1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
1 ligeantes de voir juste. Et quand son bonhomme se plaint de ce que son œuvre lui apparaît en même temps que « fatale », « si a
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
2 temps est précieux. D’ailleurs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de
3 rs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez -vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces enfants… — Mais on nous
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
4 temps est précieux. D’ailleurs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de
5 rs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez -vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces enfants… — Mais on nous
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
6 ditez un peu cette note de Beausire : « Barrès se plaint très souvent de ses migraines, de ses gastrites, de sa fatigue. Pour
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 te à Babits Personne, à ma connaissance, ne se plaint de ce qu’il y a peu de poètes par le monde. C’est dans l’ordre des ch
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 ufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce
7 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 te à Babits Personne, à ma connaissance, ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dans l’ordre des
10 ufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 te à Babits Personne, à ma connaissance, ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dans l’ordre des
12 ufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 n ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre , mais de se préparer pour la suite, pour l’heure où ils devront « don
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
14 e risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expr
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
15 élève à la hauteur de l’invective prophétique : Plains -toi, l’Éternel ne craint rien, il peut bien se défendre ; mais commen
16 is comment le pourrait-il quand personne n’ose se plaindre comme il sied à un homme ? Parle, élève la voix, parle fort, Dieu peu
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
17 ût 1934)x On appelle l’esprit… De quoi se plaint l’intelligence ? Si l’on en croit les écrits les plus dignes de formu
13 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
18 ble-t-il. Nous serons bien les derniers à nous en plaindre . Nous avons pris un peu d’avance : ils rejoindront. Voici trois manif
19 rrait l’attirer ». Mais il y a plus. Montagnon se plaint de ce que le parti socialiste « meurt d’ignorance », et il s’écrie :
14 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
20 e risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expr
15 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
21 ment les plus concrètes, les modernes, qu’il faut plaindre , disent et croient presque qu’on est inefficace. Ils ne veulent pas q
22 lus d’élite ? Il n’y aura plus personne pour s’en plaindre  ; mais plus personne non plus pour rien connaître de la nature du lit
16 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
23 aque, lorsqu’on crée, je serais le dernier à m’en plaindre . Mais il s’agit ici, tout simplement, de s’évader d’une réalité qu’on
17 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
24 e risque, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle : l’exp
18 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
25 ment les plus concrètes, les modernes, qu’il faut plaindre , disent et croient presque qu’on est inefficace. Ils ne veulent pas q
26 lus d’élite ? Il n’y aura plus personne pour s’en plaindre  ; mais plus personne non plus pour rien connaître de la nature du lit
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
27 éresser. Ou, s’il le fait, il perd le droit de se plaindre quand les affaires, à son avis, vont mal. Ainsi parle un grossier bon
28 une découverte. Ils découvrent que le droit de se plaindre , dont ils avaient toujours usé, entraîne le devoir de modifier la sit
29 ne le devoir de modifier la situation dont ils se plaignent . Conséquence pour eux si nouvelle, qu’ils éprouvent le besoin de « ju
30 vous aimez ça, restez dedans. Mais alors, ne vous plaignez plus. Et si notre mariée vous paraît trop belle, nous la réserverons
20 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
31 voici, tout est vanité et poursuite du vent. » Je plaindrais l’homme d’action qui n’aurait jamais eu ce cri, qui n’aurait jamais é
21 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
32 le du cliché. On blâme cet instituteur. Qui va se plaindre à son député. Lequel interpelle les communes. Qui à leur tour inflige
22 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
