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de l’État totalitaire ? Ordre régalien, monarchie
absolue
, colbertisme, jacobinisme, bonapartisme, république une et indivisibl
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n ? C’est soumettre toute une nation aux pouvoirs
absolus
de l’État. C’est vouloir faire coïncider sur un même territoire, défi
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n, alléguant une indépendance et une souveraineté
absolues
aussi peu défendables en droit qu’elles deviennent illusoires, en fai
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romain. 11 février 1977 Pour le roi, pour l’État
absolu
, il n’est pas question de dire que le but de la société c’est que les
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tat-nation qui prendra exactement la place du roi
absolu
d’autrefois. 20 mai 1977 Au total, on peut dire que la Révolution fra
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u’a été créé ce composé qui se proclame souverain
absolu
et immortel — ceci en dépit de toute connaissance un peu précise de l
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issance divine, c’est le dogme de la souveraineté
absolue
et illimitée de l’État, souveraineté s’exerçant d’abord sur la nation
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t de l’apparition de l’État moderne. Le véritable
absolu
pour l’homme moderne sera désormais l’État, être collectif plus ou mo
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, on retombe sur ces divisions en fausses entités
absolues
. 26 novembre 1976 Ce que nous avons de plus commun en Europe, c’est n
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s voulant chacune prendre sur elle les caractères
absolus
de l’empire, alors qu’elles étaient plusieurs et qu’un empire, pour ê
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t jalousement leurs prétentions à la souveraineté
absolue
. Je ne crois pas à cette amicale des misanthropes. Je crois à la néce
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tes, au contraire, ne s’occupent que de la pureté
absolue
des fins, seuls objets dignes de la réflexion d’un guide des hommes ;
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t cas en théorie, idéalement, la personne était l’
absolu
, la société n’étant que son instrument, la société étant là pour le s
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ation de la grandeur, le dogme de la souveraineté
absolue
de l’État à l’intérieur de ses frontières, et enfin le culte (car c’e
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me valeur fondamentale au lieu de la souveraineté
absolue
, la justice, l’équité, au lieu de la grandeur du prince, le fait que
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e d’un fédéralisme externe contre la souveraineté
absolue
des États, et on constate que cela se combine très bien avec une conc
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aniaques aux fictions de l’indépendance nationale
absolue
, de la souveraineté nationale sans limites, fictions sacrées, qui peu
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it passer des mythes de la souveraineté nationale
absolue
aux réalités que les régions peuvent épouser, étant plus petites, plu
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le impose à tous les esprits la notion du pouvoir
absolu
de l’État, de la « majesté de l’État », de sa toute-puissance sur la
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ut, et si on souffre de son pouvoir, comme il est
absolu
et qu’il n’y a pas de recours possible contre lui, il faudra donc s’e
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’oppose directement à l’État, et plus l’État sera
absolu
, plus la révolution tendra à être violente. Dans une société où l’Éta