1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 e sincérité » : l’homme n’est pas un point de vue abstrait , mais un animal créateur ; et ce n’est pas ce qu’il pense de sa sincé
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
2 at rompu, elle se dissocie fatalement, et l’ordre abstrait prenant le pas sur les facultés d’invention, il en résulte une tyrann
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
3 e, son œuvre de division réelle et d’organisation abstraite . Tout ceci pouvait être prévu dès l’époque de la Renaissance ; il eût
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
4 ine à cette vocation supérieure ; dénué de termes abstraits , impropre à toute métaphysique22 il contraint les auteurs sacrés à l’
5 est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite … » (Renan, op. cit. I, p. 49.) Où Renan voit un obscurcissement, je v
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
6 e volonté. Il reste à remplacer chacun des termes abstraits de cette formule par un fait ou un nom contemporains. ⁂ 1° Temps et l
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
7 nser à cette oscillation chiffrée, à ce spectacle abstrait , à cette considération détachée et méticuleuse d’un index insensible
8 re, et qui étaient ce qu’on peut imaginer de plus abstrait , de plus séparé des réalités charnelles, de plus innocemment idéalist
9 r justifier son inaction, et qui la déduit dans l’ abstrait — je veux dire en dehors de l’action des personnes. On a voulu à l’or
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
10 ret ? Ne serait-il pas tout au contraire un mythe abstrait  ? Ou simplement un acte de l’esprit, un jugement, et ne serait-ce pas
11 sont brutales, et la pensée qui les exerce encore abstraite , c’est que le monde abandonné par les élites n’offrait plus que d’inf
12 mme, d’autre part, il opposera à l’évasion dans l’ abstrait la volonté de s’ordonner à un but, et d’y soumettre ses moyens. Le st
13 ance occidentale96. Mais tout cela resterait fort abstrait , resterait une description abstraite du concret, si nous n’arrivions
14 esterait fort abstrait, resterait une description abstraite du concret, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l’incarnati
15 e vocabulaire, n’est-il pas, lui aussi, un être «  abstrait  », ne laisse-t-il pas le champ libre à la mécanique étatiste qui tien
16 e et descriptible. C’est pourquoi des généralités abstraites telles que morale, ou socialisme, entités que l’on peut considérer en
17 a question sociale n’ait un aspect nécessairement abstrait (questions d’organisation technique, question de l’État). Mais il imp
18 modernes est d’avoir soumis l’aspect concret à l’ abstrait , alors qu’il fallait au contraire soumettre la technique de l’État au