33 et de sa formation ? »30. Autrement dit, on nous plaint d’être abandonnés à la seule inspiration de l’Esprit, à laquelle on n
23 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
34 éresser. Ou, s’il le fait, il perd le droit de se plaindre quand les affaires, à son avis, vont mal. Ainsi parle un grossier bon
35 une découverte. Ils découvrent que le droit de se plaindre , dont ils avaient toujours usé, entraîne le devoir de modifier la sit
36 ne le devoir de modifier la situation dont ils se plaignent . Cette conséquence est pour eux si nouvelle, qu’ils éprouvent le beso
37 vous aimez ça, restez dedans. Mais alors, ne vous plaignez plus. Et si notre mariée vous paraît trop belle, nous la réserverons
24 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
38 berté d’opinion, c’est pratiquement liberté de se plaindre , mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu
39 t pratiquement liberté de se plaindre, mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu’à la porte, mais on
40 ’ont plus de liberté, mais du travail. Elles s’en plaignent d’ailleurs de moins en moins. En Russie, en Allemagne, en Italie, il
41 upprimer finalement les raisons matérielles de se plaindre . Et après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de forc
25 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
42 berté d’opinion, c’est pratiquement liberté de se plaindre , mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu
43 t pratiquement liberté de se plaindre, mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu’à la porte, mais on
44 ’ont plus de liberté, mais du travail. Elles s’en plaignent d’ailleurs de moins en moins. En Russie, en Allemagne, en Italie, il
45 upprimer finalement les raisons matérielles de se plaindre . Et après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de forc
26 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
46 d’y déposer. Mais je me moque, et il faudrait les plaindre  : car c’est aux hommes qui n’ont plus de pitié, de bonhomie ni de vio
47 ls ont laissé se faire, tout ce dont on aime à se plaindre en vertu d’un snobisme de belle âme, tout ce que l’on protège cependa
27 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
48 sible sans résistance sur le plan humain. Ne nous plaignons jamais des résistances, mais seulement de leur mauvaise qualité. 90
28 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
49 berté d’opinion, c’est pratiquement liberté de se plaindre , mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu
50 t pratiquement liberté de se plaindre, mais de se plaindre sans passion profonde. La misère n’est encore qu’à la porte, mais on
51 ’ont plus de liberté, mais du travail. Elles s’en plaignent d’ailleurs de moins en moins. En Russie, en Allemagne, en Italie, il
52 upprimer finalement les raisons matérielles de se plaindre . Et après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de forc
29 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
53 d’y déposer. Mais je me moque, et il faudrait les plaindre  : car c’est aux hommes qui n’ont plus de pitié, de bonhomie ni de vio
54 ls ont laissé se faire, tout ce dont on aime à se plaindre en vertu d’un snobisme de belle âme, tout ce que l’on protège cependa
30 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
55 sible sans résistance sur le plan humain. Ne nous plaignons jamais des résistances, mais seulement de leur mauvaise qualité. 92
31 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
56 ruiné leur autorité. Ils sont donc mal venus à se plaindre . Mais la société en pâtit, plus gravement qu’elle ne le croit, sans d
32 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
57 , leur énergie sérieuse, cette façon de ne pas se plaindre de son sort… Pourtant, il y en a peu de cette espèce, semble-t-il. On
58 ve à la cuisine la fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d
59 la gorge brûlante après un verre »). Enfin ils se plaindront de ce que, dans leur pays, il n’y a plus de vie, d’initiative, de vra
60 de jeunes gens — si jamais ils en ont assez de se plaindre des villes, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La r
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
61 m’a décrit son existence sans amertume. Il ne se plaint que de son isolement intellectuel. Il trouve normal de vivre une vie
62 constater qu’ici les paysans travaillent trop, se plaignent du mauvais rendement de la terre, et refusent cependant de rien chang
63 n peu lent de geste et de parole ; prudent. Il se plaint de son isolement. « On nous laisse seuls, sans direction. Nous ne sav
34 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
64 , leur énergie sérieuse, cette façon de ne pas se plaindre de son sort… Pourtant, il en est peu de cette espèce, semble-t-il. On
