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ésolument dans le grand jour du siècle mécanique,
accepter
pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce
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nt à l’existence, à la faveur de ces vicissitudes
acceptées
. Acceptons notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle. Q
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tence, à la faveur de ces vicissitudes acceptées.
Acceptons
notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle. Quoi qu’il a
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ut son corps, de tout son sentiment charnel, on l’
accepte
avec toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’h
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l n’y a pas de wagon-restaurant, le chef de train
accepte
de nous arrêter pour une heure dans un village. Nous dînons sur la pl
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les huit heures du soir, s’assoit au living-room,
accepte
un verre, et me demande avec application ce que je pense du monde et
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suis seul, en vacance pure. Et pourquoi ne point
accepter
cette absurde béatitude qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y
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sont acceptables, à première vue, et seules font
accepter
l’original, qui fit scandale ou même ne fut pas remarqué. (Balzac « j
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en dit. Mais je sais bien qu’il y a les visas. N’
acceptons
pas que cet accident tardif de la démence nationaliste dénature le pr
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modernes la Fatalité Imbécile. Pourquoi donc les
acceptons
-nous, comme des moutons, sans qu’une voix ne proteste ? Février 19
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mauvais temps qui viennent. Ils le savaient, ils
acceptaient
ce fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant