1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 ique est d’un aimable anachronisme. Outre qu’elle abuse de Corneille, elle paraît ignorer l’un de ces faits dont l’envergure
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 de notions qui remontent à Platon. »20 Mais il en abuse dans le sens où l’incline sa nature d’Occidental. C’est ainsi que le
3 n, contre certains des troubadours qui sans doute abusaient trop souvent des ambiguïtés ménagées par le « service » d’amour court
4 (Yggdrasil, 25 août 1937.) 19. Droit d’user et d’ abuser des esclaves, qui ne sont pas des « personnes » pour le droit romain 
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
5 s prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage de l’Éros païen ? 4.Les Mystiques orthodoxe
6 à peu, l’hérésie disparaît aux yeux des mondains abusés par le charme trompeur de l’art : ils n’en gardent que la poésie ; et
7 e par l’objet même de sa foi à user, et parfois à abuser , du langage de l’amour-passion. Usage et abus dont la psychologie mod
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
8 et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse . Il a grand besoin qu’elle existe pour trouver goût à la violer. Tris
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
9 la passion. Allons ! il est trop clair que Sartre abuse des mots, et qu’ici c’est délibéré. Ce qu’il s’obstine à nommer trans