65 tualisme ! » Est-ce qu’il y a vraiment lieu de se plaindre de ce que les hommes modernes aient trop d’idées ? Se plaint-on qu’il
66 e que les hommes modernes aient trop d’idées ? Se plaint -on qu’ils aient trop de sensations ? On proteste contre le fait de pe
67 ve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d
68 Giono l’héroïne d’une de ses nouvelles : elle se plaint de ce que les auteurs des romans qu’on lui donne à lire « passent à c
69 ux apaisements qu’elle leur donne et dont elle se plaint aussitôt, toute la misère des millions d’isolés qui font nos foules e
70 amicale d’« accidentés » est sans doute la plus à plaindre  : elle témoigne en effet, malgré elle, d’une certaine vitalité qui do
71 la gorge brûlante après un verre »). Enfin ils se plaindront de ce que dans leur pays, il n’y a plus de vie, d’initiative, de vrai
72 de jeunes gens — si jamais ils en ont assez de se plaindre des villes, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La r
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
73 dans mon coin d’ombre ? Des esprits exigeants se plaignent  : il n’y aura plus de tension créatrice chez ces hommes grossièrement
36 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
74 constater qu’ici les paysans travaillent trop, se plaignent du mauvais rendement de la terre, et refusent cependant de rien chang
75 n peu lent de geste et de parole ; prudent. Il se plaint de son isolement. « On nous laisse seuls, sans direction. Nous ne sav
37 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
76 m’a décrit son existence sans amertume. Il ne se plaint que de son isolement intellectuel. Il trouve normal de vivre une vie
38 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
77 ient dire ; essaie de les comprendre quand ils se plaignent ou quand ils rient : tu ne verras, tu n’entendras et tu ne comprendra
39 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
78 Ouest, je rencontre une vieille paysanne. Elle se plaint  : c’est la jambe qui ne va plus ! D’où cela vient-il ? — C’est depuis
40 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
79 ient dire : essaie de les comprendre quand ils se plaignent ou quand ils rient : tu ne verras, tu n’entendras et tu ne comprendra
41 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
80 nationale… Songez que la bourgeoisie allemande se plaint de perdre tous ses privilèges, paye des impôts qui équivalent à une c
42 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
81 guisé, répètent-ils. Drôle de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient en faveur des ouvriers et des pa
82 et enfants. — Déjeuner chez un avocat. Madame se plaint  : « Il n’y a plus de vie de famille possible, avec ce système. Tous l
43 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
83 guisé, répètent-ils. Drôle de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient en faveur des ouvriers et des pa
84 et enfants. — Déjeuner chez un avocat. Madame se plaint  : « Il n’y a plus de vie de famille possible, avec ce système. Tous l
44 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
85 r est ma santé. Je ne vois donc pas de quoi je me plains , car mon mal me vient de ma volonté ; c’est mon vouloir qui devient m
45 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
86 ar chemins Puisque celle qui me peut guérir ne me plaint . … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur tout autre…
87 ts ne paraissent présenter aucun sens, et l’on se plaint de leur monotonie ; toujours les mêmes images érotiques et sanglantes
46 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
88 Eckhart et saint Jean de la Croix. Les amants se plaignent parfois de leur passion et maudissent le poison fatal, cause de leurs
89 res. La passion qui décolore tout autre amour. Se plaindre d’un mal que l’on préfère cependant à toute joie et à tout bien terre
90 les mystiques, et sainte Thérèse la première, se plaignent de n’avoir pas de mots nouveaux (nuevas palabras) pour louer les œuvr
91 sure, lorsque Thérèse écrit à un religieux qui se plaint de ressentir une émotion des sens chaque fois qu’il entre en oraison 
47 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
92 il emporte sa lyre — et ce « pouvoir » dont il se plaint tout en sachant qu’il l’a voulu fatal : Et pour que mon martyre au p
93 Le cas vaut d’être analysé. Voici comme Alidor se plaint au premier acte : Ce n’est qu’en m’aimant trop qu’elle me fait mouri
94 que. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains  », dit-il plus bas. C’est donc la honte qui est cause de son mensonge
95 nteux d’avouer cette souffrance, il imagine de se plaindre d’être trop enchaîné par cette fidélité, — alors qu’on voit tout au c
48 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
96 orale. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il envoûte ; il invoque enfin le
