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t à ce propos, il faut souhaiter que M. Fernandez
aborde
par ce biais l’œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me paraît liée
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proximations ; elles forment, tant par les sujets
abordés
que par le style des « approches », le livre le plus significatif de
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style sportif — c’est l’aisance avec laquelle il
aborde
un Pater, un George non pas autrement qu’il n’aborderait un génie fra
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rde un Pater, un George non pas autrement qu’il n’
aborderait
un génie français, et sur un pied véritablement européen. L’envergure