant une bonne partie

9 on et de méditation. Tantôt diplomate — attaché à Vienne dans sa jeunesse et chef de mission à Paris dans son âge mûr —, négoc