49 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
97 us si, en 1522, un pamphlet catholique anonyme se plaint de ce que les réformés invoquent sans cesse les conseils de l’ermite
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
98 r est ma santé. Je ne vois donc pas de quoi je me plains , car mon mal me vient de ma volonté ; c’est mon vouloir qui devient m
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
99 d’elles et que je vais dans un autre pays, je me plains , je soupire et je languis. Est-il vraiment possible, se demande le le
100 ar chemins Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint         … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire – Sur tout
101 ts ne paraissent présenter aucun sens, et l’on se plaint de leur monotonie ; toujours les mêmes images érotiques et sanglantes
102 uels nous constatons cette contradiction, ne s’en plaignent pas ! On dirait qu’ils ont trouvé le secret d’une conciliation vivant
103 communs de la rhétorique courtoise consiste à se plaindre « d’aimer en lieu trop élevé ». Les érudits commentent : le pauvre tr
52 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
104 Eckhart et saint Jean de la Croix. Les amants se plaignent parfois de leur passion et maudissent le poison fatal, cause de leurs
105 res. La passion qui décolore tout autre amour. Se plaindre d’un mal que l’on préfère cependant à toute joie et à tout bien terre
106 les mystiques, et sainte Thérèse la première, se plaignent de n’avoir pas de mots nouveaux (nuevas palabras) pour louer les œuvr
107 sure, lorsque Thérèse écrit à un religieux qui se plaint de ressentir une émotion des sens chaque fois qu’il entre en oraison 
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
108 il emporte sa lyre — et ce « pouvoir » dont il se plaint tout en sachant qu’il l’a voulu fatal : Et pour que mon martyre au p
109 Le cas vaut d’être analysé. Voici comme Alidor se plaint au premier acte : Ce n’est qu’en m’aimant trop qu’elle me fait mouri
110 que. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains  », dit-il plus bas. C’est donc la honte qui est cause de son mensonge
111 nteux d’avouer cette souffrance, il imagine de se plaindre d’être trop enchaîné par cette fidélité — alors qu’on voit tout au co
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
112 orale. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il envoûte ; il invoque enfin le
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
113 r est ma santé. Je ne vois donc pas de quoi je me plains , car mon mal me vient de ma volonté ; c’est mon vouloir qui devient m
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
114 d’elles et que je vais dans un autre pars, je me plains , je soupire et je languis. Est-il vraiment possible, se demande le l
115 ar chemins Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur tout autre… S’
116 ts ne paraissent présenter aucun sens, et l’on se plaint de leur monotonie ; toujours les mêmes images érotiques et sanglantes
117 quels nous constatons cette contradiction ne s’en plaignent pas ! On dirait qu’ils ont trouvé le secret d’une conciliation vivant
118 communs de la rhétorique courtoise consiste à se plaindre « d’aimer en lieu trop élevé ». Les érudits commentent : le pauvre tr
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
119 Eckhart et saint Jean de la Croix. Les amants se plaignent parfois de leur passion et maudissent le poison fatal, cause de leurs
120 res. La passion qui décolore tout autre amour. Se plaindre d’un mal que l’on préfère cependant à toute joie et à tout bien terre
121 les mystiques, et sainte Thérèse la première, se plaignent de n’avoir pas de mots nouveaux (nuevas palabras) pour louer les œuvr
122 sure, lorsque Thérèse écrit à un religieux qui se plaint de ressentir une émotion des sens chaque fois qu’il entre en oraison 
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
123 il emporte sa lyre — et ce « pouvoir » dont il se plaint tout en sachant qu’il l’a voulu fatal : Et pour que mon martyre au p
124 Le cas vaut d’être analysé. Voici comme Alidor se plaint au premier acte : Ce n’est qu’en m’aimant trop qu’elle me fait mouri
125 ue. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains  », dit-il plus bas. C’est donc la honte qui est cause de son mensonge
126 nteux d’avouer cette souffrance, il imagine de se plaindre d’être trop enchaîné par cette fidélité — alors qu’on voit tout au co
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
127 orale. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il envoûte ; il invoque enfin le
60 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
128 il, et que ceux d’entre nous qui ont le plus à se plaindre de l’état social actuel seraient les premiers à regretter le temps où
