1
tee déclarèrent que le président de ce mouvement,
Winston Churchill
, avait également l’intention de provoquer la réunion d’un congrès pou
2
uque blanche et gonflée au-dessus d’un frac noir,
Winston Churchill
. À ma gauche, à ma droite, quelques profils d’amis, ce jeune ancien m
3
H. Brugmans) ; United Europe Committee (président
Winston Churchill
) ; Ligue indépendante de coopération européenne (président Paul van Z
4
ent quelques mois plus tard. 3. Ces mots sont de
Winston Churchill
, dans une lettre adressée à Léon Blum, et à laquelle l’article cité r
5
idents que s’est donné notre Mouvement européen :
Winston Churchill
, Léon Blum, Paul-Henri Spaak, Alcide de Gasperi. C’est-à-dire un cons
6
us informèrent que le président de ce groupement,
Winston Churchill
, avait également l’intention de convoquer un « Congrès de l’Europe ».
7
ses quatre présidents d’honneur étant Léon Blum,
Winston Churchill
, Alcide de Gasperi et Paul-Henri Spaak. À la question : « Qu’a-t-on f
8
e signifie « faire l’Europe » pour un homme comme
Winston Churchill
, d’une part, et pour le Comité des ministres qui vient de se réunir à
9
e l’Europe, réuni à La Haye sous la présidence de
Winston Churchill
, déclarait : Les organes juridiques, économiques et politiques que d
10
mois plus tard, à La Haye, sous la présidence de
Winston Churchill
, le congrès proposait la création d’un Centre européen de la culture,
11
nière sur les questions économiques, aux côtés de
Winston Churchill
, et de me donner sa réponse. M’ayant ainsi pris dans son jeu, il vint
12
rganisent ; les ministres se font entendre. Ainsi
Winston Churchill
, à Zurich, le 16 septembre 1946, propose « une sorte d’États-Unis d’E
13
te même Université, avec une poignante éloquence,
Winston Churchill
appelait la création de quelque chose qui, disait-il, « s’appellerait
14
temps » ? Qui ne voit que si l’Europe qu’appelait
Winston Churchill
n’est pas faite, c’est parce que les nations qu’exalte le ministre d’
15
16 septembre 1946 : avec une poignante éloquence,
Winston Churchill
appelle la création de quelque chose qui « s’appellera — peut-être —
16
temps » ? Qui ne voit que si l’Europe qu’appelait
Winston Churchill
n’est pas faite, c’est parce que les nations qu’exalte le ministre d’
17
urich, le 16 septembre exactement, le discours de
Winston Churchill
, proposant, avec une prudente hardiesse, de construire « une sorte d’
18
lée au-dessus du col d’une redingote victorienne,
Winston Churchill
. À ma gauche, à ma droite, quelques profils d’amis, ce jeune ancien m
19
16 septembre 1946 : Avec une poignante éloquence,
Winston Churchill
appelle la création de quelque chose qui « s’appellera peut-être les
20
temps » ? Qui ne voit que si l’Europe qu’appelait
Winston Churchill
n’est pas faite, c’est parce que les nations qu’exalte l’ex-ministre
21
us informèrent que le président de ce groupement,
Winston Churchill
, avait également l’intention de convoquer un « Congrès de l’Europe ».
22
ses quatre présidents d’honneur étant Léon Blum,
Winston Churchill
, Alcide de Gasperi et Paul-Henri Spaak. À la question : « Qu’a-t-on f
23
provienne de l’université qui, en 1946, offrit à
Winston Churchill
la tribune d’où il allait lancer son appel aussitôt célèbre à l’union
24
s hommes politiques groupés autour du prestigieux
Winston Churchill
. Nous avons cru que, dans un premier stade, il serait possible de fon
25
cette note à la conclusion : « Onzième conférence
Winston Churchill
prononcée à l’Université de Fribourg, le 21 novembre 1977. »
26
de l’Europe, à La Haye, en mai 1948, présidé par
Winston Churchill
, et dont j’ai assumé la partie culturelle présidée à La Haye par Salv
27
ongrès de l’Europe à La Haye en 1948, présidé par
Winston Churchill
. À côté de lui, Robert Schumanz, grande figure du Mouvement européen,