1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 iques » au service des « souverainetés nationales absolues  ». Or, aujourd’hui, c’est la deuxième Europe qui s’oppose à l’union f
2 l’État-nation centralisé et de sa « souveraineté absolue  », et enfin et surtout l’équation : « Bonheur de l’homme égale accroi
3 ontinent en quelque 28 « souverainetés nationales absolues  » explique seule que les motifs d’union définis plus haut, et qu’aucu
4 « dépasser le dogme de la souveraineté nationale absolue  ». Seule une fédération des démocraties pourra prévenir une nouvelle
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
5 ait pour les Européens une catastrophe économique absolue — si la « logique économique » devait rester ce qu’elle est aujourd’h
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
6 s du profit financier privé et de la souveraineté absolue des États, en tant qu’ils sont considérés comme les critères ultimes
7 recours automatique à la « souveraineté nationale absolue  » et au principe sacro-saint de la « non-ingérence », principes que l
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
8 e rien sacrifier de leur « souveraineté nationale absolue et indivisible », tout en réitérant leur volonté d’« accroître l’unio
9 verte au dépassement des souverainetés nationales absolues et indivisibles est la voie même de la fédération, on veut dire de la
10 de dépasser le dogme de la souveraineté nationale absolue  : toutes les réalités technologiques, écologiques, socioéconomiques e
11 le respect religieux des souverainetés nationales absolues , et qui tient toute tendance fédéraliste pour indécente, il faut ente
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
12 où les États-nations existeraient encore seuls et absolus (par leurs prétentions au moins), la formule la plus simple serait de
6 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Programme pour les Européens
13 s. Dépasser le dogme de la souveraineté nationale absolue  : reconnaître et favoriser les solidarités transfrontalières. Constit