129 avaient encore au moins un droit : le droit de se plaindre . Nous devons nous défendre, comme nous l’avons juré ; nous devons rép
61 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
130 iter des avantages de la folie moderne, et qui se plaignent aujourd’hui de devoir payer leur part minime dans la banqueroute euro
62 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
131 iter des avantages de la folie moderne, et qui se plaignent aujourd’hui de devoir payer leur part minime dans la banqueroute euro
63 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
132 de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici le climat et les rapports humains. I
64 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
133 litaire 1.On appelle l’esprit… De quoi se plaint l’Intelligence ? Si l’on en croit les écrits les plus dignes de formu
65 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
134 ie, pour la tuer. En même temps, les producers se plaignent de ce que les auteurs n’aient plus d’idées… Je vais leur donner grati
66 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
135 dans le grand art de prendre son temps. ⁂ Je les plains . Cependant, s’ils s’obstinent, je serai forcé de les traiter d’usurpa
67 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
136 us de quoi manger et qu’au surplus, loin qu’on le plaigne , on l’accuse formellement de s’être rendu coupable du crime le plus é
68 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
137 oins d’envie le débauché, dont il faudrait encore plaindre l’arrière-pensée, l’impuissance à choisir sans retour. Vivre est impu
69 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
138 nce, c’est le jeu des partis : tout le monde s’en plaint , mais y joue de plus belle. En Amérique, c’est le jeu des pressions,
70 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX. Paralysie des hommes d’État
139 de en plus ! Ainsi d’Attlee et de Staline. Je les plains . Cependant s’ils s’obstinent, je serai forcé de les traiter d’usurpat
71 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX . Paralysie des hommes d’État
140 le dans le grand art de prendre son temps. Je les plains . Cependant s’ils s’obstinent, je serai forcé de les traiter d’usurpat
72 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
141 e commercial de l’Amérique, d’une part, et qui se plaignent de ce que l’Amérique ne leur vende pas assez de blé, d’autre part. Qu
73 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
142 rd ? Les Allemands, en effet, même victorieux, se plaignent encore comme des victimes. Et les Anglais, même battus, se comportent
74 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
143 argentin, sortant de la messe à Saint-Patrick, se plaignait de l’absence toute « protestante » du désordre gentil, de la distract
75 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
144 de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici les rapports quotidiens. Ils pensent
76 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
145 rtisan des vacances payées, et n’ai donc pas à me plaindre , personnellement. Quant au principe, c’est plus grave. Céder à l’enn
77 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
146 erd ? Les Allemands en effet, même victorieux, se plaignent encore comme des victimes. Et les Anglais, même battus, se comportent
78 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
147 de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici les rapports quotidiens. Ils pensent
79 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
148 n ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre , mais de se préparer sérieusement pour la suite, pour l’heure où ils
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
149 ufs parmi les trams. Les habitants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
150 je garde de votre Cause commune .) Mais pour se plaindre de ne pas l’avoir découverte ? Soit. Mais pour dresser un cahier de r
151 parmi les autres témoignages » comme devait s’en plaindre Nizan, mais proportionnellement avantagés, d’autant que le point de v
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
152 m’a décrit son existence sans amertume. Il ne se plaint que de son isolement intellectuel. Il trouve normal de vivre une vie
153 constater qu’ici les paysans travaillent trop, se plaignent du mauvais rendement de la terre, et refusent cependant de rien chang
154 n peu lent de geste et de parole ; prudent. Il se plaint de son isolement. « On nous laisse seuls, sans direction. Nous ne sav
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
155 , leur énergie sérieuse, cette façon de ne pas se plaindre de son sort… Pourtant, il en est peu de cette espèce, semble-t-il. On
156 tualisme ! » Est-ce qu’il y a vraiment lieu de se plaindre de ce que les hommes modernes aient trop d’idées ? Se plaint-on qu’il
