1 une « tradition » spirituelle, figure la négation absolue de toute histoire : « Vue d’en haut, c’est une série de libres action

2 e de cette œuvre, conduirait l’homme au nihilisme absolu  : mais ce péril est tout imaginaire. Car seule la connaissance du sal

3 rtier, et non content d’y vivre dans un dénuement absolu , ouvre sa chambre aux misérables sans-abris. Ses trois premiers hôtes

4 rai, de toute l’évolution politique de la royauté absolue vers « l’État totalitaire ». Il faut ici risquer un mot sans doute an

5 e pose cette œuvre, c’est celle de la foi, dans l’ absolu . Ce n’est pas encore la question que Kierkegaard adressera plus tard

6 agoniste ; l’art de Calvin est fait de soumission absolue à l’objet proposé : tout en portant la marque d’une des plus puissant

7 nscience morale de l’homme. L’opposition apparaît absolue . Mais l’une des grandes surprises que nous réserve le Problème du Bie

8 sens de la décision totale entre un oui et un non absolus , et refus de tout moyen terme entre les règnes en guerre ouverte du D

9 ue humain revêt un drame spirituel, le drame de l’ absolu chrétien qui détruit tout dès qu’il agit sans charité (thème fréquent