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chrétien le considère comme un homme qui refuse d’
accepter
, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise
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ir de ceux qui souffrent et qui créent. Mais s’il
accepte
pratiquement de travailler à la révolution, le chrétien n’a pas le dr
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e, dispensant chaque chrétien de reconnaître et d’
accepter
les risques d’une vocation toujours unique, et parfois scandaleuse. J
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l’on refuse d’attaquer le socialisme, faudra-t-il
accepter
aussitôt le fameux trait d’union qu’on nous propose, entre socialiste
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me qui fuit devant sa vocation. C’est l’homme qui
accepte
un mensonge parce que les intérêts immédiats du parti le commandent s
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ial que l’on peut appeler chrétien. On peut aussi
accepter
l’idée d’une vocation générale ou collective, appliquée à une nation