157 e que les hommes modernes aient trop d’idées ? Se plaint -on qu’ils aient trop de sensations ? On proteste contre le fait de pe
158 ve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est rouge, mais la porte donne au nord-ouest, d
159 Giono l’héroïne d’une de ses nouvelles : elle se plaint de ce que les auteurs des romans qu’on lui donne à lire « passent à c
160 ux apaisements qu’elle leur donne et dont elle se plaint aussitôt, toute la misère des millions d’isolés qui font nos foules e
161 amicale d’« accidentés » est sans doute la plus à plaindre  : elle témoigne en effet, malgré elle, d’une certaine vitalité qui do
162 la gorge brûlante après un verre ». Enfin ils se plaindront de ce que dans leur pays, il n’y a plus de vie, d’initiative, de vrai
163 de jeunes gens — si jamais ils en ont assez de se plaindre des villes où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La ré
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
164 dans mon coin d’ombre ? Des esprits exigeants se plaignent  : il n’y aura plus de tension créatrice chez ces hommes grossièrement
165 ient dire ; essaie de les comprendre quand ils se plaignent ou quand ils rient : tu ne verras, tu n’entendras et tu ne comprendra
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
166 autre case, entouré par tous les voisins venus le plaindre et le réconforter, le mari se tord de douleur. « La femme a mal, dit-
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
167 guisé, répètent-ils. Drôle de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient en faveur des ouvriers et des pa
168 et enfants. — Déjeuner chez un avocat. Madame se plaint  : « Il n’y a plus de vie de famille possible, avec ce système. Tous l
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
169 t prêts pour l’impression. J’étais heureux. Je me plaignais seulement de la brièveté des journées et des nuits. Je ne demandais q
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
170 erd ? Les Allemands en effet, même victorieux, se plaignent encore comme des victimes. Et les Anglais, même battus, se comportent
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
171 de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhumanité que revêtent ici les rapports quotidiens. Ils pensent
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
172 n ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre , mais de se préparer pour la suite, pour l’heure où ils devront « don
91 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
173 e commercial de l’Amérique, d’une part, et qui se plaignent de ce que l’Amérique ne leur vende pas assez de blé, d’autre part. Qu
92 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
174 ie, pour la tuer. En même temps, les producers se plaignent de ce que les auteurs n’aient plus d’idées… Je vais leur donner grati
175 vait que j’avais exagéré. — Au fond, de quoi vous plaignez -vous ? dit-il enfin. Votre article était bon, tel qu’il fut publié. I
176 argentin, sortant de la messe à Saint-Patrick, se plaignait de l’absence toute « protestante » du désordre gentil, de la distract
93 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
177 qu’on ne s’en vante jamais. L’Américain moyen se plaint beaucoup des mille complications de sa feuille d’impôts (et cependant
178 jour qu’il en remplit 145 pour sa société). Il se plaint , mais il met son point d’honneur à payer ce qu’il doit, toutes déduct
94 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
179 oins d’envie le débauché, dont il faudrait encore plaindre l’arrière-pensée, l’impuissance à choisir sans retour. Vivre est impu
95 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
180 e ne me trompe) : il y a trente ans que nous nous plaignons de leur lenteur à répondre à nos SOS (eh quoi ! onze mois pour créer
96 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
181 t on leur ôte le droit de grève et le droit de se plaindre d’une inégalité de salaires sans précédent dans les pays capitalistes
97 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
182 on leur ôte le droit de grève, et le droit de se plaindre d’une inégalité de salaires sans précédent dans les pays capitalistes
98 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et l’Europe (IV) (20 juin 1949)
183 sans nous, et nous n’aurons pas le droit de nous plaindre si nous trouvons qu’elle est mal faite. Troisièmement, il nous faut n
99 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
184 ues ou financiers. Je ne sais trop s’il faut s’en plaindre . Tout cela se crée naturellement autour des « grands », et ils sont à
100 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
185 éliciter, bien entendu, M. Hugh Dalton, pour s’en plaindre (et cette confirmation n’est pas la moins valable). On ne s’en étonne