1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 ion, voire de sournoisement jubilant, annoncer et accepter que tout cela soit perdu, — comme si tout cela n’était pas nous ? Aux
2 huit pays de l’Est compris) et s’efforce de faire accepter des règles « communautaires » dans le secteur économique. Ses buts ?
3 rance aux cinq autres pays de la CECA et aussitôt accepté par eux, mais finalement refusé par les parlementaires français, nati
4 que, espagnole et portugaise, ces trois pays sont acceptés comme candidats à la Communauté européenne, et intégrés ou réintégrés
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
5 pressions multiples dont ils ignorent la nature, acceptent les augmentations de prix les plus arbitraires. Elle explique enfin q
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
6 onduire qu’à des impasses dramatiques ; au lieu d’ accepter sans examen le dogme du parallélisme entre croissance énergétique, cr
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
7 ps. L’humanité d’aujourd’hui et de demain ne peut accepter que les États invoquent leur « souveraineté » pour se soustraire à de
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Les régions
8 dire de la seule formule d’union qui puisse être acceptée sans réaction de rejet par nos 30 pays européens, et plus encore : pa
6 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
9 par des hommes d’État français, la CED avait été acceptée par tous les autres pays du Marché commun. Elle fut finalement refusé
10 stoire. 31. La droite nationaliste ne veut pas accepter de « dépendre des Américains », tout en comptant sur leur aide ; la g
7 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Programme pour les Européens
11 dans ses bureaux39 puis le discute, le modifie, l’ accepte finalement et donc exige que l’exécutif s’y conforme. Élargir les com