1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 propose. La joie du jour, hélas, la plus forte… Vienne , 1928. 5. C’est ce que portait l’invitation au bal chez le célèbre
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 ment avec une bonne ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent être à la fois cocasses et fades. En I
3 clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vienne à cause des serrures. Peut-être y passer une nuit — rôder à la recher
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
4 urtant, de mes études assez poussées — Neuchâtel, Vienne , Genève en huit semestres, lettres latines, allemandes et françaises,
5 rances danubiennes, et tant de nuits en train, de Vienne par Leoben noire et sonore, Udine au petit matin, Venise au loin sur
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
6 « Le Führer a passé la nuit au Hradschin. » Après Vienne , avec Prague, c’est une Europe qui vient de mourir. Europe du sentime
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
7 t. Et dans une seule bouffée, toutes ces nuits de Vienne , élégantes passions égarées, musique aux jardins jusqu’à l’aube… Un q
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
8 ls il appliquera les théories de la logistique de Vienne , à moins qu’il ne préfère les aborder en sociologue postmarxiste ou e