1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 le Paradis —, tantôt c’est l’autre qui impose son absolu . Une soumission au réel durement consentie, voilà ce que nous admiron
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
2 l’a poussé impitoyablement dans sa recherche d’un absolu qui se trouve être le néant. Pour finir il « l’écrabouille ». L’expér
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 s étions dominés par le sens d’une réalité morale absolue que certains d’entre nous eussent acheté au prix d’un martyre… Cette
4 ner les yeux de leur recherche pour contempler un absolu  ; qu’ils osent se faire violence pour se hisser dans la lumière. « Il
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
5 is loin d’admettre plusieurs thèses beaucoup trop absolues . M. Fernandez tente de prouver par exemple que l’œuvre d’art ne peut
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
6 pourtant mépris de tout, procédant d’un goût de l’ absolu à la fois mystique et anarchique : ce sont bien les grands traits de
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
7 caractérise le plus fortement, c’est sa « révolte absolue  », forcenée, jusqu’au rire dément, — ses injures de Caliban littérate