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iques » au service des « souverainetés nationales
absolues
». Or, aujourd’hui, c’est la deuxième Europe qui s’oppose à l’union f
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l’État-nation centralisé et de sa « souveraineté
absolue
», et enfin et surtout l’équation : « Bonheur de l’homme égale accroi
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ontinent en quelque 28 « souverainetés nationales
absolues
» explique seule que les motifs d’union définis plus haut, et qu’aucu
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« dépasser le dogme de la souveraineté nationale
absolue
». Seule une fédération des démocraties pourra prévenir une nouvelle
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ait pour les Européens une catastrophe économique
absolue
— si la « logique économique » devait rester ce qu’elle est aujourd’h
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s du profit financier privé et de la souveraineté
absolue
des États, en tant qu’ils sont considérés comme les critères ultimes
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recours automatique à la « souveraineté nationale
absolue
» et au principe sacro-saint de la « non-ingérence », principes que l
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e rien sacrifier de leur « souveraineté nationale
absolue
et indivisible », tout en réitérant leur volonté d’« accroître l’unio
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verte au dépassement des souverainetés nationales
absolues
et indivisibles est la voie même de la fédération, on veut dire de la
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de dépasser le dogme de la souveraineté nationale
absolue
: toutes les réalités technologiques, écologiques, socioéconomiques e
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le respect religieux des souverainetés nationales
absolues
, et qui tient toute tendance fédéraliste pour indécente, il faut ente
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où les États-nations existeraient encore seuls et
absolus
(par leurs prétentions au moins), la formule la plus simple serait de
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s. Dépasser le dogme de la souveraineté nationale
absolue
: reconnaître et favoriser les solidarités transfrontalières. Constit