1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 aît dans ces deux expériences, à mesure qu’on les abstrait de toute la littérature dont elles enveloppèrent leurs manifestations
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
2 a passion du malheur, le sacrifice à une divinité abstraite , autant de principes de grandeur et de réduction du désordre ; mais c
3 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
3 dit »… Il ne manque jamais de s’excuser des mots abstraits , des termes nobles auxquels il faut bien recourir lorsqu’on veut réfu
4 réfuter les duperies qu’ils recouvrent. Les mots abstraits sont nécessaires à une certaine circulation d’idées qui représentent
5 langage délictueux, inactuel, erroné, inutilement abstrait , ferait un bien meilleur travail — il faudrait qu’il donnât de fortes
6 Ainsi la mythologie, chez Ramuz, déloge l’analyse abstraite des psychologues. Et l’on découvre à chacune de ses œuvres une signif
7 amais la volonté de style jusqu’au système et à l’ abstrait — jusqu’au cubisme. Pour le physionomiste, le seul principe fécond, c
8 suite du Réveil, en réaction contre le dogmatisme abstrait , insista puissamment sur la nécessité de « faire la volonté de Dieu »
9 e du général. Ainsi le moralisme fut une doctrine abstraite du concret. Mais ses racines plongent dans la vérité. Nous aussi, nou
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
10 onventions précaires, on les rend aussi vagues et abstraites qu’on le peut. Opération inverse de celle du poète : on s’arrête à l’
11 se-image, au lieu d’une formule faite, d’un terme abstrait . C’est le style du livre de Job. Cependant cet effort de Claudel, res
12 u’il fait sienne, c’est-à-dire qu’il s’isole et s’ abstrait du mouvement de la Création. « Et c’est pourquoi une fin lui fut en e