1
pour ne pas faire l’Europe, et nous y sommes : l’
abandon
des efforts d’union est tacitement admis par les Européens. L’Europe
2
sein. 5. Une telle fédération ne suppose pas « l’
abandon
de nos souverainetés », mais au contraire l’institution d’une souvera
3
litants de l’Europe unie depuis l’été dernier : l’
abandon
du projet de CED et les accords de Londres. Londres a réalisé dans l’
4
n à des mesures positives, ou bien à consentir un
abandon
(parfois opportun). Ainsi, elle permet aux États de procéder à leur d
5
es économiques-écologiques-civiques, au prix de l’
abandon
de leurs sacro-saintes souverainetés nationales, on ne voit pas comme