1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 ésolument dans le grand jour du siècle mécanique, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 nt à l’existence, à la faveur de ces vicissitudes acceptées . Acceptons notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle. Q
3 tence, à la faveur de ces vicissitudes acceptées. Acceptons notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle. Quoi qu’il a
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
4 ut son corps, de tout son sentiment charnel, on l’ accepte avec toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’h
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
5 l n’y a pas de wagon-restaurant, le chef de train accepte de nous arrêter pour une heure dans un village. Nous dînons sur la pl
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 les huit heures du soir, s’assoit au living-room, accepte un verre, et me demande avec application ce que je pense du monde et
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 suis seul, en vacance pure. Et pourquoi ne point accepter cette absurde béatitude qui naît parfois d’un malheur consommé ? Il y
7 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
8 sont acceptables, à première vue, et seules font accepter l’original, qui fit scandale ou même ne fut pas remarqué. (Balzac « j
8 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
9 en dit. Mais je sais bien qu’il y a les visas. N’ acceptons pas que cet accident tardif de la démence nationaliste dénature le pr
10 modernes la Fatalité Imbécile. Pourquoi donc les acceptons -nous, comme des moutons, sans qu’une voix ne proteste ? Février 19
9 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
11 mauvais temps qui viennent. Ils le savaient, ils acceptaient ce fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant