1 it entre eux. L’approche des yeux, dès qu’ils ont accepté tout le regard de l’autre : sentiment comparable au vertige. Le jugem

2 ne écriture durable et d’une œuvre d’avenir. Il n’ accepte de rompre avec une tradition que pour en fonder une nouvelle, qui se

3 ésolument dans le grand jour du siècle mécanique, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce

4 s fournit la seule excuse que notre esprit puisse accepter pour suspendre le cours d’une existence de plus en plus conforme aux

5 es et les césures, — bref, toutes les conventions acceptées en commun par les artistes et leur public. Tout cela faisait l’Art, a

6 t ce qu’elle s’est épuisé à combattre ? Doit-elle accepter de se passer d’au moins trois libertés sur quatre, avec l’espoir que

7 en dit. Mais je sais bien qu’il y a les visas. N’ acceptons pas que cet accident tardif de la démence nationaliste dénature le pr

8 modernes la Fatalité imbécile. Pourquoi donc les acceptons -nous, comme des moutons, sans qu’une voix ne proteste ? t. « Faut-i

9 homme qui ne recule pas devant sa liberté, et qui accepte les risques de son choix. Laissons l’Histoire telle qu’on la simplifi

10 la coutume des hautes pentes. Car celui seul qui accepte la mort n’est pas le jouet du vertige. Le temps vient où les hommes n

11 l’idée que dulce et decorum est pro patria mori, accepte de se faire tuer non point par fanatisme, religieux, comme le Japonai